New York New York
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New York New York
Avant de commencer, laissez-moi me présenter. Je m’appelle Jennifer D. Vous découvrirez mon nom au cours de cette histoire. Croyez-moi, vaut mieux pas que vous l’entendiez tout de suite... Donc, je suis quand même grande (5 pieds 8 pouces) et assez mince (je pèse 115 lbs mouillée...) Non je ne suis pas anorexique, c’est juste que je suis très mince de nature, que je fais un peu de sport et que je fais attention à ma santé. J’ai des cheveux auburns qui m’arrivent aux épaules et sont ondulés. Mes yeux sont vert-gris et, à eux seuls, ont un assez grand pouvoir de persuasion quand je le veux. Que dire d’autre ? Je porte des lunettes mais je préfère mes verres de contact... Bon, allez voici comment j,ai rencontré un gars qui a vraiment changé ma vie.
Voilà, ça faisait deux ans qu’on prévoyait de faire un voyage à New York, ma classe de secondaire 2 et moi. Finalement, avec l’aide d’un concours et de l’équipe de R-Force, on a pu partir trois jours dans la Grosse Pomme. Le départ à été vraiment... drôle mais énervant. Eric courait dans tous les sens pour être sûr de ne rien oublier, Roxanne pratiquait sa voix pour son prochain spectacle (imaginaire, elle est vraiment nulle), Carol-Ann jouait avec un ballon de soccer (mais pourquoi elle amène ça ?) , Carl avait apporté son GameBoy Advance et Jean-Philippe le regardait jouer en lançant des : Ouais ! Let’s go Carlou ! et Louis-René lisait le dictionnaire en répétant les mots à voix haute (il est un peu trop intello). Il y avait aussi Mathieu le meilleur ami que j’ai dans mon école. Je le surnomme Nounours (il est doux et gentil comme un ours alors) et Fanny, sans qui je ne serais jamais partie à New York. Ah oui, j’allais oublier le prof qui nous accompagnait. Il se nomme Christian et c’est un prof de science. Il est très gentil mais un peu mélangé. Une fois que l’autobus 16 passagers que nous allions prendre fut arrivé, le conducteur en descendit et nous avons reconnu Maxime, notre prof de Français de l’année d’avant. Nous étions tous très contents de le revoir. Nous avons donc entassés nos bagages dans le fond de l’autobus, nous avons embarqué et avons prit nos feuilles d’autorisation signée par chacun de nos parents et l’avocat de l’école. Aucun de nous ne comprenait pourquoi un avocat devait signer l’autorisation mais nous en avons pas fait un plat, tant qu’on pouvait alleraux États-Unis.
Comme vous l’avez sûrement remarqué, nous n’avons pas prit l’avion pour se rendre à New York. Ça coûtait trop cher... alors on a prit le moyen le moins dispendieux et le plus long... Inutile de vous dire que je me suis gravé une copule de cd à partager avec Fan et Mathieu durant le voyage. Bien entendu, j,ai gardé mes cds des Boys avec moi durant tout le chemin. Eux, pas question de les partager ! Pendant plus de deux heures, on a entendu le vrombissement du moteur de l’autobus et Christian qui donnait les indications à Max. On a finit par arriver à Lacolle vers 10 heures (on était partis à 7 heures et demi). On est passé aux douanes avec nos papiers d’autorisations et nos cartes étudiantes avec notre photo dessus. Ensuite, on a roulé encore une bonne heure avant qu’Eric crit, de l’arrière du bus : Toilette !! Il avait été trop épais pour y aller avant qu’on parte... Chacun de nous en a profité pour aller se dégourdir les jambes. Après que M. Le fatiguant aie été faire ses besoins, on est repartit vers Alphabet City ! On est arrivés vers 3 heures de l’après-midi. Après un bon 6 heures de routes, on est finalement arrivés à notre hôtel. Il y avait des dizaines de personnes qui bloquaient l’entrée. Je descendis la première, suivie de Christian. J’avais été désignée traductrice officielle avec Carol-Ann, mais cette dernière était trop obnubilée par le nombre de personnes présentes.
« On dirait qu’y attendent quelqu’un... »
Elle avait tout à fait raison... Je me suis avancée vers un employé et lui aie expliqué que nous avions des réservations. Il nous demanda à quel noms et Christian lui dit du mieux qu’il pouvait que nous venions de Montréal et que nos réservations étaient à son nom et il y avait une précision comme quoi nous étions élèves de Daniel-Johnson. L’employé alla regarder ses registres et revint quelques instants plus tard avec nos clés. Il nous fit entrer dans l’hôtel et nous indiqua l’étage. Nous sommes montés porter nos choses dans nos chambres qui étaient divisées de cette façon :
Chambre 541-Mathieu, Fanny et moi
Chambre 542-Jean-Philippe, Carl et Louis-René
Chambre 543-Carol-Ann, Roxane et Eric
Chambre 544-Maxime et Christian
Après avoir rapidemment fait les tour de nos chambres et avoir déballé nos affaires, nous sommes redescendus pour aller se promener. Premier arrêt, la statue de la Liberté. Nous sommes redescendus et, pendant que je parlais avec Fan, je ne vis pas la personne qui s’avançait dans ma direction et qui parlait aussi avec quelqu’un. Devinez la suite. Et ouais, on s’est foncé dedans... Je suis tombée, mais pas l’autre personne. Il, car c’était un gars, m’a tendu la main et je me suis relevée, les yeux baissés, les rouge aux joues et en me frottant la tête.
« Ça va ? »
Je reconnu la voix, ce qui me fit devenir encore plus rouge. Je secouai la tête et prit le temps de respirer avant de répondre en me forçant à adopter un accent anglophone.
« Oui. Je suis vraiment désolée, je ne regardais pas où j’allais... »
« Non, c’est ma faute, j’étais trop occupé à parler avec Bee. »
« Ben disons qu’on est quittes alors... »
Je levai la tête doucement et il me sourit. Ce fut la voix de Christian qui me sortit de ma rêverie.
« Jennifer ! Dépêches-toi on va être en retard !!! »
J’eu le temps de placer un soupir avant de regarder à nouveau le gars avec j,avais eu la colision.
« Désolé, je dois y aller... »
Il me regarda et, juste comme j’allais partir, il me retint pas le bras. Je me suis retournée pour comprendre et il m’a posé une question.
« Tu es libre ce soir ? »
« Je sais pas...Je suis avec un groupe et je ne suis pas sûre que le responsable me laisse partir... »
« Bah alors, tu veux bien souper avec moi au restaurant de l’hôtel ? Ce serait pour me faire pardonner si jamais t’as une bosse sur la tête... »
Je souris et jetai un bref regard vers mon groupe. Lorsque que je regardai à nouveau le gars, je lui souris encore plus et lui répondis.
« D’accord ! »
« Alors à ce soir 7 heures devant le restaurant ? »
« À ce soir ! »
Il repartit vers les autres gars et je sautillai presque de joie jusqu’à mon groupe. Christian et Maxime me regardèrent avec des points d’interrogations dans les yeux et Fan et Mathieu me souriaient Tandis que les autres jeunes étaient éberlués. Ce fut Max qui posa la question qui leur brûlaient tous les lèvres.
« Qu’est-ce que tu as ? »
« Je viens de me faire inviter à souper par Nick Carter des Backstreet Boys !!!!!!! »
Voilà, ça faisait deux ans qu’on prévoyait de faire un voyage à New York, ma classe de secondaire 2 et moi. Finalement, avec l’aide d’un concours et de l’équipe de R-Force, on a pu partir trois jours dans la Grosse Pomme. Le départ à été vraiment... drôle mais énervant. Eric courait dans tous les sens pour être sûr de ne rien oublier, Roxanne pratiquait sa voix pour son prochain spectacle (imaginaire, elle est vraiment nulle), Carol-Ann jouait avec un ballon de soccer (mais pourquoi elle amène ça ?) , Carl avait apporté son GameBoy Advance et Jean-Philippe le regardait jouer en lançant des : Ouais ! Let’s go Carlou ! et Louis-René lisait le dictionnaire en répétant les mots à voix haute (il est un peu trop intello). Il y avait aussi Mathieu le meilleur ami que j’ai dans mon école. Je le surnomme Nounours (il est doux et gentil comme un ours alors) et Fanny, sans qui je ne serais jamais partie à New York. Ah oui, j’allais oublier le prof qui nous accompagnait. Il se nomme Christian et c’est un prof de science. Il est très gentil mais un peu mélangé. Une fois que l’autobus 16 passagers que nous allions prendre fut arrivé, le conducteur en descendit et nous avons reconnu Maxime, notre prof de Français de l’année d’avant. Nous étions tous très contents de le revoir. Nous avons donc entassés nos bagages dans le fond de l’autobus, nous avons embarqué et avons prit nos feuilles d’autorisation signée par chacun de nos parents et l’avocat de l’école. Aucun de nous ne comprenait pourquoi un avocat devait signer l’autorisation mais nous en avons pas fait un plat, tant qu’on pouvait alleraux États-Unis.
Comme vous l’avez sûrement remarqué, nous n’avons pas prit l’avion pour se rendre à New York. Ça coûtait trop cher... alors on a prit le moyen le moins dispendieux et le plus long... Inutile de vous dire que je me suis gravé une copule de cd à partager avec Fan et Mathieu durant le voyage. Bien entendu, j,ai gardé mes cds des Boys avec moi durant tout le chemin. Eux, pas question de les partager ! Pendant plus de deux heures, on a entendu le vrombissement du moteur de l’autobus et Christian qui donnait les indications à Max. On a finit par arriver à Lacolle vers 10 heures (on était partis à 7 heures et demi). On est passé aux douanes avec nos papiers d’autorisations et nos cartes étudiantes avec notre photo dessus. Ensuite, on a roulé encore une bonne heure avant qu’Eric crit, de l’arrière du bus : Toilette !! Il avait été trop épais pour y aller avant qu’on parte... Chacun de nous en a profité pour aller se dégourdir les jambes. Après que M. Le fatiguant aie été faire ses besoins, on est repartit vers Alphabet City ! On est arrivés vers 3 heures de l’après-midi. Après un bon 6 heures de routes, on est finalement arrivés à notre hôtel. Il y avait des dizaines de personnes qui bloquaient l’entrée. Je descendis la première, suivie de Christian. J’avais été désignée traductrice officielle avec Carol-Ann, mais cette dernière était trop obnubilée par le nombre de personnes présentes.
« On dirait qu’y attendent quelqu’un... »
Elle avait tout à fait raison... Je me suis avancée vers un employé et lui aie expliqué que nous avions des réservations. Il nous demanda à quel noms et Christian lui dit du mieux qu’il pouvait que nous venions de Montréal et que nos réservations étaient à son nom et il y avait une précision comme quoi nous étions élèves de Daniel-Johnson. L’employé alla regarder ses registres et revint quelques instants plus tard avec nos clés. Il nous fit entrer dans l’hôtel et nous indiqua l’étage. Nous sommes montés porter nos choses dans nos chambres qui étaient divisées de cette façon :
Chambre 541-Mathieu, Fanny et moi
Chambre 542-Jean-Philippe, Carl et Louis-René
Chambre 543-Carol-Ann, Roxane et Eric
Chambre 544-Maxime et Christian
Après avoir rapidemment fait les tour de nos chambres et avoir déballé nos affaires, nous sommes redescendus pour aller se promener. Premier arrêt, la statue de la Liberté. Nous sommes redescendus et, pendant que je parlais avec Fan, je ne vis pas la personne qui s’avançait dans ma direction et qui parlait aussi avec quelqu’un. Devinez la suite. Et ouais, on s’est foncé dedans... Je suis tombée, mais pas l’autre personne. Il, car c’était un gars, m’a tendu la main et je me suis relevée, les yeux baissés, les rouge aux joues et en me frottant la tête.
« Ça va ? »
Je reconnu la voix, ce qui me fit devenir encore plus rouge. Je secouai la tête et prit le temps de respirer avant de répondre en me forçant à adopter un accent anglophone.
« Oui. Je suis vraiment désolée, je ne regardais pas où j’allais... »
« Non, c’est ma faute, j’étais trop occupé à parler avec Bee. »
« Ben disons qu’on est quittes alors... »
Je levai la tête doucement et il me sourit. Ce fut la voix de Christian qui me sortit de ma rêverie.
« Jennifer ! Dépêches-toi on va être en retard !!! »
J’eu le temps de placer un soupir avant de regarder à nouveau le gars avec j,avais eu la colision.
« Désolé, je dois y aller... »
Il me regarda et, juste comme j’allais partir, il me retint pas le bras. Je me suis retournée pour comprendre et il m’a posé une question.
« Tu es libre ce soir ? »
« Je sais pas...Je suis avec un groupe et je ne suis pas sûre que le responsable me laisse partir... »
« Bah alors, tu veux bien souper avec moi au restaurant de l’hôtel ? Ce serait pour me faire pardonner si jamais t’as une bosse sur la tête... »
Je souris et jetai un bref regard vers mon groupe. Lorsque que je regardai à nouveau le gars, je lui souris encore plus et lui répondis.
« D’accord ! »
« Alors à ce soir 7 heures devant le restaurant ? »
« À ce soir ! »
Il repartit vers les autres gars et je sautillai presque de joie jusqu’à mon groupe. Christian et Maxime me regardèrent avec des points d’interrogations dans les yeux et Fan et Mathieu me souriaient Tandis que les autres jeunes étaient éberlués. Ce fut Max qui posa la question qui leur brûlaient tous les lèvres.
« Qu’est-ce que tu as ? »
« Je viens de me faire inviter à souper par Nick Carter des Backstreet Boys !!!!!!! »
Alianne- Nombre de messages : 106
Age : 34
Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
« Les Backstreet Boys, c’est pas le groupe dont tu es une fan ? »
Je fis un oui de la tête, réussissant à me donner un mal de tête.
« Aie... »
« Quoi ? »
Max n’avait pas vu ma chute, seulement quand Nick m’avait invité à sortir.
« Je suis tombée tantôt en fonçant dans Nick. »
« C’est ce qu’on appelle un coup de foudre ! »
Fanny avait parlé ! Je lui avais raconté que, selon une entrevue à laquelle Nick avait répondu quand il avait mon âge (j’ai 16 ans) , j’étais exactement son genre de fille physiquement autant que psychologiquement.
« Fanny, il avait 16 ans à l’époque ! Maintenant il en a 26 ! »
Max, qui mmarchait derrière nous s’approcha un peu.
« Tu vas souper avec un gars qui as dix ans de plus que toi ? »
« Ouais, qu’est-ce que ça fait ? »
« Jennifer, je peux pas te laisser faire ça ! »
Je me suis retournée, en colère.
« Et pourquoi ? »
« Il est majeur ! »
« Et alors, tu n’es pas mon père ! »
« Mais je suis responsable de toi durant... »
« ...le séjour à New York. Je sais, tu l’as répété au moins 30 fois avant qu’on parte... »
« Désolé, mais c’est non. Je ne peux pas te laisser seule avec lui. »
« Mais on va être à quelques mètres seulement du reste du groupe ! »
« Jennifer, je pourrais perdre ma job si je te laisse souper avec lui ! »
« Mais personne à l’école ne le saura ! »
« Désolé, je ne peux pas... »
« Pour une fois que je peux faire quelque chose qui pourrait changer ma vie du bon côté, il faut que quelqu’un vienne tout gâcher ! »
Je marchai plus vite pour rejoindre Christian en avant sous le rire moqueur d’Eric qui semblait bien aimer la situation. Quoi de plus normal de la part de mon pire ennemi ? Nous avons fini par arriver près de l’eau. Nous avons vu la statue de loin puisque nous ne devions aps aller la visiter tout de suite, selon Christian. Avant, nous devions manger et nous avons trouvé un restaurant qui a plu à tout le monde, un Subway. Nous avons bien entendu tous pris des combos juste pour dépenser plus d’argent. Max et Christian étaient un peu exaspérés par nous et ça nous faisait bien rire. Enfin, ça faisait rire les autres. Moi j’étais toujours en colère contre Max à cause de son interdiction. Vers la fin de l’après midi, alors que nous finissions de visiter un musée, Max nous a dit qu’il était temps de retourner à l’hôtel. Alors que nous reprenions notre chemin jusqu’à la sortie, il s’est approché de moi et m’a expliqué quelque chose.
« Écoute, je sais que tu tiens vraiment à ce souper avec ce Nick Carter et je vais te laisser y aller, mais tu dois me promettre que vous aller rester dans notre champs de vue à Christian ou moi et je ne tiens pas à ce que ça s’ébruite. »
« Bah alors empêche Eric de venir souper au restaurant, c’est le gars qui doit avoir la plus grande gueule du Québec ! »
« Jennifer ! »
« Bah quoi ? C,est vrai ! »
Nous sommes repartis vers l’hôtel et je me suis précipitée vers ma chambre pour trouver une robe ou au moins un ensemble qui avait un minimum d’allure !
Je fis un oui de la tête, réussissant à me donner un mal de tête.
« Aie... »
« Quoi ? »
Max n’avait pas vu ma chute, seulement quand Nick m’avait invité à sortir.
« Je suis tombée tantôt en fonçant dans Nick. »
« C’est ce qu’on appelle un coup de foudre ! »
Fanny avait parlé ! Je lui avais raconté que, selon une entrevue à laquelle Nick avait répondu quand il avait mon âge (j’ai 16 ans) , j’étais exactement son genre de fille physiquement autant que psychologiquement.
« Fanny, il avait 16 ans à l’époque ! Maintenant il en a 26 ! »
Max, qui mmarchait derrière nous s’approcha un peu.
« Tu vas souper avec un gars qui as dix ans de plus que toi ? »
« Ouais, qu’est-ce que ça fait ? »
« Jennifer, je peux pas te laisser faire ça ! »
Je me suis retournée, en colère.
« Et pourquoi ? »
« Il est majeur ! »
« Et alors, tu n’es pas mon père ! »
« Mais je suis responsable de toi durant... »
« ...le séjour à New York. Je sais, tu l’as répété au moins 30 fois avant qu’on parte... »
« Désolé, mais c’est non. Je ne peux pas te laisser seule avec lui. »
« Mais on va être à quelques mètres seulement du reste du groupe ! »
« Jennifer, je pourrais perdre ma job si je te laisse souper avec lui ! »
« Mais personne à l’école ne le saura ! »
« Désolé, je ne peux pas... »
« Pour une fois que je peux faire quelque chose qui pourrait changer ma vie du bon côté, il faut que quelqu’un vienne tout gâcher ! »
Je marchai plus vite pour rejoindre Christian en avant sous le rire moqueur d’Eric qui semblait bien aimer la situation. Quoi de plus normal de la part de mon pire ennemi ? Nous avons fini par arriver près de l’eau. Nous avons vu la statue de loin puisque nous ne devions aps aller la visiter tout de suite, selon Christian. Avant, nous devions manger et nous avons trouvé un restaurant qui a plu à tout le monde, un Subway. Nous avons bien entendu tous pris des combos juste pour dépenser plus d’argent. Max et Christian étaient un peu exaspérés par nous et ça nous faisait bien rire. Enfin, ça faisait rire les autres. Moi j’étais toujours en colère contre Max à cause de son interdiction. Vers la fin de l’après midi, alors que nous finissions de visiter un musée, Max nous a dit qu’il était temps de retourner à l’hôtel. Alors que nous reprenions notre chemin jusqu’à la sortie, il s’est approché de moi et m’a expliqué quelque chose.
« Écoute, je sais que tu tiens vraiment à ce souper avec ce Nick Carter et je vais te laisser y aller, mais tu dois me promettre que vous aller rester dans notre champs de vue à Christian ou moi et je ne tiens pas à ce que ça s’ébruite. »
« Bah alors empêche Eric de venir souper au restaurant, c’est le gars qui doit avoir la plus grande gueule du Québec ! »
« Jennifer ! »
« Bah quoi ? C,est vrai ! »
Nous sommes repartis vers l’hôtel et je me suis précipitée vers ma chambre pour trouver une robe ou au moins un ensemble qui avait un minimum d’allure !
Alianne- Nombre de messages : 106
Age : 34
Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
J’ai fouillé au moins 15 minutes de temps avant de trouver l’ensemble qu’il me fallait. Ce n’était pas l’idéal pour une première rencontre, mais c’était tout ce que j’avais. Roxanne m’avait proposé de porter sa robe super chic qu’elle avait apportée, mais jamais je ne m’abaisserais à lui emprunter des vêtements ! Et de toute façon il y avait une condition si je lui empruntait sa robe. Je devais parler à Nick de sa ‘superbe voix’ pfff... Enfin, je choisit un jeans Lois serré au niveau de la taille et evasé au bas de la jambe. Un peu comme des pantalons pattes d’éléphants. Je pris mon chandail Foam rouge qui avait des manches longues mais ne me couvrait pas les épaules. Il y avait un trou pour le pouce au bout de chaque manche. Je mis un soutien-gorge rouge dessous dont on voyait les bretelles. Je me suis ensuite maquillée légèrement, juste assez pour cacher mes cernes permanentes et pour faire ressortir la couleur de mes yeux. J’ai mis mon collier avec un pendentif en forme de coeur avec une topaze au milieu, ma pierre de naissance. J’étais bien contente d’avoir apporté mon parfum One, des jumelles Olsen. J’en mis une touche dans mon cou et sur mes manches, au niveau des poignets. À 6 heures 50, j’étais prête. Je sortit de la salle de bain qui jouxtait la chambre. Fanny et Mathieu semblaient ébahient.
« Hého ! Y’a encore quelqu’un dans vos têtes ? »
Quand elle eut retrouvé l’usage de la parole, Fanny me sourit et rit en me parlant.
« Alors là, c’est sûr qu’il va tomber raide dingue de toi !! »
Max et Christian entrèrent à ce moment dans la chambre. Max s’arrêta en me voyant et sourit pendant qu’il parlait.
« Mademoiselle, vous êtes sûre que vous êtes bien dans ce groupe ? »
Je rit alors que Carl et J-P entraient dans la chambre eux aussi, curieux. Ces deux là ne rataient jamais une occasion de me niaiser, mais là ils étaient... bouche-bée ! Carol-Ann, Louis-René, Roxanne et Eric ont également fait leur apparition et ils étaient assez surpris.
« Mais qu’est-ce que vous avez tous ? »
J’ai compris leur attitude quand je me suis tournée vers le mirroir. J’étais... superbe ! Je n’avais qu’une barette pour tenir mes cheveux qui retombaient en douces vagues sur mes épaules. Il y avait de fortes chances que Nick tombe en effet sous le charme... Mais inutile de trop espérer. Après tout, il en avait vu d’autres beaucoup plus belles que moi... Je regardai le cadran sur la table près de mon lit et mes yeux s’arrondirent.
« Merde, je vais être en retard ! »
Il était 7 heures moins 2. J’avais tout juste le temps de mettre mes baskets et descendre en quatrième vitesse. Ce que je fis, les autres sur mes talons. Enfin, tous sauf Eric qui semblait vraiment frustré que personne ne s’intéresse à lui, même Roxanne et Carol-Ann qui étaient ses amies. La porte de l’ascenseur s’ouvrit sur le hall à 7 heures pile. Je me suis dirigée vers l’entrée du restaurant. Nick m’y attendait, un air inquiet dans le visage. Lorsqu’il me vit, son expression changea du tout au tout. Un immense sourire apparut sur son visage et il me regarda de haut en bas comme je faisais pour lui. Il portait un pantalon noir large, mais pas trop, et un t-shirt rouge une taille trop grande pour lui. Je souris en pensant au nombre de fois où il portait du linge trop grand pour lui. C’était une manie... Ses cheveux étaient un peu entremêlés comme s’il venait de se lever. J’aimais bien... Il me tendit le bras en souriant.
« Mademoiselle. »
« Monsieur. »
Je lançai un regard vers Max qui me regardait en souriant. Il semblait heureux de sa décision. Je l’étais aussi. Beaucoup plus qu’il ne pouvait se l’imaginer. Nick me montra notre table, qui était un peu plus loin des autres, mais quand même dans le champs de vision de Max s’il s’asseoyait au bout de la table. Nous nous sommes assis et avons regardé les menus avant de commander. Lorsque ce fut fait et que la serveuse fût partie avec nos commandes, Nick engagea la conversation.
« J’avais peur que tu ne viennes pas... »
« Sincèrement, j’ai bien faillit ne pas venir... »
« Pourquoi ? »
« C’est une longue histoire qui est en rapport avec les gens de cette table. »
J’ai pointé la table qu’il s’est empressé de regarder. En particulier Max et Christian.
« Ah. D’accord. Et eum...je peux te poser une question ? »
« Mouais. »
« Tu as quel âge ? »
« Tu me donne quel âge ? »
« Eum...20 ans. »
Je me suis presque étouffée avec ma gorgée d’eau.
« Hé, ça va ? »
« Ouais, mais je ne sais pas si toi ça va aller dans quelques instants... »
« Pourquoi ? »
« Hey bien...je n’ai pas 20... »
« Oh et quel âge tu as ? »
« Tu ne veux pas le savoir... »
« Si je demande c’est que je veux savoir. »
« D’accord. Mais ne panique pas. J’ai... j’ai 16 ans... »
« Quoi ??? »
Il sembla surpris, mais se reprit après quelques secondes.
« Tu... tu n’as pas vraiment l’air d’une fille de 16 ans. »
« C’est un peu normal... »
« Comment ça ? »
« Ben... j’ai été élevée avec des adultes durant tout mon enfance. Il n’y a qu’une seule personne dans ma famille qui aie mon âge et c’est ma cousine. Alors ça te donne une idée. Disons que y’a des fois où je peux agir comme une fille de 10 ans genre quand je joue avec ma meilleure amie et y’a d’autres fois où je peux agire comme une fille de 20 ans quand je parle avec des gens de cet âge là comme avec toi en ce moment. Enfin, je vais pas te raconter ma vie... »
« Pourquoi ? »
« Je crois pas que ça t’intéresse les mésaventures d’une fille de 16 ans... »
« Pourquoi ça m’intéresserais pas ? »
« Parce que ma vie en générale est pas intéressante. »
« Bon, si tu veux pas me parler de ta vie, parles-moi au moins de ce que tu viens faire ici. »
« Un voyage. Depuis le secondaire 2, la gang que tu vois à la table là-bas, on voulait venir à New York. C,est Christian, le grand aux cheveux roux-châtains, qui nous a mis cette idée dans la tête. Le problèmes, c’est qu’on avait pas assez de financement alors on a fait appel à une équipe qui aident les jeunes. L’équipe s’appelle R-Force. Donc, on a fait appel à eux et ils nous ont aidé à financer le voyage. On est 9 jeunes et les deux plus grands c’est Maxime et Christian, les responsables. On est là jusqu’à Lundi, donc dans deux jours. Et toi ? »
« Je repars aussi Lundi avec les gars on va à Washington pour la suite de la tournée. »
« Ah. D’accord. »
« Hého ! Y’a encore quelqu’un dans vos têtes ? »
Quand elle eut retrouvé l’usage de la parole, Fanny me sourit et rit en me parlant.
« Alors là, c’est sûr qu’il va tomber raide dingue de toi !! »
Max et Christian entrèrent à ce moment dans la chambre. Max s’arrêta en me voyant et sourit pendant qu’il parlait.
« Mademoiselle, vous êtes sûre que vous êtes bien dans ce groupe ? »
Je rit alors que Carl et J-P entraient dans la chambre eux aussi, curieux. Ces deux là ne rataient jamais une occasion de me niaiser, mais là ils étaient... bouche-bée ! Carol-Ann, Louis-René, Roxanne et Eric ont également fait leur apparition et ils étaient assez surpris.
« Mais qu’est-ce que vous avez tous ? »
J’ai compris leur attitude quand je me suis tournée vers le mirroir. J’étais... superbe ! Je n’avais qu’une barette pour tenir mes cheveux qui retombaient en douces vagues sur mes épaules. Il y avait de fortes chances que Nick tombe en effet sous le charme... Mais inutile de trop espérer. Après tout, il en avait vu d’autres beaucoup plus belles que moi... Je regardai le cadran sur la table près de mon lit et mes yeux s’arrondirent.
« Merde, je vais être en retard ! »
Il était 7 heures moins 2. J’avais tout juste le temps de mettre mes baskets et descendre en quatrième vitesse. Ce que je fis, les autres sur mes talons. Enfin, tous sauf Eric qui semblait vraiment frustré que personne ne s’intéresse à lui, même Roxanne et Carol-Ann qui étaient ses amies. La porte de l’ascenseur s’ouvrit sur le hall à 7 heures pile. Je me suis dirigée vers l’entrée du restaurant. Nick m’y attendait, un air inquiet dans le visage. Lorsqu’il me vit, son expression changea du tout au tout. Un immense sourire apparut sur son visage et il me regarda de haut en bas comme je faisais pour lui. Il portait un pantalon noir large, mais pas trop, et un t-shirt rouge une taille trop grande pour lui. Je souris en pensant au nombre de fois où il portait du linge trop grand pour lui. C’était une manie... Ses cheveux étaient un peu entremêlés comme s’il venait de se lever. J’aimais bien... Il me tendit le bras en souriant.
« Mademoiselle. »
« Monsieur. »
Je lançai un regard vers Max qui me regardait en souriant. Il semblait heureux de sa décision. Je l’étais aussi. Beaucoup plus qu’il ne pouvait se l’imaginer. Nick me montra notre table, qui était un peu plus loin des autres, mais quand même dans le champs de vision de Max s’il s’asseoyait au bout de la table. Nous nous sommes assis et avons regardé les menus avant de commander. Lorsque ce fut fait et que la serveuse fût partie avec nos commandes, Nick engagea la conversation.
« J’avais peur que tu ne viennes pas... »
« Sincèrement, j’ai bien faillit ne pas venir... »
« Pourquoi ? »
« C’est une longue histoire qui est en rapport avec les gens de cette table. »
J’ai pointé la table qu’il s’est empressé de regarder. En particulier Max et Christian.
« Ah. D’accord. Et eum...je peux te poser une question ? »
« Mouais. »
« Tu as quel âge ? »
« Tu me donne quel âge ? »
« Eum...20 ans. »
Je me suis presque étouffée avec ma gorgée d’eau.
« Hé, ça va ? »
« Ouais, mais je ne sais pas si toi ça va aller dans quelques instants... »
« Pourquoi ? »
« Hey bien...je n’ai pas 20... »
« Oh et quel âge tu as ? »
« Tu ne veux pas le savoir... »
« Si je demande c’est que je veux savoir. »
« D’accord. Mais ne panique pas. J’ai... j’ai 16 ans... »
« Quoi ??? »
Il sembla surpris, mais se reprit après quelques secondes.
« Tu... tu n’as pas vraiment l’air d’une fille de 16 ans. »
« C’est un peu normal... »
« Comment ça ? »
« Ben... j’ai été élevée avec des adultes durant tout mon enfance. Il n’y a qu’une seule personne dans ma famille qui aie mon âge et c’est ma cousine. Alors ça te donne une idée. Disons que y’a des fois où je peux agir comme une fille de 10 ans genre quand je joue avec ma meilleure amie et y’a d’autres fois où je peux agire comme une fille de 20 ans quand je parle avec des gens de cet âge là comme avec toi en ce moment. Enfin, je vais pas te raconter ma vie... »
« Pourquoi ? »
« Je crois pas que ça t’intéresse les mésaventures d’une fille de 16 ans... »
« Pourquoi ça m’intéresserais pas ? »
« Parce que ma vie en générale est pas intéressante. »
« Bon, si tu veux pas me parler de ta vie, parles-moi au moins de ce que tu viens faire ici. »
« Un voyage. Depuis le secondaire 2, la gang que tu vois à la table là-bas, on voulait venir à New York. C,est Christian, le grand aux cheveux roux-châtains, qui nous a mis cette idée dans la tête. Le problèmes, c’est qu’on avait pas assez de financement alors on a fait appel à une équipe qui aident les jeunes. L’équipe s’appelle R-Force. Donc, on a fait appel à eux et ils nous ont aidé à financer le voyage. On est 9 jeunes et les deux plus grands c’est Maxime et Christian, les responsables. On est là jusqu’à Lundi, donc dans deux jours. Et toi ? »
« Je repars aussi Lundi avec les gars on va à Washington pour la suite de la tournée. »
« Ah. D’accord. »
Alianne- Nombre de messages : 106
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Re: New York New York
Nous avons continué à parler de tout et de rien durant le souper. C’était agréable. Nick me fit beaucoup rire et j’ai essayé d’en faire autant. Ça m’as plutôt bien réussit ! Vers 8 heures 30, les autres sont montés pendant que Nick et moi sortions sur le petit balcon qui était relié au restaurant. Nous avons regardé les étoiles quelques minutes et nous sommes montés. Il m’a raccompagné jusqu’à ma chambre et m’a donné un baiser sur la joue. Un baiser que je n’allais pas oublier de si tôt ! Je suis ensuite entrée dans ma chambre, sous le regard curieux de Fanny et celui heureux pour moi de Mathieu. Je suis allée me changer et me démaquiller dans la salle de bain. Quand je suis ressortie, en pyjama de Tweety Bird et avec mes pantoufles bleues avec une lune dessus, ils avaient commencé à jouer aux cartes. Je mis mes lunettes qui étaient posées sur la table de chevet et me suis approchée d’eux.
« Je peux jouer ? »
« Tu te souviens comment jouer à pige dans le lac ? »
« Fan, j’ai soupé avec Nick, je ne suis pas devenue amnésique ! »
Elle m’a sourit et nous avons tous les trois entammés une partie. Après avoir passé les cartes, ma curieuse de meilleure amie a posé un question, mine de rien.
« Alors...ce rencart ? »
« C,était pas un rancart ! »
« Attends, un gars te fonce dedans et t’invite à souper pour se faire supposément pardonner, moi j’appelle ça un rencart ! Surtout que tu trippe fort sur lui !! »
Je rougis et Fan se mit à rire. Mathieu avait lui aussi un petit sourire aux lèvres lorsqu’il regarda son jeu avant de me demander une carte.
« Jen, tu as un 9 ? »
« Pige ‘nours ! »
« Zut. »
« Gnarf ! »
« Alors, même si tu considère pas ça comme un recart, RACONTE !!! »
« Bon, il a été un peu surpris quand il a su que j’avais juste 16 ans. »
« Il croyait que t’avais quel âge ? »
« 20 ans... »
« Oh... Au moins ça veut dire que t’as l’air vieille ! »
Je l’ai regardé bizarrement avant de lui demander une carte.
« T’as un 6 ? »
« Ouèp et t’es chanceuse, j’en ai même 2 ! »
« Cool ! »
« Alors, comment il a réagit quand il a su que t’avais 16, je veux dire après la surprise ? »
« Plutôt bien. Il m’a dit que j’avais l’air plus vieille, dans le genre mature, et, pendant qu’opn mangeait, il m’a dit que c’était dommage que je doive suivre le groupe durant tout le séjour. »
Fanny me regarda avec un immense sourire dans le visage.
« Quoi ? »
« Ben là, me semble que c’est clair ! »
« Quoi ? »
À ce moment là, elle s’est mise à chantonner en souriant.
« Nick Carter craque pour ma soeur !! »
« Mais non voyons.. »
« Et pourquoi madame Carter ? »
« Arrête avec ça ! »
Elle avait commencé à m’appeller comme ça quand je lui avais raconté un rêve où Nick et moi on se mariait. Elle en avait profité.
« Donc, pourquoi ? »
« Je suis tellement pas son genre ! T’as vu comme moi le genre de poupées avec lesquelles il sort habituellement ! T’as déjà oublié Miss Hilton ? »
« Non, mais t’as pas encore remarqué qu’il n’est jamais resté longtemps avec ces filles là ? »
« Fan, on a soupé ensemble et je crois pas que ça ira plus loin...Fin de la discussion. »
J’ai posé mes carte sur le ‘lac’ des autres cartes et me suis réfugiée dans mon lit après avoir posé mes lunettes sur la table de chevet. Nick s’intéresser à moi ? C’est sûr que j’adorerais ça, mais c’est impossible. Il est trop... bien pour moi. Encore une fois, ma confiance en moi prenait le bord et le doute s’installait. Est-ce que ça valait la peine que je le revoit ?
« Je peux jouer ? »
« Tu te souviens comment jouer à pige dans le lac ? »
« Fan, j’ai soupé avec Nick, je ne suis pas devenue amnésique ! »
Elle m’a sourit et nous avons tous les trois entammés une partie. Après avoir passé les cartes, ma curieuse de meilleure amie a posé un question, mine de rien.
« Alors...ce rencart ? »
« C,était pas un rancart ! »
« Attends, un gars te fonce dedans et t’invite à souper pour se faire supposément pardonner, moi j’appelle ça un rencart ! Surtout que tu trippe fort sur lui !! »
Je rougis et Fan se mit à rire. Mathieu avait lui aussi un petit sourire aux lèvres lorsqu’il regarda son jeu avant de me demander une carte.
« Jen, tu as un 9 ? »
« Pige ‘nours ! »
« Zut. »
« Gnarf ! »
« Alors, même si tu considère pas ça comme un recart, RACONTE !!! »
« Bon, il a été un peu surpris quand il a su que j’avais juste 16 ans. »
« Il croyait que t’avais quel âge ? »
« 20 ans... »
« Oh... Au moins ça veut dire que t’as l’air vieille ! »
Je l’ai regardé bizarrement avant de lui demander une carte.
« T’as un 6 ? »
« Ouèp et t’es chanceuse, j’en ai même 2 ! »
« Cool ! »
« Alors, comment il a réagit quand il a su que t’avais 16, je veux dire après la surprise ? »
« Plutôt bien. Il m’a dit que j’avais l’air plus vieille, dans le genre mature, et, pendant qu’opn mangeait, il m’a dit que c’était dommage que je doive suivre le groupe durant tout le séjour. »
Fanny me regarda avec un immense sourire dans le visage.
« Quoi ? »
« Ben là, me semble que c’est clair ! »
« Quoi ? »
À ce moment là, elle s’est mise à chantonner en souriant.
« Nick Carter craque pour ma soeur !! »
« Mais non voyons.. »
« Et pourquoi madame Carter ? »
« Arrête avec ça ! »
Elle avait commencé à m’appeller comme ça quand je lui avais raconté un rêve où Nick et moi on se mariait. Elle en avait profité.
« Donc, pourquoi ? »
« Je suis tellement pas son genre ! T’as vu comme moi le genre de poupées avec lesquelles il sort habituellement ! T’as déjà oublié Miss Hilton ? »
« Non, mais t’as pas encore remarqué qu’il n’est jamais resté longtemps avec ces filles là ? »
« Fan, on a soupé ensemble et je crois pas que ça ira plus loin...Fin de la discussion. »
J’ai posé mes carte sur le ‘lac’ des autres cartes et me suis réfugiée dans mon lit après avoir posé mes lunettes sur la table de chevet. Nick s’intéresser à moi ? C’est sûr que j’adorerais ça, mais c’est impossible. Il est trop... bien pour moi. Encore une fois, ma confiance en moi prenait le bord et le doute s’installait. Est-ce que ça valait la peine que je le revoit ?
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Re: New York New York
Le lendemain, quand je me suis levée, il était 8 heures et Fanny me secouait comme une dingue. Je lui parlai d’une voix endormie, montrant que j’étais réveillée.
« Quoi... ? »
« Christian m’a demandé de te réveiller et tu avais un cadeau devant ta porte. »
« Un cadeau ? »
« Ouais, je crois que c’est de Nick. »
Je me suis assis carré dans le lit avec les yeux grand ouverts et plus du tout fatiguée.
« Où il est ? »
« Nick ? »
« Le cadeau, épaisse ! »
« Ah, ben tiens. »
Elle m’a donné une feuille pliée et une petite boîte. J’ai déplié la feuille en vitesse et un sourire s’est dessiné sur mon visage.
« Qu’est-ce qui est écrit ? »
Ce qu’elle pouvait être curieuse quand elle voulait !
« Chère Jennifer, j’ai beaucoup aimé notre souper d’hier soir. Je sais que tes responsables ne te laissent pas beaucoup de liberté, mais j,ai parlé avec le grand roux, Christian je crois. Il a accepté que toi, et tes amis veniez au show de ce soir au lieu d’aller au Music Hall. J’espère que tu ne m’en voudras pas de ne pas aller voir le Music Hall comme c’était prévu. Dans la boîte il y a les billets et un petit cadeau que j’ai voulu te faire. À ce soir, belle demoiselle ! »
Je me suis dépêchée à ouvrir la boîte pour découvrir... Une autre lettre et les fameux billets. Je lis la nouvelle qui était cette fois plus courte.
« Je suis désolé, mais ton cadeau n’entrait pas dans la petite boîte. Vas à l’adresse au dos de cette lettre et demande la commande à ton prénom. Comme tu ne m’as pas dis ton nom, je n,ai pas pu faire autrement. J’espère que tu vas l’apprécier. Bisoux. Nick. »
L’adresse ne me disait rien. Bon, je ne connaissais pas beaucoup New York donc c’était un peu normal. On s’est habillée et on a rejoint les autres qui étaient déjà à table.
« On doit passer par un endroit ce matin. »
J’ai montré l’adresse à Max qui a sortit une carte de New York.
« Bon, c’est pas très loin. C’est sur notre chemin pour aller à Time Square. On s’arrêtera à cet endroit. »
« D’accord. »
Je me demandais ce que Nick m’avait réservé. Après le déjeuner, nous sommes partis vers Time Square et nous nous sommes arrêtés à l’adresse que Nick m’avait écrite. C,était un fleuriste. Le meilleur de la ville, selon la pancarte qui ornait la fenêtre. Christian, Fanny et moi nous sommes entrés et j’ai demandé au fleuriste une commande à mon nom. Il m’a dit que j’étais chanceuse et que l’homme qui avait commandé pour moi devait beaucoup m’aimer. Il alla dans l’arrière boutique et en ressortit avec un petit bouquet de roses rouges avec une rose bleu au centre. J’étais agréablement surprise par cette attention. Mais comment Nick savait-il que j’aimais les roses bleues ? Une bribe de notre conversation du soir d’avant me revint.
flashback
« Quelle est ta couleur préférée ? »
« Le bleu. »
« Ta fleur préférée ? »
« La rose. »
« À toi. »
« D’accord, quel est ton film d’animation favoris ? »
« Nemo ! »
Fin du flashback
On avait continué à parler comme si de rien n’était et je n’aurais jamais cru qu’il s’était rapellé de cela. Nous sommes sortis de la boutique après avoir remercié le fleuriste et Fanny m’a sourit.
« Alors là, c’est sûr qu’il est amoureux de toi. »
« Elle a raison... »
Christian semblait lui croire à cette hypothèse. Et je doit avouer que je commençait à y croire aussi. Un souper et maintenant des fleurs. Et sans oublier le show de ce soir là. Je devais avoir quelque chose de spécial pour que Nick Carter s’intéresse à moi. Peut-être parce que j’étais différente des ‘pitounes’ qu’il fréquentait habituellement. Ou parce que j’étais mature pour une fille de 16 ans. En tout cas, je l’étais assez pour qu’un gars de 25, pardon 26 ans, me trouve de son goût. Ça ne me déplaisait pas. Mais la fin du week-end était le lendemain et je n’étais pas sûre de le revoir après...
« Quoi... ? »
« Christian m’a demandé de te réveiller et tu avais un cadeau devant ta porte. »
« Un cadeau ? »
« Ouais, je crois que c’est de Nick. »
Je me suis assis carré dans le lit avec les yeux grand ouverts et plus du tout fatiguée.
« Où il est ? »
« Nick ? »
« Le cadeau, épaisse ! »
« Ah, ben tiens. »
Elle m’a donné une feuille pliée et une petite boîte. J’ai déplié la feuille en vitesse et un sourire s’est dessiné sur mon visage.
« Qu’est-ce qui est écrit ? »
Ce qu’elle pouvait être curieuse quand elle voulait !
« Chère Jennifer, j’ai beaucoup aimé notre souper d’hier soir. Je sais que tes responsables ne te laissent pas beaucoup de liberté, mais j,ai parlé avec le grand roux, Christian je crois. Il a accepté que toi, et tes amis veniez au show de ce soir au lieu d’aller au Music Hall. J’espère que tu ne m’en voudras pas de ne pas aller voir le Music Hall comme c’était prévu. Dans la boîte il y a les billets et un petit cadeau que j’ai voulu te faire. À ce soir, belle demoiselle ! »
Je me suis dépêchée à ouvrir la boîte pour découvrir... Une autre lettre et les fameux billets. Je lis la nouvelle qui était cette fois plus courte.
« Je suis désolé, mais ton cadeau n’entrait pas dans la petite boîte. Vas à l’adresse au dos de cette lettre et demande la commande à ton prénom. Comme tu ne m’as pas dis ton nom, je n,ai pas pu faire autrement. J’espère que tu vas l’apprécier. Bisoux. Nick. »
L’adresse ne me disait rien. Bon, je ne connaissais pas beaucoup New York donc c’était un peu normal. On s’est habillée et on a rejoint les autres qui étaient déjà à table.
« On doit passer par un endroit ce matin. »
J’ai montré l’adresse à Max qui a sortit une carte de New York.
« Bon, c’est pas très loin. C’est sur notre chemin pour aller à Time Square. On s’arrêtera à cet endroit. »
« D’accord. »
Je me demandais ce que Nick m’avait réservé. Après le déjeuner, nous sommes partis vers Time Square et nous nous sommes arrêtés à l’adresse que Nick m’avait écrite. C,était un fleuriste. Le meilleur de la ville, selon la pancarte qui ornait la fenêtre. Christian, Fanny et moi nous sommes entrés et j’ai demandé au fleuriste une commande à mon nom. Il m’a dit que j’étais chanceuse et que l’homme qui avait commandé pour moi devait beaucoup m’aimer. Il alla dans l’arrière boutique et en ressortit avec un petit bouquet de roses rouges avec une rose bleu au centre. J’étais agréablement surprise par cette attention. Mais comment Nick savait-il que j’aimais les roses bleues ? Une bribe de notre conversation du soir d’avant me revint.
flashback
« Quelle est ta couleur préférée ? »
« Le bleu. »
« Ta fleur préférée ? »
« La rose. »
« À toi. »
« D’accord, quel est ton film d’animation favoris ? »
« Nemo ! »
Fin du flashback
On avait continué à parler comme si de rien n’était et je n’aurais jamais cru qu’il s’était rapellé de cela. Nous sommes sortis de la boutique après avoir remercié le fleuriste et Fanny m’a sourit.
« Alors là, c’est sûr qu’il est amoureux de toi. »
« Elle a raison... »
Christian semblait lui croire à cette hypothèse. Et je doit avouer que je commençait à y croire aussi. Un souper et maintenant des fleurs. Et sans oublier le show de ce soir là. Je devais avoir quelque chose de spécial pour que Nick Carter s’intéresse à moi. Peut-être parce que j’étais différente des ‘pitounes’ qu’il fréquentait habituellement. Ou parce que j’étais mature pour une fille de 16 ans. En tout cas, je l’étais assez pour qu’un gars de 25, pardon 26 ans, me trouve de son goût. Ça ne me déplaisait pas. Mais la fin du week-end était le lendemain et je n’étais pas sûre de le revoir après...
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Re: New York New York
Après plusieurs minutes pendant lesquelles les fans arrivaient et essayaient de se frayer un chemin jusqu’aux clôtures. Nous avions été chanceux de pouvoir avoir d’aussi bonnes places ! Les lumières se sont fermées et, après 5 secondes d’attente (j’ai compté !) Les gars sont apparus sur la scène. Nick était vraiment sexy avec son côte de cuir et ses cheveux ébouriffés. Ils ont commencé à chanter une de leur nouvelles chansons et Nick s’est approché du public et les filles se sont misent à hurler. Il m’a apperçu et m’a envoyé un signe de la main que je lui ai rendu avec un grand sourire. Il a vu le bouquet dans ma main et a fait un petit sourire avant de retourner avec les autres gars. Le show était vraiment spectaculaire. À leur image, quoi ! Pendant qu’ils chantaient Hey Mr. DJ, Nick est même descendu en bas de la scène pour venir se promener devant le public. Il s’est arrêté devant notre groupe et m’a donné un baiser sur la joue. Je suis devenue rouge et il m’a sourit avent de remonté sur scène après avoir donné la main à d’autres fans. Inutile de vous dire que j’avais vraiment chaud ! Fanny chantait quelques chansons qu’elle connaissait. J’ai même surpris Carl et J-P à fredonner le refrain de quelques chansons. Max chantonnait et Carol-Ann bavait presque à la vue d’Alex se déhanchant. Eric semblait s’ennuyer ferme, mais je savais qu’il faisait ça seulement pour cacher son plaisir de voir les gars chanter leurs nouvelles chansons. Il adorait ce genre de musique. C,était un secret qu’il m’avait confié quand nous étions amis. Pour ce qui était de Louis-rené, il essayait de mémoriser les paroles des chansons.Qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour améliorer sa mémoire, celui-là ! Roxanne essayait de chanter, mais elle ne connaissait pas les paroles et sa voix était enterrée par les cris de fans hystériques. Elle a finit par se taire. Mathieu semblait avoir du plaisir malgré le fait qu’il n’adore pas les Boys et Christian s’amusait bien. Moi, pas besoin d’en parler. Je m’amusait comme une folle ! Vers la fin du spectacle, Nick a prit la parole.
« Ce soir, certaines personnes sont venues de loin. Certains viennent du Québec et, ils ne sont pas venus pour nous, mais j’apprécie qu’ils aient accepté notre invitation ! »
Il nous a envoyé un signe de la main qu’on lui a tous remis, sauf Eric. Après le show, on a attendu que les fans partent avant qu’un des gardes du corps des Boys vienne nous chercher. Il nous a amenés jusqu’à un petit salon où on attendu les gars quelques minutes. Brian, Alex et Howie sont entrés, changés et tout propres. Restait plus que mon ‘prétendant’.
« Bah, où est Nick ? »
« Il se prépare. Tu lui es vraiment tombé dans l’oeil. Même Paris ne lui faisait pas cet effet là ! »
J’ai rougis. Un peu normal. Nick est entré à ce moment. Il était habillé d’un t-shirt noir et d’un jeans. Il avait une casquette à la main et je me demandais bien pourquoi. Il m,a souris avant de s’excuser.
« Désolé du retard. »
Je me suis approché de lui et lui ai donné un baiser sur la joue.
« Je t’en devais un. »
Il m’a souris avant de regarder les autres personnes qui m’accompagnaient.
« Alors, si tu me présentait ta gang ? »
Je me suis tournée vers les autres et me suis approchée d’eux.
« Commençons par le plus agréable. Ici, c’est Fanny, ma meilleure amie que je considère comme ma soeur. Elle ne parle pas beaucoup Anglais, mais elle se débrouille du mieux qu’elle peut. Elle est super et toujours à l’écoute. Juste à côté, Mathieu. Mon meilleur ami. Il est un peu timide, mais je l’adore. Il est toujours là pour moi. Il se débrouille bien en Anglais. Ensuite, il y a Maxime, un prof génial. Il est pourri en Anglais mais en Français, langue qu’il enseigne, il est super. Ensuite, voici Christian. Il enseigne la Science Physique. Il est peu mélangé et mélangeant, mais en somme, il est vraiment gentil. En Anglais, par contre, il a un peu de difficulté. Maintenant, Louis-René. C’est un intello, mais il est gentil. Il est toujours disponible pour les problèmes informatiques et il se débrouille plutôt bien Anglais. Il y a aussi Carl et Jean-philippe, les sportifs ! Ils adorent le hockey et les films d’horreur. Si jamais quelqu’un veut faire du sport, ils sont presque toujours prêts ! ils sont pas pire en Anglais. Là, c’est Roxanne. Elle se prend pour une grande chanteuse, mais elle a un peu de mal. Elle est pas très bonne en Anglais. Maintenant, Carol-Ann. Elle, c’est une pro de l’Anglais. On a été désignées, elle et moi, comme traductrices officielles du voyage. Elle adore le soccer et la plupart des sports. Finalement, nous arrivons à un personne que j’arais préféré ne jamais rencontré... Eric, un gars dont l’ego est plus grand que le Quebec. Il se prend pour une superstar, mais il ne voit qu’il se prend trop au sérieux. Enfin, il est souvent désagréable avec les gens et, avec moi, tout le temps. Il est pas bon en Anglais mais si jamais un de vous trouve un moyen de lui faire retrouver le sourire et d’arrêter de faire ‘chier le peuple’, qu’il me le dise, je suis ouverte à toutes les propostitions ! »
« Parlant de propositions...Jen ? »
« Oui Nick ? »
« Tu veux bien venir te balader avec moi ? »
J’ai jeté un regard vers Max qui m’a fait un signe de tête. Il avait un sourire, signe qu’il acceptait.
« D’accord ! »
Nous sommes sortis, main dans la main.
« Ce soir, certaines personnes sont venues de loin. Certains viennent du Québec et, ils ne sont pas venus pour nous, mais j’apprécie qu’ils aient accepté notre invitation ! »
Il nous a envoyé un signe de la main qu’on lui a tous remis, sauf Eric. Après le show, on a attendu que les fans partent avant qu’un des gardes du corps des Boys vienne nous chercher. Il nous a amenés jusqu’à un petit salon où on attendu les gars quelques minutes. Brian, Alex et Howie sont entrés, changés et tout propres. Restait plus que mon ‘prétendant’.
« Bah, où est Nick ? »
« Il se prépare. Tu lui es vraiment tombé dans l’oeil. Même Paris ne lui faisait pas cet effet là ! »
J’ai rougis. Un peu normal. Nick est entré à ce moment. Il était habillé d’un t-shirt noir et d’un jeans. Il avait une casquette à la main et je me demandais bien pourquoi. Il m,a souris avant de s’excuser.
« Désolé du retard. »
Je me suis approché de lui et lui ai donné un baiser sur la joue.
« Je t’en devais un. »
Il m’a souris avant de regarder les autres personnes qui m’accompagnaient.
« Alors, si tu me présentait ta gang ? »
Je me suis tournée vers les autres et me suis approchée d’eux.
« Commençons par le plus agréable. Ici, c’est Fanny, ma meilleure amie que je considère comme ma soeur. Elle ne parle pas beaucoup Anglais, mais elle se débrouille du mieux qu’elle peut. Elle est super et toujours à l’écoute. Juste à côté, Mathieu. Mon meilleur ami. Il est un peu timide, mais je l’adore. Il est toujours là pour moi. Il se débrouille bien en Anglais. Ensuite, il y a Maxime, un prof génial. Il est pourri en Anglais mais en Français, langue qu’il enseigne, il est super. Ensuite, voici Christian. Il enseigne la Science Physique. Il est peu mélangé et mélangeant, mais en somme, il est vraiment gentil. En Anglais, par contre, il a un peu de difficulté. Maintenant, Louis-René. C’est un intello, mais il est gentil. Il est toujours disponible pour les problèmes informatiques et il se débrouille plutôt bien Anglais. Il y a aussi Carl et Jean-philippe, les sportifs ! Ils adorent le hockey et les films d’horreur. Si jamais quelqu’un veut faire du sport, ils sont presque toujours prêts ! ils sont pas pire en Anglais. Là, c’est Roxanne. Elle se prend pour une grande chanteuse, mais elle a un peu de mal. Elle est pas très bonne en Anglais. Maintenant, Carol-Ann. Elle, c’est une pro de l’Anglais. On a été désignées, elle et moi, comme traductrices officielles du voyage. Elle adore le soccer et la plupart des sports. Finalement, nous arrivons à un personne que j’arais préféré ne jamais rencontré... Eric, un gars dont l’ego est plus grand que le Quebec. Il se prend pour une superstar, mais il ne voit qu’il se prend trop au sérieux. Enfin, il est souvent désagréable avec les gens et, avec moi, tout le temps. Il est pas bon en Anglais mais si jamais un de vous trouve un moyen de lui faire retrouver le sourire et d’arrêter de faire ‘chier le peuple’, qu’il me le dise, je suis ouverte à toutes les propostitions ! »
« Parlant de propositions...Jen ? »
« Oui Nick ? »
« Tu veux bien venir te balader avec moi ? »
J’ai jeté un regard vers Max qui m’a fait un signe de tête. Il avait un sourire, signe qu’il acceptait.
« D’accord ! »
Nous sommes sortis, main dans la main.
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Re: New York New York
Nous sommes sortis de la bâtisse en passant par une entrée cachée. Nick a mis sa casquette et nous avons commencé à déambuler dans les rues illuminées de New York. Il a engagé la conversation le premier.
« Tu... tu as aimé mon cadeau ? »
« Oui, j’ai adoré les fleurs et les billets aussi. Et les lettres étaient comme toi, adorables. »
« Merci. »
« Pourquoi tu es aussi gêné avec moi ? »
Il ne parla pas pendant quelques secondes. J’allais lui demander de nouveau la même question quand il m’a répondu.
« Je sais pas vraiment comment te dire ça... »
Il s’est arrêté et s’est assis sur un banc de parc. Je l’ai suivis et me suis assise à ses côtés. J’ai posé ma main sur la sienne pour l’encourager.
« Nick, qu’est-ce qu’il y a ? »
« Je sais pas... avec toi je suis... différent. J’ai envie de te couvrir de cadeaux, de te serrer dans mes bras, de... »
« M’embrasser ? »
« Ouais... »
« On appelle ça l’amour. »
« Je suis déjà tombé en amour et c’était pas comme ça. »
« Tu parle de Paris ? »
« Ouais... »
« Come on, Nick. Paris te manipulait ! Ce n’était pas de l’amour ! »
« Et comment tu le sais ? »
« Je le voyais dans tes yeux. »
« Et c’est quoi de l’amour ? »
« Ça. »
Sans y réfléchir, je me suis avancée vers lui et j’ai relevé sa casquette avant de poser mes lèvres sur les siennes. Ce n’était pas un baiser sauvage ni trop tendre, mais plutôt passionné. Un baiser de deux amoureux. Quelques secondes plus tard, je me suis reculée et je lui ai redonné sa casquette.
« Ça, c’est de l’amour. »
J’avais mis tout ce que je ressentais pour lui dans ce baiser. L’amour, la tendresse, la passion et bien d’autres choses encore.
« Tu es sûre que tu m’as bien tout montré l’amour dans ce baiser ? Je sentais qu’il manquait quelque chose... »
« Une réponse de ta part ? »
« Ouais... peut-être bien... Montre-moi encore, pour voir. »
Je l’ai réembrassé d’une façon tout aussi passionnée. Par contre, cette fois il a répondu à mon baiser. Après s’être embrassés quelques fois, je l’ai regardai avec un regard un peu différent, plus triste.
« Je ne veux pas partir... »
« Mais on ne peut pas rester ici pour toujours. »
« Je parlais de repartir à Montréal. »
« Moi aussi. »
« Nick, je veux pas qu’on se quitte... J’ai... j’ai peur que tu m’oublie... »
« Ça jamais ! Jen, maintenant que j’ai trouvé la fille parfaite, je ne la laisse plus partir ! »
J’ai lâché un petit rire alors qu’une larme coulait sur ma joue.
« Promets-moi qu’on va rester en contact... »
« Je te le promets, ma belle. Sèche-moi ces larmes, tu ne me perdra pas. C,est plutôt moi qui devrais avoir peur de te perdre. »
« Ça, jamais. »
« Allez, viens rentrons. Les autres doivent nous attendre. »
Nous sommes retournés à l’hôtel, où les autres nous attendaient effectivement. Nick m’embrassa une dernière fois avant d’aller dormir et je n’ai pas parlé à personne entre le temps où je uis arrivée et celui où je suis allée me coucher en boule dans mon lit, mon chat en peluche serré contre moi.
« Tu... tu as aimé mon cadeau ? »
« Oui, j’ai adoré les fleurs et les billets aussi. Et les lettres étaient comme toi, adorables. »
« Merci. »
« Pourquoi tu es aussi gêné avec moi ? »
Il ne parla pas pendant quelques secondes. J’allais lui demander de nouveau la même question quand il m’a répondu.
« Je sais pas vraiment comment te dire ça... »
Il s’est arrêté et s’est assis sur un banc de parc. Je l’ai suivis et me suis assise à ses côtés. J’ai posé ma main sur la sienne pour l’encourager.
« Nick, qu’est-ce qu’il y a ? »
« Je sais pas... avec toi je suis... différent. J’ai envie de te couvrir de cadeaux, de te serrer dans mes bras, de... »
« M’embrasser ? »
« Ouais... »
« On appelle ça l’amour. »
« Je suis déjà tombé en amour et c’était pas comme ça. »
« Tu parle de Paris ? »
« Ouais... »
« Come on, Nick. Paris te manipulait ! Ce n’était pas de l’amour ! »
« Et comment tu le sais ? »
« Je le voyais dans tes yeux. »
« Et c’est quoi de l’amour ? »
« Ça. »
Sans y réfléchir, je me suis avancée vers lui et j’ai relevé sa casquette avant de poser mes lèvres sur les siennes. Ce n’était pas un baiser sauvage ni trop tendre, mais plutôt passionné. Un baiser de deux amoureux. Quelques secondes plus tard, je me suis reculée et je lui ai redonné sa casquette.
« Ça, c’est de l’amour. »
J’avais mis tout ce que je ressentais pour lui dans ce baiser. L’amour, la tendresse, la passion et bien d’autres choses encore.
« Tu es sûre que tu m’as bien tout montré l’amour dans ce baiser ? Je sentais qu’il manquait quelque chose... »
« Une réponse de ta part ? »
« Ouais... peut-être bien... Montre-moi encore, pour voir. »
Je l’ai réembrassé d’une façon tout aussi passionnée. Par contre, cette fois il a répondu à mon baiser. Après s’être embrassés quelques fois, je l’ai regardai avec un regard un peu différent, plus triste.
« Je ne veux pas partir... »
« Mais on ne peut pas rester ici pour toujours. »
« Je parlais de repartir à Montréal. »
« Moi aussi. »
« Nick, je veux pas qu’on se quitte... J’ai... j’ai peur que tu m’oublie... »
« Ça jamais ! Jen, maintenant que j’ai trouvé la fille parfaite, je ne la laisse plus partir ! »
J’ai lâché un petit rire alors qu’une larme coulait sur ma joue.
« Promets-moi qu’on va rester en contact... »
« Je te le promets, ma belle. Sèche-moi ces larmes, tu ne me perdra pas. C,est plutôt moi qui devrais avoir peur de te perdre. »
« Ça, jamais. »
« Allez, viens rentrons. Les autres doivent nous attendre. »
Nous sommes retournés à l’hôtel, où les autres nous attendaient effectivement. Nick m’embrassa une dernière fois avant d’aller dormir et je n’ai pas parlé à personne entre le temps où je uis arrivée et celui où je suis allée me coucher en boule dans mon lit, mon chat en peluche serré contre moi.
Alianne- Nombre de messages : 106
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Re: New York New York
Le lendemain matin, je n’ai pas beaucoup mangé au déjeuner. Nous partions tôt pour être de retour à Montréal vers l’heure du dîner. Enfin, s’il n’y avait pas trop de traffic. Je n’ai pas parlé durant le temps où nous remplissions nos valises. Il devait être 8 heures quand Nick est sortit en trombe de l’hôtel en me cherchant des yeux. Je me suis précipitée vers lui, la larme au coin de l’oeil.
« Nick. »
Il m’a pris dans ses bras et m’a serré fort. Pas pour que mon souffle se coupe, mais assez pour essayer de me réconforter. Je sentais que lui aussi était triste. J’ai relevé mes yeux et caressé son visage. Je ne voulais pas partir loin de lui. J’aurais tout laissé pour Nick ! Malheureusement, je devais attendre encore 2 ans pour être majeure au Canada et 5 pour être majeure aux States.
« Tu... tu vas me manquer, ma belle. »
Après plusieurs minutes à les retenir, mes larmes ont enfin coulé. Je retardais le départ, mais je savais que Max et Christian comprendraient.
« Hey...Chut...calme-toi, Jen. On va se revoir. »
« Quand ? Dans un an, quand tu m’auras oubliée ? »
« Non, bientôt. Et je te l’ai déjà dis, je ne t’oublierai jamais. Et si jamais je le fais, eh bien frappe-moi au même endroit où tu as faillis avoir une bosse ! »
Je souris à travers mes larmes. Il avait un don pour me faire rire, même dans les pires moments. Il a passé son pouce sur mes joues pour effacer mes pleurs et a approché ses lèvres de mon oreille.
« Je connais une chanson qui te prouveras ce que je ressens. Tu as le cd de Black & Blue avec toi ? »
« Ouais, pourquoi ? »
« Quand tu vas être dans l’autobus, fait jouer la chanson #5 je crois... I Promise you. »
« Je la connais par coeur. »
« C’est ce que je te promets. Je t’aime.... »
Je suis restée surprise quelques instants, mais me suis reprise et je l’ai embrassé.
« Je t’aime aussi.... »
J’ai pris un carnet dans mon sac à main et un crayon. Je lui ai ensuite tendu une feuille.
« Tiens. C’est mon adresse e-mail. Ça va t’éviter les longues-distances. »
« Merci. Promis, en arrivant à Washington je t’écris. »
« Bon, je crois que c’est l’heure des adieux... »
« Non, pas des adieux. On va se revoir, sois-en certaine. »
« Alors, aurevoir Nick... »
Je me suis retournée.
« Jen ! »
Je l’ai regardé et il s’est approché de moi. Je savais ce qu,il allait faire avant même qu’il ne soit à ma hauteur. J’ai fermé mes yeux et il m’a embrassé de la plus douce des façon. Si tendrement que je n’avais jamais ressentis autant de frissons parcourir mon corps pendant un baiser. Quand il s’est reculé.
« Wow... »
« Quoi ? »
« J’ai adoré ! »
Nous avons entendu un flash et plusieurs autres par la suite.
« Tu es prête à apparaître dans les journaux ? »
« De toute façon, ça va arriver un jour ou l’autre. »
Je l’ai regardé.
« Bon, je... je vais y aller... »
« Ouais, les autres t’attendent. »
« Dès que j’arrive chez moi, je me connecte. Comme ça on va peut-être pouvoir chatter. »
« Ouais. »
« Bye Nick. »
« Bye ma belle... »
Je suis montée dans l’autobus après un dernier baiser et nous sommes retournés à Montréal, laissant mon amoureux aux États-Unis. Je savais que durant la semaine suivante, j,allais faire la première page de plusieurs magasines à potins, mais ce qui m’importait, c’était que j’allais revoir Nick, qu’on allait s’écrire et qu’il me m’oublierait pas... Enfin j’espérais...
« Nick. »
Il m’a pris dans ses bras et m’a serré fort. Pas pour que mon souffle se coupe, mais assez pour essayer de me réconforter. Je sentais que lui aussi était triste. J’ai relevé mes yeux et caressé son visage. Je ne voulais pas partir loin de lui. J’aurais tout laissé pour Nick ! Malheureusement, je devais attendre encore 2 ans pour être majeure au Canada et 5 pour être majeure aux States.
« Tu... tu vas me manquer, ma belle. »
Après plusieurs minutes à les retenir, mes larmes ont enfin coulé. Je retardais le départ, mais je savais que Max et Christian comprendraient.
« Hey...Chut...calme-toi, Jen. On va se revoir. »
« Quand ? Dans un an, quand tu m’auras oubliée ? »
« Non, bientôt. Et je te l’ai déjà dis, je ne t’oublierai jamais. Et si jamais je le fais, eh bien frappe-moi au même endroit où tu as faillis avoir une bosse ! »
Je souris à travers mes larmes. Il avait un don pour me faire rire, même dans les pires moments. Il a passé son pouce sur mes joues pour effacer mes pleurs et a approché ses lèvres de mon oreille.
« Je connais une chanson qui te prouveras ce que je ressens. Tu as le cd de Black & Blue avec toi ? »
« Ouais, pourquoi ? »
« Quand tu vas être dans l’autobus, fait jouer la chanson #5 je crois... I Promise you. »
« Je la connais par coeur. »
« C’est ce que je te promets. Je t’aime.... »
Je suis restée surprise quelques instants, mais me suis reprise et je l’ai embrassé.
« Je t’aime aussi.... »
J’ai pris un carnet dans mon sac à main et un crayon. Je lui ai ensuite tendu une feuille.
« Tiens. C’est mon adresse e-mail. Ça va t’éviter les longues-distances. »
« Merci. Promis, en arrivant à Washington je t’écris. »
« Bon, je crois que c’est l’heure des adieux... »
« Non, pas des adieux. On va se revoir, sois-en certaine. »
« Alors, aurevoir Nick... »
Je me suis retournée.
« Jen ! »
Je l’ai regardé et il s’est approché de moi. Je savais ce qu,il allait faire avant même qu’il ne soit à ma hauteur. J’ai fermé mes yeux et il m’a embrassé de la plus douce des façon. Si tendrement que je n’avais jamais ressentis autant de frissons parcourir mon corps pendant un baiser. Quand il s’est reculé.
« Wow... »
« Quoi ? »
« J’ai adoré ! »
Nous avons entendu un flash et plusieurs autres par la suite.
« Tu es prête à apparaître dans les journaux ? »
« De toute façon, ça va arriver un jour ou l’autre. »
Je l’ai regardé.
« Bon, je... je vais y aller... »
« Ouais, les autres t’attendent. »
« Dès que j’arrive chez moi, je me connecte. Comme ça on va peut-être pouvoir chatter. »
« Ouais. »
« Bye Nick. »
« Bye ma belle... »
Je suis montée dans l’autobus après un dernier baiser et nous sommes retournés à Montréal, laissant mon amoureux aux États-Unis. Je savais que durant la semaine suivante, j,allais faire la première page de plusieurs magasines à potins, mais ce qui m’importait, c’était que j’allais revoir Nick, qu’on allait s’écrire et qu’il me m’oublierait pas... Enfin j’espérais...
Alianne- Nombre de messages : 106
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Re: New York New York
Durant tout le trajet de New York à Montréal, j’ai repassé tous mes cds des Boys. Quand je suis arrivée à Black & Blue, que j’avais gardé pour la fin, j’ai sauté I promise you et je ne l’ai écoutée qu’à la toute fin. Mes larmes avaient recommencé à couler, mais en moins grand nombre que ce matin là. Mathieu m’a fait un gros calin, lui qui d’habitude ne voulait pas que je le colle. Quand nous sommes arrivés à Montréal, la chanson se terminait. J’ai appellé ma mère et elle venue me chercher. Je n’ai adressé la parole à personne. Max et Christian semblaient tristes pour moi. Je suis retournée chez moi avec ma mère qui ne comprenait pas pourquoi j’étais si triste alors que, selon elle, j’avais fait un voyage dans une ville vraiment super. Si seulement elle savait... Pourquoi, me demanderez-vous, ne pas lui avoir dis pour Nick et moi ? Simplement parce qu’elle n’aurait pas compris. Et elle ne m’aurait pas crue. Alors je préfèrais garder ce secret pour moi. Même si toute l’école le saurait le surlendemain. Pour le moment, je voulais arriver chez moi au plus vite pour voir mes mails. Quand je suis entrée dans la maison, mon premier réflexe a été d’aller sur l’ordi.
« Attends ! Maintenant, tu vas m’expliquer pourquoi t’es triste. »
« Non. C’est mes affaires et de toute façon, tu ne me croirais pas. »
« Dis toujours. Je vois pas pourquoi je te croirais pas. »
« Ça concerne les Backstreet Boys... »
J’avais murmuré mais ma mère avait l’oreille fine.
« Encore eux ? Mais décroche un peu ! »
« Tu vois, si je te le disais, tu t’en foutrais complètement et tu ne me croirais alors que je sais parfaitement que vrai et que c’est même Max qui m’a donné la permission ! »
« Mais de quoi tu parles à la fin ! »
« j’ai soupé avec Nick, on a assisté au show et on s’est même embrassé ce matin devant l’hôtel où on logeait ! »
« Je voulais savoir ce qui s’était passé là-bas, pas ce dont tu as rêvé ! »
« Tu vois !!! Tu me crois pas et en plus tu crois que je te ments sur un sujet qui me tiens très à coeur puisqu’il s’agit de mon petit ami ! »
« Quand tu auras décidé d’arrêter de te payer ma tête, on en reparleras. Fin de la discussion. »
J’ai couru jusque dans la salle d’ordi et j’ai claqué la porte coulissante. Je me suis précipitée sur l’ordi et j’ai ouvert ma boîte hotmail. J’avais trois mail. Normal, j’étais partie trois jours. Le premier message était de MSN. Une annonce d’un nouveau service. Un message de Nick et un pourriel. Attendez, un message de Nick ? Et ouais, déjà ! Je l’ai ouvert avec un gros sourire et j’ai lu le message qu’il avait écrit dans un anglais relativement simple, de façon à ce que je le comprenne parfaitement.
« Hi beauty ! I know that you’re in the bus now to return at Montreal, but I can’t just imagine how will be the life after this week-end. I miss you, honey. Yesterday night, when you said or rather showed me what love was, you were real. I never felt like this before and I’m a bit afraid of all the feelings I never felt. Please, don’t show or talk of this fear to anybody. I don’t want the world to know that I’m afraid of love. I’m sorry, I’ve gotta go. We’ll take the bus to Washington D.C. in 10 minutes and we do the travel all in the same bus. I don’t want the other guys to know my feelings. You are and you’ll rest the only one to know. I’ll write to you again at Washington and I’ll maybe send you some pictures. Love you girl. Take care of you and your friends. Kisses, Your Nick. »
J’étais vraiment étonnée. Nick, mon Nick était effrayé par ses sentiments. J’aimais beaucoup son message que je me suis dépêchée d’imprimer et d’effacer de mon compte hotmail avant que ma mère passe par là. Je lui ai ensuite répondu en prenant soin d’imprimer une copie de ma réponse pou garder tous nos e-mails dans une boîte cachée de ma mère.
« Hi my Nick ! It’s unreal to call you like that ! But I love it. I appreciated your mail. I will not lie to you, I’m afraid too. Everybody at school will know about us tomorrow or, with chance, Wednesday. I know that they will look at me like if I was a stranger or an E.T... I miss you too, Nick. I’m happy to know that you have faith in me. You’re the first guy who I really love. That’s crazy to say that because I have many boyfriends, but no one was like you. Maybe you don’t see it, but you’re… how can I say it…You’re not perfect, but you have something really special in yourself that give to people near of you warmth and you always know how to make others smile again. That’s some of the things I love about you. Sorry, I’ve gotta go too. My mom is coming and she doesn’t know about us. I’ll talk to you later! With all my love and my heart, your cutie girl.
p.s.: I will send you pictures of my city and my friends tomorrow or later in the week. »
J’ai fermé ma boîte mail tout juste comme ma mere entrait dans la sale d’ordi. Elle m’a fait signe de sortir.
« Va défaire tes bagages. »
« Je le ferai tantôt. »
« Non, tout de suite. Tu auras tout le temps que tu voudras pour aller sur l’ordi. »
J’ai lâché un soupir et je suis sortie de la salle d’ordi pour aller défaire mon sac. Mon super week-end à New York était devenu triste et merdique depuis que j’avais quitté cette ville et, avec elle, Nick.
« Attends ! Maintenant, tu vas m’expliquer pourquoi t’es triste. »
« Non. C’est mes affaires et de toute façon, tu ne me croirais pas. »
« Dis toujours. Je vois pas pourquoi je te croirais pas. »
« Ça concerne les Backstreet Boys... »
J’avais murmuré mais ma mère avait l’oreille fine.
« Encore eux ? Mais décroche un peu ! »
« Tu vois, si je te le disais, tu t’en foutrais complètement et tu ne me croirais alors que je sais parfaitement que vrai et que c’est même Max qui m’a donné la permission ! »
« Mais de quoi tu parles à la fin ! »
« j’ai soupé avec Nick, on a assisté au show et on s’est même embrassé ce matin devant l’hôtel où on logeait ! »
« Je voulais savoir ce qui s’était passé là-bas, pas ce dont tu as rêvé ! »
« Tu vois !!! Tu me crois pas et en plus tu crois que je te ments sur un sujet qui me tiens très à coeur puisqu’il s’agit de mon petit ami ! »
« Quand tu auras décidé d’arrêter de te payer ma tête, on en reparleras. Fin de la discussion. »
J’ai couru jusque dans la salle d’ordi et j’ai claqué la porte coulissante. Je me suis précipitée sur l’ordi et j’ai ouvert ma boîte hotmail. J’avais trois mail. Normal, j’étais partie trois jours. Le premier message était de MSN. Une annonce d’un nouveau service. Un message de Nick et un pourriel. Attendez, un message de Nick ? Et ouais, déjà ! Je l’ai ouvert avec un gros sourire et j’ai lu le message qu’il avait écrit dans un anglais relativement simple, de façon à ce que je le comprenne parfaitement.
« Hi beauty ! I know that you’re in the bus now to return at Montreal, but I can’t just imagine how will be the life after this week-end. I miss you, honey. Yesterday night, when you said or rather showed me what love was, you were real. I never felt like this before and I’m a bit afraid of all the feelings I never felt. Please, don’t show or talk of this fear to anybody. I don’t want the world to know that I’m afraid of love. I’m sorry, I’ve gotta go. We’ll take the bus to Washington D.C. in 10 minutes and we do the travel all in the same bus. I don’t want the other guys to know my feelings. You are and you’ll rest the only one to know. I’ll write to you again at Washington and I’ll maybe send you some pictures. Love you girl. Take care of you and your friends. Kisses, Your Nick. »
J’étais vraiment étonnée. Nick, mon Nick était effrayé par ses sentiments. J’aimais beaucoup son message que je me suis dépêchée d’imprimer et d’effacer de mon compte hotmail avant que ma mère passe par là. Je lui ai ensuite répondu en prenant soin d’imprimer une copie de ma réponse pou garder tous nos e-mails dans une boîte cachée de ma mère.
« Hi my Nick ! It’s unreal to call you like that ! But I love it. I appreciated your mail. I will not lie to you, I’m afraid too. Everybody at school will know about us tomorrow or, with chance, Wednesday. I know that they will look at me like if I was a stranger or an E.T... I miss you too, Nick. I’m happy to know that you have faith in me. You’re the first guy who I really love. That’s crazy to say that because I have many boyfriends, but no one was like you. Maybe you don’t see it, but you’re… how can I say it…You’re not perfect, but you have something really special in yourself that give to people near of you warmth and you always know how to make others smile again. That’s some of the things I love about you. Sorry, I’ve gotta go too. My mom is coming and she doesn’t know about us. I’ll talk to you later! With all my love and my heart, your cutie girl.
p.s.: I will send you pictures of my city and my friends tomorrow or later in the week. »
J’ai fermé ma boîte mail tout juste comme ma mere entrait dans la sale d’ordi. Elle m’a fait signe de sortir.
« Va défaire tes bagages. »
« Je le ferai tantôt. »
« Non, tout de suite. Tu auras tout le temps que tu voudras pour aller sur l’ordi. »
J’ai lâché un soupir et je suis sortie de la salle d’ordi pour aller défaire mon sac. Mon super week-end à New York était devenu triste et merdique depuis que j’avais quitté cette ville et, avec elle, Nick.
Alianne- Nombre de messages : 106
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Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
La journée a passé très lentement. J’avais une certaine anxiété face au lendemain, mais je m’efforçais de ne pas y penser. Je me suis connectée à MSN. vers la fin de la journée quand ma mère a préparé le souper. La première chose que j’ai vu, c’était que j’avais un nouveau contact. Frack. Inutile de demander qui c’était. Je me suis empressée d’ouvrir une fenêtre de conversation.
Alianne-Nick ?
Frack-Hi honey ! How are you?
Alianne-Not really good…
Frack-What’s happening?
Alianne-There’s my mom who don’t believe me and I’m afraid of what will happen tomorrow…
Frack-You told it to your mom?
Alianne-Yes but it wasn’t a great idea…
Frack-I would be near of you to hold you, Jen.
Alianne-I want it too… but you have your shows to do.
Frack-…yes…
Alianne-I’ve gotta go, the supper is ready.
Frack-I’ve to go to the show so I’ll quit too.
Alianne-I love you Nick.
Frack- Love you too, babe.
Alianne-Bye.
Frack-Bye.
Je me suis déconnectée et je suis partie manger. Ma mère était toujours aussi froide avec moi, croyant encore que je lui mentais. Mais qu’est-ce qu’il fallait que je fasses pour qu’elle comprenne ? Je l’ai laissé dans ses illusions que j’étais encore trop rêveuse et je suis allée me connecter sur le forum où je n’avais pas été depuis le Jeudi soir. J’ai été dire bonjour aux filles et à Marco dans discussion. Bien entendu, ils m’ont demandé comment avait été mon voyage. Elea, qui se rappelait avoir vu sur la liste des spectacles des boys la ville de New York, me demanda si je les avais vus. Eux, je ne pouvais pas leur mentir. C’était mes amis. Je leur ai donc raconté le ‘coup de foudre’ entre Nick et moi lors de notre rencontre, le souper, les fleurs, le show, la promenade et les aurevoirs. J’ai gardé pour moi la chanson I Promise You et sa signification depuis mon départ de New York. Les filles étaient toutes super contetes pour moi et Marco aussi, même s’il n’adorait pas vraiment Nick. Au moins, eux me comprenaient. Ensuite, je suis allée dans le défoulatoire expliquer la réaction de ma mère que je trouvais injuste de ne pas m’accorder le bénéfice du doute. Pour elle, j’avais rêvé, point final. Ce que je détestais quand elle faisait ça ! Après leur avoir parlé durant deux heures, elles ont fini par me convaincre que ma mère allait finir par me croire et que je ne devais pas m’en faire au sujet de ma relation naissante avec Nick. Il m’aimait vraiment, puisqu’il m’avait écrit dès mon départ de la Grosse Pomme et qu’on avait chatté lors de son arrivé à Washington. J’ai écouté Date Movie avec Alyson Hannigan avant d’aller dormir. Rien de mieux que de rire un peu quand on est triste. Finalement, une fois dans mon lit, j’ai écouté I Need You Tonight en boucle comme je le faisais souvent. Par contre, cette fois la chanson avait une toute nouvelle signification pour moi. Nick me manquait plus que jamais et j’avais l’impression de n’être rien quand il n’était pas là. Tout en lui me manquais. Son sourire charmeur, ses baisers enflammés, ses bras réconfortants et même ses blagues tellement plates que je ne pouvais m’empêcher d’en rire. Toutes ces choses qui rendaient mon Nick si attirant à mes yeux.
Alianne-Nick ?
Frack-Hi honey ! How are you?
Alianne-Not really good…
Frack-What’s happening?
Alianne-There’s my mom who don’t believe me and I’m afraid of what will happen tomorrow…
Frack-You told it to your mom?
Alianne-Yes but it wasn’t a great idea…
Frack-I would be near of you to hold you, Jen.
Alianne-I want it too… but you have your shows to do.
Frack-…yes…
Alianne-I’ve gotta go, the supper is ready.
Frack-I’ve to go to the show so I’ll quit too.
Alianne-I love you Nick.
Frack- Love you too, babe.
Alianne-Bye.
Frack-Bye.
Je me suis déconnectée et je suis partie manger. Ma mère était toujours aussi froide avec moi, croyant encore que je lui mentais. Mais qu’est-ce qu’il fallait que je fasses pour qu’elle comprenne ? Je l’ai laissé dans ses illusions que j’étais encore trop rêveuse et je suis allée me connecter sur le forum où je n’avais pas été depuis le Jeudi soir. J’ai été dire bonjour aux filles et à Marco dans discussion. Bien entendu, ils m’ont demandé comment avait été mon voyage. Elea, qui se rappelait avoir vu sur la liste des spectacles des boys la ville de New York, me demanda si je les avais vus. Eux, je ne pouvais pas leur mentir. C’était mes amis. Je leur ai donc raconté le ‘coup de foudre’ entre Nick et moi lors de notre rencontre, le souper, les fleurs, le show, la promenade et les aurevoirs. J’ai gardé pour moi la chanson I Promise You et sa signification depuis mon départ de New York. Les filles étaient toutes super contetes pour moi et Marco aussi, même s’il n’adorait pas vraiment Nick. Au moins, eux me comprenaient. Ensuite, je suis allée dans le défoulatoire expliquer la réaction de ma mère que je trouvais injuste de ne pas m’accorder le bénéfice du doute. Pour elle, j’avais rêvé, point final. Ce que je détestais quand elle faisait ça ! Après leur avoir parlé durant deux heures, elles ont fini par me convaincre que ma mère allait finir par me croire et que je ne devais pas m’en faire au sujet de ma relation naissante avec Nick. Il m’aimait vraiment, puisqu’il m’avait écrit dès mon départ de la Grosse Pomme et qu’on avait chatté lors de son arrivé à Washington. J’ai écouté Date Movie avec Alyson Hannigan avant d’aller dormir. Rien de mieux que de rire un peu quand on est triste. Finalement, une fois dans mon lit, j’ai écouté I Need You Tonight en boucle comme je le faisais souvent. Par contre, cette fois la chanson avait une toute nouvelle signification pour moi. Nick me manquait plus que jamais et j’avais l’impression de n’être rien quand il n’était pas là. Tout en lui me manquais. Son sourire charmeur, ses baisers enflammés, ses bras réconfortants et même ses blagues tellement plates que je ne pouvais m’empêcher d’en rire. Toutes ces choses qui rendaient mon Nick si attirant à mes yeux.
Alianne- Nombre de messages : 106
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Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
Le lendemain matin, je me suis réveillée à 6 heures comme tous les matins d’école. Je me suis préparée jusqu’à ce que l’heure soit venue de partir. Je me suis dirigée vers l’arrêt d’autobus qui est arrivée 2 minutes plus tard. Les gens assis dans l’autobus me regardaient bizarrement. Je me doutais qu’ils avaient su quelque chose. Quand je suis arrivée à l’école, Fanny y était déjà. Elle avait dormi chez ses grands-parents et elle n,avait donc pas eu besoin de prendre le bus. Mélissa était avec elle. Elle me serra dans ses bras.
« C’est super, tu sort avec Nick !!! »
« Mouais...c’est super... »
« Qu’est-ce qu’il y a ? »
« Il me manque... »
« Oh... »
Elle me fit un autre calin en même temps que Max arrivait.
« Jennifer. »
Je me suis retournée et j’ai essayé de ne pas parraître trop triste.
« Salut Max. »
« Pourquoi tu es venue ? »
« Ma mère ne m’aurait pas laissée rester à la maison. De toute façon, elle ne me croit pas. »
« Ton histoire avec Nick est passée au journal télévisé. Je vois pas pourquoi elle ne te croirais pas. Enfin, si jamais tu veux parler, je suis là. »
« Merci Max. Ça me touche. »
« De rien. Bon, j’y vais si je veux préparer mon premier cours. À plus tard ! »
« Bye ! »
Max est vraiment gentil quand il veut. Je n’ai pas vu Christian de la matinée. J’avais cours de science à la troisième période alors j’allais pouvoir lui parler. Monsieur Paradis, mon enseignant de français, me garda avec lui à la fin du cours pour me parler.
« Jennifer, je sais ce qui s’est passé à New York, pendant le voyage. Je voulais savoir si ça allait. Tu avais l’air d’être seulement à moitié là durant le cours. »
« Oui, je suis désolée. Je vais essayer d’être plus attentive au prochain cours. »
« D’accord. Mais si jamais tu veux essayer de venir en récupération, tu pourras peut-être empêcher tes notes de decendre. Tu es une élève très brillante et je tiens à ce que tu réussisses ton année. »
« Merci monsieur Paradis. Je vais probablement venir en récupération demain midi. »
« Très bien. À demain Jennifer. »
« À demain monsieur Paradis. »
Je suis allée dîner avec la gang de la bibliothèque. Gabrielle, que j’appellais mon petit lapin Énergizer, m’a fait entre 20 et 50 calins durant toute l’heure du dîner. Parler avec elle, Méli, Mathieu et Fanny m’a permis de décompresser un peu et d’apaiser un minimum la peine que j’éprouvais. La troisième période s’est bien passée, avec Christian qui n,arrêtait pas de dire des stupidités pour nous faire rire. Après le cours, il m,a demandé si j,allais bien, ce à quoi j,ai répondu :
« Oui, Christian. Je vais mieux maintenant. Je suis encore triste mais je survis. »
Je l’ai laissé après lui avoir dis un dernier aurevoir. Vous croyez sûrement que tous les profs compatissaient. Hey non. L’enseignant d’histoire a vraiment voulu me rabaisser durant la dernière période de la journée. Il a profité du fait que Nick soit américain pour me faire honte devant toute la classe. D’abord, il a fait une subtile allusion à notre relation. Je vais vous mettre dans le contexte. Il parlait du fait que les Québécois étaient beuacoup trop américanisés à son goût, en parlant par exemple de groupes de musique. Il a bien entendu fait allusion aux Backstreet Boys. Mais le pire a été cette phrase qu’il m’a pratiquement crachée au visage.
« On ne se fait plus seulement envahir par les américains, c’est rendu que certaines personnes sortent avec eux ! Mais où s’en va le monde ? »
Je me suis levée et j,ai pris mes choses. Comme j’allais sortir de la classe, Patrick, mon enseignant, m’a regardé.
« Je peux savoir ce que vous faîtes, mademoiselle Dion ? »
« Le monde, je sais pas où il s’en va, mais moi je sort ! »
« Et pourquoi ? »
« Parce que j’en ai assez entendu. »
« Tu vas te rasseoir jusqu’à la fin du cours. »
« Non. »
« Oh que si ! »
« Non ! Je n’ai pas à vous entendre déblatérez sur des sujets qui ne vous concernent pas. »
« L’avenir du Québec me concerne. »
« Mais pas ma relation avec Nick ! Vous n’aviez aucunement le droit de porter un jugement aussi injuste sur mon petit ami ! »
« Pff...Une embrassade et c’est ton petit ami. Est-ce que tu connais le vrai sens de l’amour ? »
« Ouais ! Et beaucoup plus que vous, je crois. L’amour est plus fort que beaucoup de choses et la nationalité fait partie de ces choses ! Alors maintenant, je pars. Que vous le vouliez ou non ! »
Je suis partie, laissant derrière moi des élèves ébahient par mon comportement et un enseignant en colère qui me ferait payer mon arrogance en baissant mes notes au maximum. Comment pouvait-il agir ainsi ? Un prof n’était-il pas sencé aider ses élèves à s’épanouir, comme le disait si bien Max ? Oui, il pouvait adorer le Québec et ne pas vouloir que les américains nous ‘pervertissent’ d’une certaine façon, mais il n,avait en aucun cas le droit de porter un jugement sur mes relations personnelles et surtout pas devant une classe complète ! J’ai marché dans les couloirs sans savoir vraiment où j’allais. C’est Max qui m’a trouvée assise dans les escaliers qui menaient au sous-sol.
« Jennifer, ça va ? »
J’ai secoué la tête en signe de négation.
« Qu’est-ce qui s’est passé ? »
« C,est le prof d’histoire. Patrick. »
« Qu’est-ce qu’il a fait ? »
« Il m’a rabaissé devant toute les élèves de la classe, y compris Eric. »
« À propos de Nick et toi ? »
« Ouais... Selon lui, les Québécois sont trop américanisés et c’est une honte de sortir avec un américain. »
« Tu veux qu’on aille en parler dans ma classe ? Parce que là, l’escalier est pas très confortable. »
J’ai fait un petit sourire et je l’ai suivis. Nous avons parlé de plein de choses jusqu’à ce que la cloche sonne. Max m,a laissé partir pour que je ne ratte pas le bus. Avant de partir, je l’ai serré dans mes bras en lui murmurant un merci à peine audible. Il avait été d’une grande aide et maintenant, je savais ce qu’il me resterait à faire, le lendemain. J’irais voir le directeur adjoint de mon niveau pour régler cette histoire avec Patrick. Probablement que je changerais de classe pour avoir Déreck comme enseignant. Lui, il était super gentil. Tout le contraire de mon actuel prof d’histoire... J’ai donc pris le bus jusqu,à chez moi, accompagnée de Fanny et Mélissa avec qui j,ai déconné tout le long du trajet. Quand je suis arrivée chez moi, 30 minutes plus tard, un mail m’attendait dans ma boîte de réception hotmail. Un mail de mon petit ami.
« C’est super, tu sort avec Nick !!! »
« Mouais...c’est super... »
« Qu’est-ce qu’il y a ? »
« Il me manque... »
« Oh... »
Elle me fit un autre calin en même temps que Max arrivait.
« Jennifer. »
Je me suis retournée et j’ai essayé de ne pas parraître trop triste.
« Salut Max. »
« Pourquoi tu es venue ? »
« Ma mère ne m’aurait pas laissée rester à la maison. De toute façon, elle ne me croit pas. »
« Ton histoire avec Nick est passée au journal télévisé. Je vois pas pourquoi elle ne te croirais pas. Enfin, si jamais tu veux parler, je suis là. »
« Merci Max. Ça me touche. »
« De rien. Bon, j’y vais si je veux préparer mon premier cours. À plus tard ! »
« Bye ! »
Max est vraiment gentil quand il veut. Je n’ai pas vu Christian de la matinée. J’avais cours de science à la troisième période alors j’allais pouvoir lui parler. Monsieur Paradis, mon enseignant de français, me garda avec lui à la fin du cours pour me parler.
« Jennifer, je sais ce qui s’est passé à New York, pendant le voyage. Je voulais savoir si ça allait. Tu avais l’air d’être seulement à moitié là durant le cours. »
« Oui, je suis désolée. Je vais essayer d’être plus attentive au prochain cours. »
« D’accord. Mais si jamais tu veux essayer de venir en récupération, tu pourras peut-être empêcher tes notes de decendre. Tu es une élève très brillante et je tiens à ce que tu réussisses ton année. »
« Merci monsieur Paradis. Je vais probablement venir en récupération demain midi. »
« Très bien. À demain Jennifer. »
« À demain monsieur Paradis. »
Je suis allée dîner avec la gang de la bibliothèque. Gabrielle, que j’appellais mon petit lapin Énergizer, m’a fait entre 20 et 50 calins durant toute l’heure du dîner. Parler avec elle, Méli, Mathieu et Fanny m’a permis de décompresser un peu et d’apaiser un minimum la peine que j’éprouvais. La troisième période s’est bien passée, avec Christian qui n,arrêtait pas de dire des stupidités pour nous faire rire. Après le cours, il m,a demandé si j,allais bien, ce à quoi j,ai répondu :
« Oui, Christian. Je vais mieux maintenant. Je suis encore triste mais je survis. »
Je l’ai laissé après lui avoir dis un dernier aurevoir. Vous croyez sûrement que tous les profs compatissaient. Hey non. L’enseignant d’histoire a vraiment voulu me rabaisser durant la dernière période de la journée. Il a profité du fait que Nick soit américain pour me faire honte devant toute la classe. D’abord, il a fait une subtile allusion à notre relation. Je vais vous mettre dans le contexte. Il parlait du fait que les Québécois étaient beuacoup trop américanisés à son goût, en parlant par exemple de groupes de musique. Il a bien entendu fait allusion aux Backstreet Boys. Mais le pire a été cette phrase qu’il m’a pratiquement crachée au visage.
« On ne se fait plus seulement envahir par les américains, c’est rendu que certaines personnes sortent avec eux ! Mais où s’en va le monde ? »
Je me suis levée et j,ai pris mes choses. Comme j’allais sortir de la classe, Patrick, mon enseignant, m’a regardé.
« Je peux savoir ce que vous faîtes, mademoiselle Dion ? »
« Le monde, je sais pas où il s’en va, mais moi je sort ! »
« Et pourquoi ? »
« Parce que j’en ai assez entendu. »
« Tu vas te rasseoir jusqu’à la fin du cours. »
« Non. »
« Oh que si ! »
« Non ! Je n’ai pas à vous entendre déblatérez sur des sujets qui ne vous concernent pas. »
« L’avenir du Québec me concerne. »
« Mais pas ma relation avec Nick ! Vous n’aviez aucunement le droit de porter un jugement aussi injuste sur mon petit ami ! »
« Pff...Une embrassade et c’est ton petit ami. Est-ce que tu connais le vrai sens de l’amour ? »
« Ouais ! Et beaucoup plus que vous, je crois. L’amour est plus fort que beaucoup de choses et la nationalité fait partie de ces choses ! Alors maintenant, je pars. Que vous le vouliez ou non ! »
Je suis partie, laissant derrière moi des élèves ébahient par mon comportement et un enseignant en colère qui me ferait payer mon arrogance en baissant mes notes au maximum. Comment pouvait-il agir ainsi ? Un prof n’était-il pas sencé aider ses élèves à s’épanouir, comme le disait si bien Max ? Oui, il pouvait adorer le Québec et ne pas vouloir que les américains nous ‘pervertissent’ d’une certaine façon, mais il n,avait en aucun cas le droit de porter un jugement sur mes relations personnelles et surtout pas devant une classe complète ! J’ai marché dans les couloirs sans savoir vraiment où j’allais. C’est Max qui m’a trouvée assise dans les escaliers qui menaient au sous-sol.
« Jennifer, ça va ? »
J’ai secoué la tête en signe de négation.
« Qu’est-ce qui s’est passé ? »
« C,est le prof d’histoire. Patrick. »
« Qu’est-ce qu’il a fait ? »
« Il m’a rabaissé devant toute les élèves de la classe, y compris Eric. »
« À propos de Nick et toi ? »
« Ouais... Selon lui, les Québécois sont trop américanisés et c’est une honte de sortir avec un américain. »
« Tu veux qu’on aille en parler dans ma classe ? Parce que là, l’escalier est pas très confortable. »
J’ai fait un petit sourire et je l’ai suivis. Nous avons parlé de plein de choses jusqu’à ce que la cloche sonne. Max m,a laissé partir pour que je ne ratte pas le bus. Avant de partir, je l’ai serré dans mes bras en lui murmurant un merci à peine audible. Il avait été d’une grande aide et maintenant, je savais ce qu’il me resterait à faire, le lendemain. J’irais voir le directeur adjoint de mon niveau pour régler cette histoire avec Patrick. Probablement que je changerais de classe pour avoir Déreck comme enseignant. Lui, il était super gentil. Tout le contraire de mon actuel prof d’histoire... J’ai donc pris le bus jusqu,à chez moi, accompagnée de Fanny et Mélissa avec qui j,ai déconné tout le long du trajet. Quand je suis arrivée chez moi, 30 minutes plus tard, un mail m’attendait dans ma boîte de réception hotmail. Un mail de mon petit ami.
Alianne- Nombre de messages : 106
Age : 34
Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
Un sourire est apparu sur mon visage quand j’ai vu l’adresse de l’expéditeur du mail. Enfin, une bonne nouvelle. J’ai ouvert le mail qui m’a fait chaud au coeur.
« Hello babe. I think you’re at school right now. It’s 2:50. I don’t know when you’ll be back but I just want to tell you how I love you, Jen. You’re the best thing that happened in my life and I love you so much. You remember what I said to you before you go at New York?
I promise you
From the bottom of my heart
I will love you till death do us part
I promise you
As a lover and a friend
I will love you like I never love again
With everything I am
From the first second I saw you, I knew that you would be an important part of my life. Your beautiful smile, your laughing eyes, your wonderful kisses. Everything in you makes me feel great. When I saw go in this bus, I just wanted to go with you. But I had the shows. I know I can’t let our fans like that just because I want to be with you. You know what? Today, I talked with Bone and he said that he found you really nice. He said that you seem to be a great girl. Better than Mandy and Paris, anyway. He was totally right with your opinion of Paris lol. Sorry my love, I have to go to the sound check. I hope you’ll answer me soon. I love you, honey. Take care. Your Nick.
p.s.:Below, there’s some pictures of Washington and one of me and the Boys. They all say hello to your gang! »
Je me suis empressée de répondre avant que ma mere rentre du travail.
« Hi my love ! as you though, I was at school when you wrote to me. I finish it at 3:10. Your mail was just like a sunshine in this sad day. At school, it was horrible. All the students were looking at me like if I just come from another planet. Many teachers were understanding with me but my History teacher was just so bad…He really loves the Quebec and hates Americans. He told to all the students of my class that we were invade by the Americans by stores and music. After that, he told us that some of us (me in this case) were hanging out with Americans and that was crazy. I don’t know why he said that but that made me so sad! I run out off the classroom and Max (remember the really nice teacher that was with us) found me as I was sitting in the stairs. We talked a lot during the last period of the day. It makes me feel better. But the words that my History teacher said are just haunting my mind. If you read me letter before tomorrow at 7:00, can you just answer me as fast as you can, please. I need your words. I love you. Kisses. Jen.
p.s.: Thanks for the pictures. I’ll take some of the gang who work with me at the Library tomorrow.
p.s. 2: I’m happy to know that A.J. likes me. What’s about Frick and D? »
J’ai cliqué sur envoyer et le message est partit en direction de la boîte hotmail de mon amoureux. J’attendis sa réponse quelques minutes, quand ma mère finit par arriver du travail. J’ai fermé ma boîte de réception que j’actualisais aux 10 secondes et j’ai ouvert la page internet du forum. J’ai été raconté l’aventure de la troisième période dans la section défoulatoire et j’ai ensuite éteint internet car le souper était prêt. Ma mère a voulu me parler durant le souper je croyais que c’était pour me faire ‘dire la vérité’, mais c’était pour autre chose.
« Ma chouette, je sais que je t’ai pas cru hier et je m’excuse. J’aurais dû. C’est juste que tu rêves depuis si longtemps de ça que je croyais que c’était encore un rêve que tu me racontais. »
« C’est normal, maman. C’est vrai que c’est pas facile à croire. Même moi je me demande encore si je suis pas dans un rêve. »
« Par contre, même si c’est vrai ce qui s’est passé entre vous, je veux pas que tu oublis que vous êtes très loin un de l’autre et que l’amour à distance, ça fonctionne rarement. Tu te souviens de ton Français. »
« Je me souviens malheureusement d’Anthony, oui. Mais là c’est pas la même chose. Je l’ai pas rencontré sur internet, Nick. Je lui ai foncé dedans. Si ça c’est pas de la rencontre en cair et en os. »
« C’est comme ça que vous avez fait connaissance ? »
« Ouaip ! Je parlais avec Fanny et lui avec Brian. On s’est foncé dedans, je suis tombée et il m’a invité à souper pour se faire pardonner si jamais j’avais une bosse sur la tête. »
« Dis donc, si ça c’est pas un coup de foudre... »
« Fan a dis la même chose ! »
On a finit de manger en parlant de mon week-end. Ma mère m’a fait promettre de faire attention et de ne pas trop m’attacher à lui au cas où il ne serait pas sérieux dans cette histoire. Ma promesse était brisée avant même que je l’aie dite. Je suis retournée sur internet après avoir mangé. Une réponse à ma lettre m’attendait.
« Hi cutie girl. When I read your mail, I just wanted to take the plane to go see you and make your teacher pay for what he said. How could he be heartless! It’s something he couldn’t say! I would be there with you to make you feel better. I have good news for you. Maybe it will make you smile. Now, we’re at Boston and we’ll be at Cleveland Thursday. After this week, we have one week off. If you want it, I could come to see you at Montreal. I will visit the city during your time at school and maybe I could see your family. And we could pass the evenings together. If you think it’s a good idea, answer me as soon as possible. And you could tell me what will happen to your stupid and heartless History teacher. I hope you’ll accept my suggestion for the next week. Talk to you later, babe. I love you with all my heart, Nick. »
Devinez ce que j’ai fait en premier après avoir imprimé la lettre de mon petit ami. Je lui ai réponds ! Et la réponse à sa proposition pour la semaine suivante n’aurait pu être plus claire que celle que je lui fournis !
« Hello babe. I think you’re at school right now. It’s 2:50. I don’t know when you’ll be back but I just want to tell you how I love you, Jen. You’re the best thing that happened in my life and I love you so much. You remember what I said to you before you go at New York?
I promise you
From the bottom of my heart
I will love you till death do us part
I promise you
As a lover and a friend
I will love you like I never love again
With everything I am
From the first second I saw you, I knew that you would be an important part of my life. Your beautiful smile, your laughing eyes, your wonderful kisses. Everything in you makes me feel great. When I saw go in this bus, I just wanted to go with you. But I had the shows. I know I can’t let our fans like that just because I want to be with you. You know what? Today, I talked with Bone and he said that he found you really nice. He said that you seem to be a great girl. Better than Mandy and Paris, anyway. He was totally right with your opinion of Paris lol. Sorry my love, I have to go to the sound check. I hope you’ll answer me soon. I love you, honey. Take care. Your Nick.
p.s.:Below, there’s some pictures of Washington and one of me and the Boys. They all say hello to your gang! »
Je me suis empressée de répondre avant que ma mere rentre du travail.
« Hi my love ! as you though, I was at school when you wrote to me. I finish it at 3:10. Your mail was just like a sunshine in this sad day. At school, it was horrible. All the students were looking at me like if I just come from another planet. Many teachers were understanding with me but my History teacher was just so bad…He really loves the Quebec and hates Americans. He told to all the students of my class that we were invade by the Americans by stores and music. After that, he told us that some of us (me in this case) were hanging out with Americans and that was crazy. I don’t know why he said that but that made me so sad! I run out off the classroom and Max (remember the really nice teacher that was with us) found me as I was sitting in the stairs. We talked a lot during the last period of the day. It makes me feel better. But the words that my History teacher said are just haunting my mind. If you read me letter before tomorrow at 7:00, can you just answer me as fast as you can, please. I need your words. I love you. Kisses. Jen.
p.s.: Thanks for the pictures. I’ll take some of the gang who work with me at the Library tomorrow.
p.s. 2: I’m happy to know that A.J. likes me. What’s about Frick and D? »
J’ai cliqué sur envoyer et le message est partit en direction de la boîte hotmail de mon amoureux. J’attendis sa réponse quelques minutes, quand ma mère finit par arriver du travail. J’ai fermé ma boîte de réception que j’actualisais aux 10 secondes et j’ai ouvert la page internet du forum. J’ai été raconté l’aventure de la troisième période dans la section défoulatoire et j’ai ensuite éteint internet car le souper était prêt. Ma mère a voulu me parler durant le souper je croyais que c’était pour me faire ‘dire la vérité’, mais c’était pour autre chose.
« Ma chouette, je sais que je t’ai pas cru hier et je m’excuse. J’aurais dû. C’est juste que tu rêves depuis si longtemps de ça que je croyais que c’était encore un rêve que tu me racontais. »
« C’est normal, maman. C’est vrai que c’est pas facile à croire. Même moi je me demande encore si je suis pas dans un rêve. »
« Par contre, même si c’est vrai ce qui s’est passé entre vous, je veux pas que tu oublis que vous êtes très loin un de l’autre et que l’amour à distance, ça fonctionne rarement. Tu te souviens de ton Français. »
« Je me souviens malheureusement d’Anthony, oui. Mais là c’est pas la même chose. Je l’ai pas rencontré sur internet, Nick. Je lui ai foncé dedans. Si ça c’est pas de la rencontre en cair et en os. »
« C’est comme ça que vous avez fait connaissance ? »
« Ouaip ! Je parlais avec Fanny et lui avec Brian. On s’est foncé dedans, je suis tombée et il m’a invité à souper pour se faire pardonner si jamais j’avais une bosse sur la tête. »
« Dis donc, si ça c’est pas un coup de foudre... »
« Fan a dis la même chose ! »
On a finit de manger en parlant de mon week-end. Ma mère m’a fait promettre de faire attention et de ne pas trop m’attacher à lui au cas où il ne serait pas sérieux dans cette histoire. Ma promesse était brisée avant même que je l’aie dite. Je suis retournée sur internet après avoir mangé. Une réponse à ma lettre m’attendait.
« Hi cutie girl. When I read your mail, I just wanted to take the plane to go see you and make your teacher pay for what he said. How could he be heartless! It’s something he couldn’t say! I would be there with you to make you feel better. I have good news for you. Maybe it will make you smile. Now, we’re at Boston and we’ll be at Cleveland Thursday. After this week, we have one week off. If you want it, I could come to see you at Montreal. I will visit the city during your time at school and maybe I could see your family. And we could pass the evenings together. If you think it’s a good idea, answer me as soon as possible. And you could tell me what will happen to your stupid and heartless History teacher. I hope you’ll accept my suggestion for the next week. Talk to you later, babe. I love you with all my heart, Nick. »
Devinez ce que j’ai fait en premier après avoir imprimé la lettre de mon petit ami. Je lui ai réponds ! Et la réponse à sa proposition pour la semaine suivante n’aurait pu être plus claire que celle que je lui fournis !
Alianne- Nombre de messages : 106
Age : 34
Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
« Hi Nick ! I’m glad to know that you answered me so fast. Don’t worry about my History teacher, I’ll talk to my school director tomorrow. Maybe I’ll finish the school year in another class. For your suggestion, let me think about it… Of course I want you to come!!!! What a question! Friday (not this week, the next one) we have a day off at school so we’ll spend it together! If you want, of course. But, I’m not sure my mom will let you sleep at home. She’s a bit protective lol. So, I’ll ask her but I’m not sure of her answer. I’ll give you news tomorrow. Take care and, like always, be the best! I love you. Your angel, Jen. »
J’ai imprimé mon message et je l’ai ensuite envoyé. Prochaine étape, espérer que ma mère accepte d’héberger mon copain. Je me doutais déjà de la réponse, mais je ne perdais rien à lui demander.
« Maman ? »
« Papa ? »
« Vraiment très drôle. Non, sérieux j’ai une question à te poser. »
« Quoi ? »
« Nick peut venir la semaine prochaine ?? »
« QUOI ? »
« Ben il a une semaine de libre et il veut venir la passer avec moi. »
« Et l’école ? »
« On va se voir le soir et Vendredi j’ai une journée pédagoique ! Pitié ! »
« Non. Pas question que je l’héberge. Je le connais même pas ! »
« Mais où il va dormir ? »
« À l’hôtel ! »
Je suis retournée dans la salle d’ordi et j’ai été sur le forum pour me calmer et parler avec les filles. Marco était absent ce soir là alors on a parlé entre filles. Ça m’a fait du bien de leur parler. Je me suis un peu calmée. J’ai écouté Never Gone deux ou trois fois et je suis partie me coucher. Le lendemain, je commençais avec un cours de danse et je me devais d’être en forme. Ce qui était bien avec ce cours là, c’était qu’une ou deux fois par étape, on devait nous-même créer notre chorégraphie sur une chanson qui nous inspirait et que les miennes étaient toujours sur des chansons des Boys. Ça faisait découvrir leur musique aux autres filles de la classe et c’était des chansons qui m’inspiraient souvent pour faire de super chorégraphies.
J’ai imprimé mon message et je l’ai ensuite envoyé. Prochaine étape, espérer que ma mère accepte d’héberger mon copain. Je me doutais déjà de la réponse, mais je ne perdais rien à lui demander.
« Maman ? »
« Papa ? »
« Vraiment très drôle. Non, sérieux j’ai une question à te poser. »
« Quoi ? »
« Nick peut venir la semaine prochaine ?? »
« QUOI ? »
« Ben il a une semaine de libre et il veut venir la passer avec moi. »
« Et l’école ? »
« On va se voir le soir et Vendredi j’ai une journée pédagoique ! Pitié ! »
« Non. Pas question que je l’héberge. Je le connais même pas ! »
« Mais où il va dormir ? »
« À l’hôtel ! »
Je suis retournée dans la salle d’ordi et j’ai été sur le forum pour me calmer et parler avec les filles. Marco était absent ce soir là alors on a parlé entre filles. Ça m’a fait du bien de leur parler. Je me suis un peu calmée. J’ai écouté Never Gone deux ou trois fois et je suis partie me coucher. Le lendemain, je commençais avec un cours de danse et je me devais d’être en forme. Ce qui était bien avec ce cours là, c’était qu’une ou deux fois par étape, on devait nous-même créer notre chorégraphie sur une chanson qui nous inspirait et que les miennes étaient toujours sur des chansons des Boys. Ça faisait découvrir leur musique aux autres filles de la classe et c’était des chansons qui m’inspiraient souvent pour faire de super chorégraphies.
Alianne- Nombre de messages : 106
Age : 34
Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
La semaine s’est plutôt bien passée. Ma professeure de danse a aimé ma chorégraphie mais elle sait que je peux faire mieux. J’avais refait à ma façon la chorégraphie de Larger Than Life en gardant quelques éléments. Pour mon prof d’Histoire, j’ai changé de classe et le directeur de mon niveau l’a engueulé. Je suis rendue avec Dérek, qui est un prof beaucoup plus gentil et compréhensif. Nick et moi on s’écrit à chaque jour. On se parle de nos coups dur et de on se réconforte mutuellement. Il a été très content de savoir que je changeais de classe. Je lui ai demandé quelques fois quand il arrivait, mais il ne m,a pas répondu. Il a été d’accord pour dormir à l’hôtel, mais il m,a dis qu’il tenait à passer la nuit de Samedi prochain avec moi. Ma mère a accepté après m’avoir réexpliquer sa façon de voir le sexe pour la 90ième fois depuis que j,ai atteind l’adolescence. On ne va même pas coucher ensemble ! Je ne suis pas prête à ça, on se connait seulement depuis une semaine. Donc, le Vendredi est arrivé très vite et, avec lui, le soleil rayonnant de la fin Avril. La semaine suivante, le mois de Mai commençait, emportant avec lui la chaleur et la fin du printemps. Le soleil de l’après-midi rayonnait haut dans le ciel quand la cloche signalant la fin des cours a sonné. J’ai été chercher mes choses et je suis sortie au grand air. Fanny avait un regard espiègle depuis ce matin là. Je n,arrivais pas à savoir ce qu’elle manigançait et je n,était pas sûre de devoir me réjouir de son plan.
« Fan, tu fais quoi ce soir ? »
« Je sais pas, mais toi t’es occupée ! »
« Comment ça ? »
« Regarde devant toi. »
Je me suis éxécutée. Quelques mètres plus loin, Nick me regardait avec un grand sourire. Quelques personnes nous regardaient, mais je m’en fichait. Je me suis mise à courir pour traverser la distance qui nous séparait. Nick a ouvert les bras et j’ai laissé tomber mon sac avant de me jeter dans ses bras protecteur.
« Nick ! »
« Hi beauty ! »
« Tu m’as tellement manqué ! »
« Toi aussi, ma belle. »
« Comment tu as su où était mon école ? »
« Ta best m,a un peu aidé. »
« Un peu ? »
Fanny nous avait rejoints et regardait mon petit copain, les mains sur les hanches.
« Bon, d’accord. Beaucoup. T’es contente ? »
« Ouaip ! Alors, ça va toi ? »
« Ouais, je vais super bien maintenant que je suis avec ma princesse. »
Je l’ai embrassé et un raclement de gorge nous a fait tourner la tête.
« Y’a des chambres pour ça ! »
Nous avons tous trois pouffé de rire et nous sommes montés dans la jeep de mon amoureux après que j’aie ramassé mon sac. Nous avons été porter ma soeur chez elle et nous sommes passés par chez moi. Je me suis changée et j’ai appellé ma mère pour lui annoncer que je sortais souper avec Nick. Nous sommes ensuite repartis vers le centre-ville où mon copain avait loué une table chez Vinnie Gambini. Nous avons soupé en amoureux en parlant de tout et de rien. Bien entendu, quelques personnes ont demandé des autographes à Nick et il en signé deux ou trois avant de déclarer qu’il souhaitait continuer à manger. Les gens sont retournés à leurs tables et nous avons fini de manger. Après le souper, nous avons été nous promener dans le vieux-port. Ce qui est amusant avec cet endroit c’est qu’on peut voir les étoiles, même si on est pleine ville. On s’est amusés à compter les étoiles et à leur donner des noms pendant que nous étions confortablement installés sur une couverture posée sur le gazon. C,était vraiment une belle soirée. Nous avons rebatisé plusieurs étoiles durant la soirée, dont les ‘sept soeurs’ auquelles nous avons donné les noms des la famille Carter. La plus brillante, c’est Nick. Celle juste à sa gauche, Aaron. Les trois autres plus petites c’est BJ, Angel et Leslie. Celle qui est à l’opposée de la plus brillante, c’est Jane et celle à la droite de la première, c’est moi. Nicky tenait à ce que je sois à sa droite. Selon lui, c’est parce que je compte beaucoup pour lui et que je suis là pour l’épauler dans les bons comme dans les mauvais moments. On a aussi renommé la petite ourse au nom de ma gang. Fanny est l’étoile polaire, Mélissa est la première à sa droite, Gabrielle la première à sa gauche, Mathieu est entre Fanny et Mélissa et Max et Christian ferment la constellation. On a eu beaucoup de plaisir à nommer les étoiles. Nous sommes repartis chez moi vers minuit. Nick m,a raccompagné jusqu’à ma porte où il m’a embrassé. Comme dans un film américain ! Il m’a laissé rentrerr chez moi et il est partit à l,hôtel après m,avoir promis de venir me réveiller le lendemain matin. J’avais déjà hâte d’y être ! Je suis allée me coucher en fredonnant I promise you (With everything I am) pas trop fort pour ne pas réveiller ma mère qui dormait. La soirée avait été tout simplement magique. J’avais hâte de voir ce que mon petit copain me réservais pour la suite de cette semaine qui allait s’avérer beaucoup plus riche en émotions que je ne l’aurais cru.
« Fan, tu fais quoi ce soir ? »
« Je sais pas, mais toi t’es occupée ! »
« Comment ça ? »
« Regarde devant toi. »
Je me suis éxécutée. Quelques mètres plus loin, Nick me regardait avec un grand sourire. Quelques personnes nous regardaient, mais je m’en fichait. Je me suis mise à courir pour traverser la distance qui nous séparait. Nick a ouvert les bras et j’ai laissé tomber mon sac avant de me jeter dans ses bras protecteur.
« Nick ! »
« Hi beauty ! »
« Tu m’as tellement manqué ! »
« Toi aussi, ma belle. »
« Comment tu as su où était mon école ? »
« Ta best m,a un peu aidé. »
« Un peu ? »
Fanny nous avait rejoints et regardait mon petit copain, les mains sur les hanches.
« Bon, d’accord. Beaucoup. T’es contente ? »
« Ouaip ! Alors, ça va toi ? »
« Ouais, je vais super bien maintenant que je suis avec ma princesse. »
Je l’ai embrassé et un raclement de gorge nous a fait tourner la tête.
« Y’a des chambres pour ça ! »
Nous avons tous trois pouffé de rire et nous sommes montés dans la jeep de mon amoureux après que j’aie ramassé mon sac. Nous avons été porter ma soeur chez elle et nous sommes passés par chez moi. Je me suis changée et j’ai appellé ma mère pour lui annoncer que je sortais souper avec Nick. Nous sommes ensuite repartis vers le centre-ville où mon copain avait loué une table chez Vinnie Gambini. Nous avons soupé en amoureux en parlant de tout et de rien. Bien entendu, quelques personnes ont demandé des autographes à Nick et il en signé deux ou trois avant de déclarer qu’il souhaitait continuer à manger. Les gens sont retournés à leurs tables et nous avons fini de manger. Après le souper, nous avons été nous promener dans le vieux-port. Ce qui est amusant avec cet endroit c’est qu’on peut voir les étoiles, même si on est pleine ville. On s’est amusés à compter les étoiles et à leur donner des noms pendant que nous étions confortablement installés sur une couverture posée sur le gazon. C,était vraiment une belle soirée. Nous avons rebatisé plusieurs étoiles durant la soirée, dont les ‘sept soeurs’ auquelles nous avons donné les noms des la famille Carter. La plus brillante, c’est Nick. Celle juste à sa gauche, Aaron. Les trois autres plus petites c’est BJ, Angel et Leslie. Celle qui est à l’opposée de la plus brillante, c’est Jane et celle à la droite de la première, c’est moi. Nicky tenait à ce que je sois à sa droite. Selon lui, c’est parce que je compte beaucoup pour lui et que je suis là pour l’épauler dans les bons comme dans les mauvais moments. On a aussi renommé la petite ourse au nom de ma gang. Fanny est l’étoile polaire, Mélissa est la première à sa droite, Gabrielle la première à sa gauche, Mathieu est entre Fanny et Mélissa et Max et Christian ferment la constellation. On a eu beaucoup de plaisir à nommer les étoiles. Nous sommes repartis chez moi vers minuit. Nick m,a raccompagné jusqu’à ma porte où il m’a embrassé. Comme dans un film américain ! Il m’a laissé rentrerr chez moi et il est partit à l,hôtel après m,avoir promis de venir me réveiller le lendemain matin. J’avais déjà hâte d’y être ! Je suis allée me coucher en fredonnant I promise you (With everything I am) pas trop fort pour ne pas réveiller ma mère qui dormait. La soirée avait été tout simplement magique. J’avais hâte de voir ce que mon petit copain me réservais pour la suite de cette semaine qui allait s’avérer beaucoup plus riche en émotions que je ne l’aurais cru.
Alianne- Nombre de messages : 106
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Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
Le lendemain matin, ce sont de petits baisers dans le cou qui m’ont réveillée. J’ai doucement ouvert le yeux et j’ai vu mon amoureux penché sur moi, un sourire aux lèvres.
« Quelle agréable façon de se faire réveiller... »
« Je suis content que tu aimes ça. »
Je me suis assise dans mon lit et j’ai regardé l’heure. Il était 9 heures et demi. J’ai tourné la tête vers Nick et je l’ai embrassé avant de regarder ce qu’il portait. Il avait un t-shirt noir et un jeans. Ses cheveux étaient tout ébouriffés et j’aimais bien.
« Tu es mignon aujourd’hui. »
« Et toi tu es très belle. »
J’avais un pyjama camsiole-short rose de Bob l’Éponge. Nick m’a embrassée encore une fois avant de parler en regardant mon lit.
« J’avais l’intention de venir me coller pour dormir avec toi, mais ton lit ne me laisse pas beaucoup de place. »
« Disons que c’est rare qu’un gars vienne dormir à la maison et encore plus qu’il dorme dans mon lit avec moi. Le pourcentage approche dangeureusement le -1. »
Il lâcha un petit rire avant de me donner un baiser sur le front.
« J’ai apporté à déjeuner. Ta mère était très surprise de me voir arriver ce matin à 9h10. »
« Attends, t’as commencé à essayer de me réveiller y’a combien de temps ? »
« Une bonne dizaine de minutes. T’es très difficile à réveiller, tu sais ? »
« Ouais lol ! »
« Bon, je te laisse t’habiller. Je vais chercher le déjeuner et te faire du chocolat chaud puisque ta mère m’a dis que t’aimais pas le café. »
« Elle a raison. Allez, houste ! »
Je l’ai sortit de la chambre en riant. Bon, restait plus qu’à m’habiller. Mais quoi mettre ? J’ai opté pour mon pantalon de sport et mon t-shirt de Simple Plan. Je me suis rapidemment peigné les cheveux comme mon petit copain cognait à la porte. Je lui ai ouvert et j’ai vu un plateau sur lequel était posé une crêpe au chocolat avec couli de fraise dans une assiette et une omelette dans une autre. Un verre de mon jus (oasis pause-santé) et un autre de jus d’orange. Enfin, une rose était posée dans un vase à moitié rempli d’eau.
« Votre déjeuner, beauty princess. »
« Merci, sexy man. »
« J’aime bien ce surnom ! »
« Et j’adore Beauty princess. »
« Normal, tu es une belle princesse. »
« Tu sais que je t’adore ? »
« Je suis pas très sûr... »
« Tu veux une preuve ? »
« Ouais, j’aimerais bien ! »
Il m’a embrassé de la plus douce des façons, comme toujours. J’aurais bien arrêté le temps pour être dans ses bras plus longtemps. Nous avons continué à manger tout en parlant de pleins de choses.
« Alors, comment tu as su que j’aimais les crêpes au chocolat avec couli de fraise ? »
« Ta mère m,a été d’une grande aide. »
J’ai faillit m,étouffer avec ma bouchée.
« Ma mère a réussit à communiquer en Anglais ? »
« Eum...ouais. »
« Wow... »
« Quoi ? »
« Ben...disons qu’elle est pas très bonne en Anglais. Elle se débrouille, mais elle a souvent de la difficulté. Surtout quand je parle vite ! »
« J’ai dû répéter deux ou trois mots, mais en somme, elle se débrouille. »
« Alors au moins vous allez pouvoir communiquer ! »
Nous avons ri et avons recommencé à manger. Lorsque le déjeuner fut terminé, Nick m’a demandé de ramasser mes choses pour faire un sac qui contiendrait le nécessaire pour une fin de semaine sportive et chic. Mais qu’est-ce qu’il comptait faire ? Bon, j’ai d’abord mis un jeans confortable et un t-shirt dans le sac. Ensuite, j’ai mis mon chandail à manches longues avec New York Jeans écrit dessus et, finalement, j’ai déposé ma jupe noire style paysanne et ma camisole de la même couleur sur le dessus.
« Oh, j’allais oublier ! »
J’ai pris un pyjama au hasard et j’ai pris rapidemment le nécessaire. Nick est venu me chercher après avoir été chercher Fanny. Mais où il voulait aller ?
« Bon, je suis prête. Où on va ? »
« Fanny m’a dit que tu n’était jamais allée à Canada Wonderland et aux chutes Niagara... »
« Quoi ? Tu...Non...Si ? »
Il a souris et m,a fait signe que c’était sérieux. Je lui ai sauté au cou en l’embrassant.
« Je t’adore !!!! »
« Quelle agréable façon de se faire réveiller... »
« Je suis content que tu aimes ça. »
Je me suis assise dans mon lit et j’ai regardé l’heure. Il était 9 heures et demi. J’ai tourné la tête vers Nick et je l’ai embrassé avant de regarder ce qu’il portait. Il avait un t-shirt noir et un jeans. Ses cheveux étaient tout ébouriffés et j’aimais bien.
« Tu es mignon aujourd’hui. »
« Et toi tu es très belle. »
J’avais un pyjama camsiole-short rose de Bob l’Éponge. Nick m’a embrassée encore une fois avant de parler en regardant mon lit.
« J’avais l’intention de venir me coller pour dormir avec toi, mais ton lit ne me laisse pas beaucoup de place. »
« Disons que c’est rare qu’un gars vienne dormir à la maison et encore plus qu’il dorme dans mon lit avec moi. Le pourcentage approche dangeureusement le -1. »
Il lâcha un petit rire avant de me donner un baiser sur le front.
« J’ai apporté à déjeuner. Ta mère était très surprise de me voir arriver ce matin à 9h10. »
« Attends, t’as commencé à essayer de me réveiller y’a combien de temps ? »
« Une bonne dizaine de minutes. T’es très difficile à réveiller, tu sais ? »
« Ouais lol ! »
« Bon, je te laisse t’habiller. Je vais chercher le déjeuner et te faire du chocolat chaud puisque ta mère m’a dis que t’aimais pas le café. »
« Elle a raison. Allez, houste ! »
Je l’ai sortit de la chambre en riant. Bon, restait plus qu’à m’habiller. Mais quoi mettre ? J’ai opté pour mon pantalon de sport et mon t-shirt de Simple Plan. Je me suis rapidemment peigné les cheveux comme mon petit copain cognait à la porte. Je lui ai ouvert et j’ai vu un plateau sur lequel était posé une crêpe au chocolat avec couli de fraise dans une assiette et une omelette dans une autre. Un verre de mon jus (oasis pause-santé) et un autre de jus d’orange. Enfin, une rose était posée dans un vase à moitié rempli d’eau.
« Votre déjeuner, beauty princess. »
« Merci, sexy man. »
« J’aime bien ce surnom ! »
« Et j’adore Beauty princess. »
« Normal, tu es une belle princesse. »
« Tu sais que je t’adore ? »
« Je suis pas très sûr... »
« Tu veux une preuve ? »
« Ouais, j’aimerais bien ! »
Il m’a embrassé de la plus douce des façons, comme toujours. J’aurais bien arrêté le temps pour être dans ses bras plus longtemps. Nous avons continué à manger tout en parlant de pleins de choses.
« Alors, comment tu as su que j’aimais les crêpes au chocolat avec couli de fraise ? »
« Ta mère m,a été d’une grande aide. »
J’ai faillit m,étouffer avec ma bouchée.
« Ma mère a réussit à communiquer en Anglais ? »
« Eum...ouais. »
« Wow... »
« Quoi ? »
« Ben...disons qu’elle est pas très bonne en Anglais. Elle se débrouille, mais elle a souvent de la difficulté. Surtout quand je parle vite ! »
« J’ai dû répéter deux ou trois mots, mais en somme, elle se débrouille. »
« Alors au moins vous allez pouvoir communiquer ! »
Nous avons ri et avons recommencé à manger. Lorsque le déjeuner fut terminé, Nick m’a demandé de ramasser mes choses pour faire un sac qui contiendrait le nécessaire pour une fin de semaine sportive et chic. Mais qu’est-ce qu’il comptait faire ? Bon, j’ai d’abord mis un jeans confortable et un t-shirt dans le sac. Ensuite, j’ai mis mon chandail à manches longues avec New York Jeans écrit dessus et, finalement, j’ai déposé ma jupe noire style paysanne et ma camisole de la même couleur sur le dessus.
« Oh, j’allais oublier ! »
J’ai pris un pyjama au hasard et j’ai pris rapidemment le nécessaire. Nick est venu me chercher après avoir été chercher Fanny. Mais où il voulait aller ?
« Bon, je suis prête. Où on va ? »
« Fanny m’a dit que tu n’était jamais allée à Canada Wonderland et aux chutes Niagara... »
« Quoi ? Tu...Non...Si ? »
Il a souris et m,a fait signe que c’était sérieux. Je lui ai sauté au cou en l’embrassant.
« Je t’adore !!!! »
Alianne- Nombre de messages : 106
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Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
Ma mère venait avec nous. Nous partions donc tous les 4. Vers 11h30, nous avons entassé nos trucs dans la jeep de Nick et nous sommes partis vers Canada Wonderland.
« Non, Fanny. Pas le cd de Rasmus. »
« Pourquoi ? »
« J’aime pas. Plus depuis un certain temps. On met celui-là à la place. »
« Pas Jesse McCartney ! »
« Bah lequel alors ? »
« Quoi t’as apporté ? »
« Simple Plan, Micheal Bubble, Dracula et tous les cd gravés. »
« Dracula ! »
« Mais Nick comprendra rien ! »
Comme on parlait en français, Nick avait un regard incompréhensif.
« On parle de moi ? »
« On essai de trouver quel cd mettre. On voulait mettre Dracula, mais tu comprendras rien parce que c’est en francais. »
« Qu’est-ce que t’as d’autre ? »
« Simple Plan et Micheal Bubble. »
« Et à mon avis, Simple Plan c’est meilleur. Vous en pensez quoi ? »
Il s’adressait à ma mère.
« J’aime beaucoup Micheal, mais comme la majorité l’emporte... »
« Ouais ! »
On a donc mis le cd de Simple Plan au MTV Hard Rock Live. Moi et fanny on chantait toutes les chansons et on riait quand Pierre ou les autres gars du groupe disaient des conneries ! C’est fou ce qu’on peut s’amuser juste en les entendant. Qu’est-ce que ça devait être à ce show là ?! Moi et Fan on avait été au show qu’ils avaient donné à Laval l’année d’avant et on avait trop adoré ! Durant tout le trajet, on a fait jouer les trois cd de Simple Plan et les deux de Micheal Bubble. Quand on est finalement arrivés, j’étais tout simplement éberluée.
« Wow...C’est immense... »
« C,est plus gros que la ronde, hein ? »
Fanny était déjà venue deux fois. Elle connaissait le parc presque par coeur. Elle allait nous faire découvrir à peu près toutes les attractions intéressantes. Nous étions arrivés en fin d’après-midi alors nous nous sommes préparés pour le souper. Fanny avait apporté une très belle robe bourgogne de sa création. Elle ne comportait qu’une seule manche et le fait qu,elle soit asymétrique lui donnait l’air d’être plus grande. Ma mère, pour sa part, portait une robe grisâtre à fleurs rouges. Ça a l’air bizarre comme ça, mais c’est très beau. Pour ma part, je portait ma jupe noire et la camisole qui allait avec. Quand je suis allée ouvrir la porte à laquelle quelqu’un venait de cogner, je suis restée pétrifiée.
« Nick ? »
« C’est bien mon nom. Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’aimes pas ? »
Il portait un complet noir avec une cravate verte et avec une chemise orange sous son complet. Il était vraiment beau et j’étais totalement sous le charme.
« Non, au contraire j’adore. Tu es super classe comme ça ! »
« Alors j’ai bien fait mon choix. »
Nous sommes tous les quatres sortis de la chambre et nous avons monté dans la jeep de Nick pour nous rendre jusqu’à Niagara Falls. Nous avions une table réservée près d’une fenêtre d’où nous pouvions voir les chutes illuminées. Fanny, ma mère et moi étions toutes les trois émerveillées par la beauté de l’endroit. Alors que nous finissions de manger, Nick s’est levé et m’a tendu la main.
« Vous dansez, belle demoiselle ? »
« Avec plaisir, cher monsieur. »
J’ai posé ma ‘napkin’ sur la table et je l’ai suivis jusqu’au centre de la piste où nous avons dansé un tango et ensuite un slow. Quand nous sommes retournés à la table, Fanny avait un grand sourire aux lèvres et ma mère en avait un aussi, mais plus petit.
« Vous êtes trop mignons ensembles ! »
« Merci sister ! »
« Fanny ? »
« Oui, Nick ? »
« Je voulais savoir si tu voulais éventuellement rencontrer Aaron et ses amis. »
« Pourquoi ? »
« Pour te matcher, voyons soeurette c’est évident ! »
« Pourquoi tout le monde veut me matcher ? »
« Parce qu’on veut te voir heureuse. »
Je l’ai embrassée sur le front avant de lui sourire.
« Non, Fanny. Pas le cd de Rasmus. »
« Pourquoi ? »
« J’aime pas. Plus depuis un certain temps. On met celui-là à la place. »
« Pas Jesse McCartney ! »
« Bah lequel alors ? »
« Quoi t’as apporté ? »
« Simple Plan, Micheal Bubble, Dracula et tous les cd gravés. »
« Dracula ! »
« Mais Nick comprendra rien ! »
Comme on parlait en français, Nick avait un regard incompréhensif.
« On parle de moi ? »
« On essai de trouver quel cd mettre. On voulait mettre Dracula, mais tu comprendras rien parce que c’est en francais. »
« Qu’est-ce que t’as d’autre ? »
« Simple Plan et Micheal Bubble. »
« Et à mon avis, Simple Plan c’est meilleur. Vous en pensez quoi ? »
Il s’adressait à ma mère.
« J’aime beaucoup Micheal, mais comme la majorité l’emporte... »
« Ouais ! »
On a donc mis le cd de Simple Plan au MTV Hard Rock Live. Moi et fanny on chantait toutes les chansons et on riait quand Pierre ou les autres gars du groupe disaient des conneries ! C’est fou ce qu’on peut s’amuser juste en les entendant. Qu’est-ce que ça devait être à ce show là ?! Moi et Fan on avait été au show qu’ils avaient donné à Laval l’année d’avant et on avait trop adoré ! Durant tout le trajet, on a fait jouer les trois cd de Simple Plan et les deux de Micheal Bubble. Quand on est finalement arrivés, j’étais tout simplement éberluée.
« Wow...C’est immense... »
« C,est plus gros que la ronde, hein ? »
Fanny était déjà venue deux fois. Elle connaissait le parc presque par coeur. Elle allait nous faire découvrir à peu près toutes les attractions intéressantes. Nous étions arrivés en fin d’après-midi alors nous nous sommes préparés pour le souper. Fanny avait apporté une très belle robe bourgogne de sa création. Elle ne comportait qu’une seule manche et le fait qu,elle soit asymétrique lui donnait l’air d’être plus grande. Ma mère, pour sa part, portait une robe grisâtre à fleurs rouges. Ça a l’air bizarre comme ça, mais c’est très beau. Pour ma part, je portait ma jupe noire et la camisole qui allait avec. Quand je suis allée ouvrir la porte à laquelle quelqu’un venait de cogner, je suis restée pétrifiée.
« Nick ? »
« C’est bien mon nom. Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’aimes pas ? »
Il portait un complet noir avec une cravate verte et avec une chemise orange sous son complet. Il était vraiment beau et j’étais totalement sous le charme.
« Non, au contraire j’adore. Tu es super classe comme ça ! »
« Alors j’ai bien fait mon choix. »
Nous sommes tous les quatres sortis de la chambre et nous avons monté dans la jeep de Nick pour nous rendre jusqu’à Niagara Falls. Nous avions une table réservée près d’une fenêtre d’où nous pouvions voir les chutes illuminées. Fanny, ma mère et moi étions toutes les trois émerveillées par la beauté de l’endroit. Alors que nous finissions de manger, Nick s’est levé et m’a tendu la main.
« Vous dansez, belle demoiselle ? »
« Avec plaisir, cher monsieur. »
J’ai posé ma ‘napkin’ sur la table et je l’ai suivis jusqu’au centre de la piste où nous avons dansé un tango et ensuite un slow. Quand nous sommes retournés à la table, Fanny avait un grand sourire aux lèvres et ma mère en avait un aussi, mais plus petit.
« Vous êtes trop mignons ensembles ! »
« Merci sister ! »
« Fanny ? »
« Oui, Nick ? »
« Je voulais savoir si tu voulais éventuellement rencontrer Aaron et ses amis. »
« Pourquoi ? »
« Pour te matcher, voyons soeurette c’est évident ! »
« Pourquoi tout le monde veut me matcher ? »
« Parce qu’on veut te voir heureuse. »
Je l’ai embrassée sur le front avant de lui sourire.
Alianne- Nombre de messages : 106
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Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
La soirée s’est aussi bien terminée qu’elle avait commencé. Quand nous sommes revenus à l’hôtel vers minuit et demi, Je dormais presque dans les bras de mon petit ami. Il a prit une voix douce pour me parler.
« Jen...on est arrivé. »
« J’ai sommeil... »
« On va aller se coucher. Tiens, c’est ta chambre. »
« Je veux dormir avec toi. »
J’étais terriblement bien dans ses bras. Pas question de m’en évader.
« Je sais pas si ta mère va être d’accord. »
J’ai détourné mes yeux endormis vers ma mère qui venait d’entrer dans la chambre.
« D’accord, mais par pitié ne traînez pas au lit demain. »
« Maman... »
Elle avait le don de me mettre mal à l’aise. Quand nous sommes entrés dans notre chambre après que je me sois démaquillée et décoiffée dans la mienne, Nick m’a posé la question qui le tracassait depuis quelques minutes.
« Qu’est-ce que ta mère voulait dire par cette phrase ? »
« En gros, elle voulait dire qu’elle ne tenait pas à ce qu’on couche ensemble. »
« Ah... »
« Ouais, je sais elle est un peu bizarroïde. Mais là t’es chanceux, y’a des fois où elle est vraiment folle... Bon, allez au dodo ! »
Je suis allée me changer dans la salle de bain et je suis ensuite allée rejoindre Nick qui n’était plus qu’en boxer dans le lit. J,avais pour ma part un pyjama de Winnie L’Ourson.
« Tu aime beaucoup les dessins animés ? »
« C’est mon petit côté enfantin qui ressort ! »
Je me suis collée à lui et je l’ai embrassé avant de me caller confortablement dans le lit. Nick avait lui aussi l’air d’avoir besoin de sommeil et il s’est collé un peu plus contre moi. Ça ne me dérangeait pas. C’était même plutôt agréable comme sensation. Il a posé sa main sur mon ventre recouvert par la camisole de mon pyjama et a posé sa tête sur mon épaule.
« Bonne nuit, beauty princess. »
« Bonne nuit, sexy man. »
Nous nous sommes embrassé encore une fois avant de plonger tous les deux dans le sommeil. Un sommeil profond et réparateur dans mon cas. J’étais si bien dans les bras de Nick. Impossible de faire des cauchemards. J’ai fait des rêves plein de vie, d’amour, d’amitié et de joie durant toute la nuit. Enfin, la fin de la nuit. Car le lendemain matin, Fanny est venue nous réveiller à 8 heures. Un cognement répétitif à la porte nous a réveillé. Nick s’est levé et j,ai fait semblant de dormir. J’ai entendu la voix enjouée de Fanny.
« Debout les amoureux ! »
« Parles moins fort, tu vas réveiller ta soeur. »
« C’est ce que je veux ! Allez, habillez-vous. Aujourd’hui on essai les manèges !!!! »
« Attends-nous, on arrive bientôt. »
Il a refermé la porte et est revenu se coucher à mes cotés.
« Debout mon ange... »
« Je suis réveillée. »
« C,est ta soeur qui t’as réveillée ? »
« Pas ses cris d’hystérique, plutôt sa façon intensive de cogner aux portes le matin... »
« Tu préfère rester couchée ? »
« Non, vaut mieux se lever. De toute façon, elle a plein de manège à te faire découvrir. »
« Tu viens pas ? »
« Si, mais je ferai pas les montagnes russes et les trucs du genre, ça me donne mal au coeur. »
« D’accord. »
Nous nous sommes habillés et nous sommes descendus pour déjeuner avec ma mère et ma soeur. Elle était ultra excitée à l’idée que Nick l’accompagne dans les manèges. Faut dire que d’habitude, je l’acompagnait pas lorsqu’on allait à la ronde alors elle était habituée à faire les manèges toute seule. Ma mère et moi nous avions prévu de les regarder et de prendre un max de photos pour avoir le plus de souvenirs possibles de ce super week-end. Après le déjeuner, nous sommes donc partis vers Canada Wonderland !
« Jen...on est arrivé. »
« J’ai sommeil... »
« On va aller se coucher. Tiens, c’est ta chambre. »
« Je veux dormir avec toi. »
J’étais terriblement bien dans ses bras. Pas question de m’en évader.
« Je sais pas si ta mère va être d’accord. »
J’ai détourné mes yeux endormis vers ma mère qui venait d’entrer dans la chambre.
« D’accord, mais par pitié ne traînez pas au lit demain. »
« Maman... »
Elle avait le don de me mettre mal à l’aise. Quand nous sommes entrés dans notre chambre après que je me sois démaquillée et décoiffée dans la mienne, Nick m’a posé la question qui le tracassait depuis quelques minutes.
« Qu’est-ce que ta mère voulait dire par cette phrase ? »
« En gros, elle voulait dire qu’elle ne tenait pas à ce qu’on couche ensemble. »
« Ah... »
« Ouais, je sais elle est un peu bizarroïde. Mais là t’es chanceux, y’a des fois où elle est vraiment folle... Bon, allez au dodo ! »
Je suis allée me changer dans la salle de bain et je suis ensuite allée rejoindre Nick qui n’était plus qu’en boxer dans le lit. J,avais pour ma part un pyjama de Winnie L’Ourson.
« Tu aime beaucoup les dessins animés ? »
« C’est mon petit côté enfantin qui ressort ! »
Je me suis collée à lui et je l’ai embrassé avant de me caller confortablement dans le lit. Nick avait lui aussi l’air d’avoir besoin de sommeil et il s’est collé un peu plus contre moi. Ça ne me dérangeait pas. C’était même plutôt agréable comme sensation. Il a posé sa main sur mon ventre recouvert par la camisole de mon pyjama et a posé sa tête sur mon épaule.
« Bonne nuit, beauty princess. »
« Bonne nuit, sexy man. »
Nous nous sommes embrassé encore une fois avant de plonger tous les deux dans le sommeil. Un sommeil profond et réparateur dans mon cas. J’étais si bien dans les bras de Nick. Impossible de faire des cauchemards. J’ai fait des rêves plein de vie, d’amour, d’amitié et de joie durant toute la nuit. Enfin, la fin de la nuit. Car le lendemain matin, Fanny est venue nous réveiller à 8 heures. Un cognement répétitif à la porte nous a réveillé. Nick s’est levé et j,ai fait semblant de dormir. J’ai entendu la voix enjouée de Fanny.
« Debout les amoureux ! »
« Parles moins fort, tu vas réveiller ta soeur. »
« C’est ce que je veux ! Allez, habillez-vous. Aujourd’hui on essai les manèges !!!! »
« Attends-nous, on arrive bientôt. »
Il a refermé la porte et est revenu se coucher à mes cotés.
« Debout mon ange... »
« Je suis réveillée. »
« C,est ta soeur qui t’as réveillée ? »
« Pas ses cris d’hystérique, plutôt sa façon intensive de cogner aux portes le matin... »
« Tu préfère rester couchée ? »
« Non, vaut mieux se lever. De toute façon, elle a plein de manège à te faire découvrir. »
« Tu viens pas ? »
« Si, mais je ferai pas les montagnes russes et les trucs du genre, ça me donne mal au coeur. »
« D’accord. »
Nous nous sommes habillés et nous sommes descendus pour déjeuner avec ma mère et ma soeur. Elle était ultra excitée à l’idée que Nick l’accompagne dans les manèges. Faut dire que d’habitude, je l’acompagnait pas lorsqu’on allait à la ronde alors elle était habituée à faire les manèges toute seule. Ma mère et moi nous avions prévu de les regarder et de prendre un max de photos pour avoir le plus de souvenirs possibles de ce super week-end. Après le déjeuner, nous sommes donc partis vers Canada Wonderland !
Alianne- Nombre de messages : 106
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Re: New York New York
La journée a été très fatiguante. Nick et Fanny ont fait environ tous les manèges sans se fatiguer. Ma mère et moi nous sommes promenées dans le grand parc. Vers 12h, on a fait une pause dîner et on est allé voir le film 3D de Bob l’Éponge. On a rit comme des fous. Ma mère était exaspérée par notre comportement.
« J’ai compris maintenant pourquoi vous êtes ensembles tous les deux ... »
« Pourquoi, chère docteur maman ? »
« Vous avez tous les deux un grand côté enfantin. »
Je lui ai sourit et lui ai fait une grimace en riant. L’après-midi s’est déroulé comme le matin à l’exception que nous sommes partis vers 2 heures pour repartir vers Montréal. Nous avons fait nos bagages et, pendant que Fanny était aux toilettes et que Nick préparait ses bagages dans l’autre chambre, ma mère m’a posé LA question à laquelle elle voulait que je réponde depuis ce matin.
« Est-ce que cette nuit vous avez...tu sais... »
« Maman ! J’étais super fatiguée, hier. Et je n’aurais pas fait ça , ça fait seulement 1 semaine qu’on se connait, Nick et moi. »
« Excuses-moi, je voulais seulement savoir... »
« Il me semblait que tu me connaisssais plus que ça... Tu n,as pas confiance en moi ? »
« C’est juste que...j’ai peur. Il est plus vieux que toi et... »
« Et alors ? Si j’étais sortie avec un gars de mon âge, il m’aurais sûrement laissée tomber après quelques jours en sachant qu’on ne se verrait pas tout de suite. Si Nick n’avait pas eu cette semaine de congé, on ne se serrait pas vu avant un méchant bout de temps. Et pourtant, la minute où j’ai quitté son champs de vision, il m’a envoyé un mail et on a continué à chatter à chaque jours. Alors arrête de t’inquiéter pour moi. Je suis en sécurité avec lui, même si tu ne me crois pas. »
Je suis sortie de la chambre et je suis allée voir si Nick avait fini ses bagages. Quand je suis rentrée dans la chambre, il finissait de fermer son sac. Il s’est tourné vers moi.
« Hi babe. »
« Hi my love. »
Je me suis rendue à sa hauteur et je l’ai embrassé avant de me blottir contre lui.
« Qu’est-ce qui se passe, ma belle. »
« Ma mère n’a pas confiance en moi... Comme toutes les personnes qui réalisent qu’on a 10 ans, 10 mois et 8 jours de différence d’âge et qui ne croient pas que l’amour n’a pas d’âge... »
Il me regardait, abasourdi.
« Quoi ? »
« Tu... tu sais exactement le temps qu’on a de différence ? »
« Ouais, j’ai fait un rapide calcul un moment donné. »
« Wow... »
« Mais, pour en revenir à ma mère, je sais pas pourquoi elle est comme ça... »
« Moi non plus. Ton père est plus vieux qu’elle ? »
« De deux mois. »
« Oh... »
« Mais bon, y’a des fois comme ça où je la comprends pas du tout. C’est pas grave. »
J’ai regardé le cadran qui était posé sur la table de chevet du lit.
« Je crois qu’on devrait y aller... »
Il était 2h30.
« Ouais. Allons avertir ta mère et Fanny. »
Nous sommes retournés vers ma cambre pour les avertir qu’elles devaient se dépêcher. Elles venait toutes les deux de fermer leurs sacs. Nous nous sommes dirigés vers le Jeep et nous y avons tout entassé. J’ai dû un peu forcer pour faire entrer le mien. Celui de Fanny était mal placé et m’empêchait de bien placer le mien. Je l’ai tassé et j’ai finalement réussit à fermer la valise. Nous sommes repartis à Montréal en écoutant des cd de Nick qui ne souhaitait pas qu’on se chamaille à nouveau pour savoir lequel on allait mettre. Ma mère non plus, d’ailleurs. On s’est tenu tranquille. Nous sommes arrivé à la maison à 9h après s’être arrêté pour souper dans un St-Hubert en chemin. On a été porter Fanny chez elle et Nick est ensuite venu nous reconduire. Juste avant qu’il ne parte, je suis restée avec lui dehors. Il voulait me parler.
« Jen, tu fais quoi demain ? »
« Je vais à l’école, comme à tous les jours. »
« Je veux dire demain soir. »
« Je sais pas. Sûrement aller sur le forum. Les filles vont vouloir savoir ce que j,ai fait de mon week-end. »
« D’accord. Alors, on se revoit Mardi ? »
« D’accord. Au fait, Nick ? »
« Oui ? »
« Mardi, j’ai une pratique de cheerleading. Je finis vers 4h20. »
« Okay. Bye ma belle. »
« Bye mon amour. »
On s’est embrassés et il est retourné à l’hôtel. Moi je me suis dépêchée de rentrer et d’aller raconter mon super week-end aux filles et à Marco.
« J’ai compris maintenant pourquoi vous êtes ensembles tous les deux ... »
« Pourquoi, chère docteur maman ? »
« Vous avez tous les deux un grand côté enfantin. »
Je lui ai sourit et lui ai fait une grimace en riant. L’après-midi s’est déroulé comme le matin à l’exception que nous sommes partis vers 2 heures pour repartir vers Montréal. Nous avons fait nos bagages et, pendant que Fanny était aux toilettes et que Nick préparait ses bagages dans l’autre chambre, ma mère m’a posé LA question à laquelle elle voulait que je réponde depuis ce matin.
« Est-ce que cette nuit vous avez...tu sais... »
« Maman ! J’étais super fatiguée, hier. Et je n’aurais pas fait ça , ça fait seulement 1 semaine qu’on se connait, Nick et moi. »
« Excuses-moi, je voulais seulement savoir... »
« Il me semblait que tu me connaisssais plus que ça... Tu n,as pas confiance en moi ? »
« C’est juste que...j’ai peur. Il est plus vieux que toi et... »
« Et alors ? Si j’étais sortie avec un gars de mon âge, il m’aurais sûrement laissée tomber après quelques jours en sachant qu’on ne se verrait pas tout de suite. Si Nick n’avait pas eu cette semaine de congé, on ne se serrait pas vu avant un méchant bout de temps. Et pourtant, la minute où j’ai quitté son champs de vision, il m’a envoyé un mail et on a continué à chatter à chaque jours. Alors arrête de t’inquiéter pour moi. Je suis en sécurité avec lui, même si tu ne me crois pas. »
Je suis sortie de la chambre et je suis allée voir si Nick avait fini ses bagages. Quand je suis rentrée dans la chambre, il finissait de fermer son sac. Il s’est tourné vers moi.
« Hi babe. »
« Hi my love. »
Je me suis rendue à sa hauteur et je l’ai embrassé avant de me blottir contre lui.
« Qu’est-ce qui se passe, ma belle. »
« Ma mère n’a pas confiance en moi... Comme toutes les personnes qui réalisent qu’on a 10 ans, 10 mois et 8 jours de différence d’âge et qui ne croient pas que l’amour n’a pas d’âge... »
Il me regardait, abasourdi.
« Quoi ? »
« Tu... tu sais exactement le temps qu’on a de différence ? »
« Ouais, j’ai fait un rapide calcul un moment donné. »
« Wow... »
« Mais, pour en revenir à ma mère, je sais pas pourquoi elle est comme ça... »
« Moi non plus. Ton père est plus vieux qu’elle ? »
« De deux mois. »
« Oh... »
« Mais bon, y’a des fois comme ça où je la comprends pas du tout. C’est pas grave. »
J’ai regardé le cadran qui était posé sur la table de chevet du lit.
« Je crois qu’on devrait y aller... »
Il était 2h30.
« Ouais. Allons avertir ta mère et Fanny. »
Nous sommes retournés vers ma cambre pour les avertir qu’elles devaient se dépêcher. Elles venait toutes les deux de fermer leurs sacs. Nous nous sommes dirigés vers le Jeep et nous y avons tout entassé. J’ai dû un peu forcer pour faire entrer le mien. Celui de Fanny était mal placé et m’empêchait de bien placer le mien. Je l’ai tassé et j’ai finalement réussit à fermer la valise. Nous sommes repartis à Montréal en écoutant des cd de Nick qui ne souhaitait pas qu’on se chamaille à nouveau pour savoir lequel on allait mettre. Ma mère non plus, d’ailleurs. On s’est tenu tranquille. Nous sommes arrivé à la maison à 9h après s’être arrêté pour souper dans un St-Hubert en chemin. On a été porter Fanny chez elle et Nick est ensuite venu nous reconduire. Juste avant qu’il ne parte, je suis restée avec lui dehors. Il voulait me parler.
« Jen, tu fais quoi demain ? »
« Je vais à l’école, comme à tous les jours. »
« Je veux dire demain soir. »
« Je sais pas. Sûrement aller sur le forum. Les filles vont vouloir savoir ce que j,ai fait de mon week-end. »
« D’accord. Alors, on se revoit Mardi ? »
« D’accord. Au fait, Nick ? »
« Oui ? »
« Mardi, j’ai une pratique de cheerleading. Je finis vers 4h20. »
« Okay. Bye ma belle. »
« Bye mon amour. »
On s’est embrassés et il est retourné à l’hôtel. Moi je me suis dépêchée de rentrer et d’aller raconter mon super week-end aux filles et à Marco.
Alianne- Nombre de messages : 106
Age : 34
Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
Le lundi s’est bien passé. Des cours plutôt ennuyeux pour la plupart, mais j’ai pas à me plaindre. J’ai eu un cours d’Éthique et Culture et le prof a décidé de me faire chanter une chanson qu’on avait pratiqué pour Secondaire en spectacle. J’étais super gênée. Plus que pour n’importe quel show. Simplement parce que quand on est devant des personnes qu’on connaît et qui peuvent partir n’importe quelle rumeur sur notre prestation, la nervosité est à ‘hi’. C’était mon cas. J’ai chanté et, même si ma voix tremblait un peu, ils ont eu l’air d’apprécier. Patrick, le prof, grattait sa guitare et je chantait doucement les paroles.
« La paix ne s’achète pas.
Elle ne se trouve pas au magasin du coin.
Ce n’est pas un cadeau des rois.
Ça se trimbale pas comme un tas de foin.
C’est dur à définir.
C’est très complexe.
C’est long à bâtir.
C’est pas comme un fichier .exe
Y’a des jours où en veut.
D’autre où on la redoute.
Certaines nuit on sait pas si on peut.
C’est dans ses moments qu’on sème le doute. »
C’est une chanson qui leur a plu et les paroles les touchaient. C’est Patrick qui l’a composée. J’ai vraiment aimé et je suis heureuse qu’il m’ait choisie pour la chanter.
Le mardi après-midi, je me suis rendue à mon entraînement de cheerleading. La journée était ensoleillée et on a décidé de faire l’entraînement dehors. On a traîné les tapis jusqu’à la porte et on a commencé par les enchaînements faciles. Droite, gauche, en haut, à droite, en bas, etc. À la fin de la pratique, on était toutes brûlées… Et les gars de l’équipe aussi. Et oui, il y avait des gars cheerleaders et laissez-moi vous dire qu’ils ne se plaignaient pas ! Lever des filles dans les airs et les coller quand elles redescendaient, ils avaient l’air d’apprécier ! Moi, personnellement je n’étais pas une voltige, mais je dansais et j’aidais Jessica à lever Marie-Claude. Il n’y avait malheureusement pas assez de gars dans l’équipe. Ils n’étaient que 4 alors qu’on en aurait eu besoin de 6 ou 8. Mais ce n’était pas si grave, on faisait avec. Les gars n’étaient pas nombreux à se bousculer pour obtenir une place l’équipe de cheerleading. Je suis certaine que s’ils savaient ce que cela entraîne, ils se battraient pour les auditions ! Vers la fin de la pratique, j’ai aperçue une jeep que je connaissais. C’était celle de Nick. J’ai souris. Ce petit instant m’a déconcentré, ce qui m’a fait perdre le fil de la danse.
« Jen ! »
« Sorry Cath… »
On a recommencé la danse et là j’étais à fond dedans. Je voulais pas qu’elle m’engueule encore. C’était arrivé quelques semaines avant et disons que j’avais regretté d’avoir été déconcentrée. Nick devait m’attendre plus loin, confortablement assis dans sa jeep. Quand nous avons fini la danse et que nous avons commencé à ranger les tapis, il est sortit de sa cachette. Il était accoté sur un arbre. Il s’est avancé vers moi et j’ai été l’embrasser sur-le-champ.
« Hi beauty princess. »
« Salut mon amour ! »
« Tu étais super dans cet enchaînement ! »
« Merci. Tu m’attends ici le temps que j’aille me changer et que j’aide à ranger les tapis ? »
« Je ne bouge pas ! »
« Okay, je reviens ! »
Je suis partie en riant. Dans le vestiaire, Jessica et Cindy parlaient. Elles ne m’avaient pas entendue entrer. Je surpris une conversation entre les deux.
« Tu crois qu’il est célibataire le beau mec dans le stationnement. »
« Mais non idiote. Il sort avec Jen. »
« C’est pas juste, pourquoi c‘est la plus moche d’entre nous qui trouve la perle rare ? »
« Je sais pas moi, la perle rare a pas de goût ? »
« Ha ha… Non, sérieux. Je vais lui piquer son petit-ami moi. Tu vas voir, il ne me résistera pas longtemps ! »
« Comment tu vas faire ? »
« Un mot, petite fête ! »
« Ça fait deux mots… »
« Oh et peut importe, il va être à moi ! »
Comment faire pour empêcher cette ‘bitch’ d’approcher Nick ? Pas que je n’avais pas confiance en lui, mais les hormones des fois… Et Cindy était loin d’être laide…
« La paix ne s’achète pas.
Elle ne se trouve pas au magasin du coin.
Ce n’est pas un cadeau des rois.
Ça se trimbale pas comme un tas de foin.
C’est dur à définir.
C’est très complexe.
C’est long à bâtir.
C’est pas comme un fichier .exe
Y’a des jours où en veut.
D’autre où on la redoute.
Certaines nuit on sait pas si on peut.
C’est dans ses moments qu’on sème le doute. »
C’est une chanson qui leur a plu et les paroles les touchaient. C’est Patrick qui l’a composée. J’ai vraiment aimé et je suis heureuse qu’il m’ait choisie pour la chanter.
Le mardi après-midi, je me suis rendue à mon entraînement de cheerleading. La journée était ensoleillée et on a décidé de faire l’entraînement dehors. On a traîné les tapis jusqu’à la porte et on a commencé par les enchaînements faciles. Droite, gauche, en haut, à droite, en bas, etc. À la fin de la pratique, on était toutes brûlées… Et les gars de l’équipe aussi. Et oui, il y avait des gars cheerleaders et laissez-moi vous dire qu’ils ne se plaignaient pas ! Lever des filles dans les airs et les coller quand elles redescendaient, ils avaient l’air d’apprécier ! Moi, personnellement je n’étais pas une voltige, mais je dansais et j’aidais Jessica à lever Marie-Claude. Il n’y avait malheureusement pas assez de gars dans l’équipe. Ils n’étaient que 4 alors qu’on en aurait eu besoin de 6 ou 8. Mais ce n’était pas si grave, on faisait avec. Les gars n’étaient pas nombreux à se bousculer pour obtenir une place l’équipe de cheerleading. Je suis certaine que s’ils savaient ce que cela entraîne, ils se battraient pour les auditions ! Vers la fin de la pratique, j’ai aperçue une jeep que je connaissais. C’était celle de Nick. J’ai souris. Ce petit instant m’a déconcentré, ce qui m’a fait perdre le fil de la danse.
« Jen ! »
« Sorry Cath… »
On a recommencé la danse et là j’étais à fond dedans. Je voulais pas qu’elle m’engueule encore. C’était arrivé quelques semaines avant et disons que j’avais regretté d’avoir été déconcentrée. Nick devait m’attendre plus loin, confortablement assis dans sa jeep. Quand nous avons fini la danse et que nous avons commencé à ranger les tapis, il est sortit de sa cachette. Il était accoté sur un arbre. Il s’est avancé vers moi et j’ai été l’embrasser sur-le-champ.
« Hi beauty princess. »
« Salut mon amour ! »
« Tu étais super dans cet enchaînement ! »
« Merci. Tu m’attends ici le temps que j’aille me changer et que j’aide à ranger les tapis ? »
« Je ne bouge pas ! »
« Okay, je reviens ! »
Je suis partie en riant. Dans le vestiaire, Jessica et Cindy parlaient. Elles ne m’avaient pas entendue entrer. Je surpris une conversation entre les deux.
« Tu crois qu’il est célibataire le beau mec dans le stationnement. »
« Mais non idiote. Il sort avec Jen. »
« C’est pas juste, pourquoi c‘est la plus moche d’entre nous qui trouve la perle rare ? »
« Je sais pas moi, la perle rare a pas de goût ? »
« Ha ha… Non, sérieux. Je vais lui piquer son petit-ami moi. Tu vas voir, il ne me résistera pas longtemps ! »
« Comment tu vas faire ? »
« Un mot, petite fête ! »
« Ça fait deux mots… »
« Oh et peut importe, il va être à moi ! »
Comment faire pour empêcher cette ‘bitch’ d’approcher Nick ? Pas que je n’avais pas confiance en lui, mais les hormones des fois… Et Cindy était loin d’être laide…
Alianne- Nombre de messages : 106
Age : 34
Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
Après m’être changée, je suis allée rejoindre Nick. J’étais perdue dans mes pensées, ce qu’il sembla remarquer.
« Qu’est-ce qui se passe, Jen ? »
« Rien, pourquoi tu me demande ça ? »
« Tu as l’air songeuse… »
« C’est que… Nick, tu sais que j’ai confiance en toi ? »
« Ouais… »
Je devais essayer de savoir s’il tenait assez à moi pour ne pas se laisser embarquer dans les plans pièges de Cindy…
« Tu sais, y’a beaucoup de filles qui payeraient cher pour être à ma place… »
Il arrêta la voiture après s’être garé et se tourna vers moi.
« Qu’est-ce que tu as ? Je ne comprends pas pourquoi tu me dis ça. »
« Nick…j’ai peur… »
« Quoi ? Mais de quoi tu as peur ? »
« J’ai peur de te perdre… J’ai peur que tu trouves une fille mieux que moi et que tu aimerais plus… »
« Jamais ! Jen, je t’aime énormément et je ne te laisserai pas pour aucune fille sur cette terre. »
Même si ses propos me rassuraient je restais sceptique quand au déroulement de la petite fête de Cindy… J’adorais Nick et je lui faisais confiance, mais je connaissais les filles-vipères. Elles charmaient les gars et, d’un coup de baguette, les emmenaient dans leur lit, qu’ils soient consentants ou non. Souvent, elles les droguaient et ça, seulement pour le plaisir de les humilier par la suite. Pas question que je laisse mon petit ami se faire prendre dans les filets de ces filles-là.
Le lendemain matin, quand je suis arrivée à l’école, Cindy m’a accostée dans le couloir.
« Salut Jennifer ! »
« Cindy, tu me parles où je rêve là ? »
« Pourquoi je te parlerais pas ? »
« Ben, tu me snob depuis le début de l’année… »
« Mais non… Enfin, je voulais savoir si tu voulais venir au party que j’organise vendredi soir. Bien sûr, tu as le droit d’amener ton petit ami. »
« Okay, c’est chez toi ? »
« Ouais, chez moi à 5 heures de l’après-midi. Alors à vendredi ! »
« Ouais, à vendredi… »
Et voilà, restait plus qu’à mettre un plan en place pour contrer celui de Cindy. Et pour ça, j’allais avoir besoin d’une amie à moi…Gabrielle ! Dès que je l’ai croisée dans le couloir, je lui ai parlé.
« Gab ! »
« Quoi ? »
« Je peux te demander quelque chose ? »
« Ouaip ! »
Je lui ai parlé de mon projet et elle a accepté. Restait plus qu’à nous trouver quelque chose à nous mettre pour le party. Nick nous accompagna, pensant lui aussi qu’il avait besoin de vêtements… Je n’ai passé aucun commentaires sur le fait que sa garde-robe soit déjà pleine à craquer, me contentant de le penser très fort. Nous avons donc fait les boutiques. Gabrielle a trouvé un pantalon de cuir noir et un chandail à manches courtes noir aussi. Nick a acheté un jeans un peu trop grand pour lui et un chandail bleu très beau. Pour ma part, j’ai déniché une petite robe rouge très mignonne que Nick s’est empressé de m’acheter après m’avoir vu dedans. Selon lui, j’étais ‘très sexy et vraiment mignonne’. J’aimais ces compliments venant de lui. Peut-être que j’arriverais à éclipser Cindy avec seulement cette tenue… Mais valait mieux prévoir tout et c’était pour ça que Gabrielle allait nous accompagner.
Le vendredi, j’avais congé. J’ai passé la journée à me préparer avec Gab. Nick est venu nous chercher avec une tulipe pour Gabrielle et une rose bleue pour moi. Il a faillit tomber à la renverse en me voyant. Et je ne blague pas ! Il s’est par contre vite remis et nous sommes tous les trois partis vers la maison de Cindy. Elle habitait une grande maison sur le bord du fleuve. Il y avait une piscine intérieure et un salon plus grand que l’appartement que je partageais avec ma mère. J’étais déjà venue alors j’avais tout vu ça, mais Gabrielle était émerveillée. Je me lentement approchée d’elle.
« Gab, tu te rappelle de ce que tu as à faire ? »
« Ouais… C’est immense ici… »
« Te laisses pas impressionner, elle veut juste se penser supérieure aux autres en nous montrant tout ce qu’elle peut s’acheter. »
Je l’ai laissée dans son admiration et je suis partie rejoindre Nick qui se dirigeait vers le deuxième salon où se déroulait la fête.
« Nick ? »
« Ouais ? »
« Fais attention à ton verre quand tu vas l’avoir. Certaines filles ont la manie de mettre de la drogue dedans. »
« Merci du tuyau, ma belle. »
« De rien, mon amour. »
Il m’a embrassée et nous sommes entrés, bras dessus, bras dessous.
« Qu’est-ce qui se passe, Jen ? »
« Rien, pourquoi tu me demande ça ? »
« Tu as l’air songeuse… »
« C’est que… Nick, tu sais que j’ai confiance en toi ? »
« Ouais… »
Je devais essayer de savoir s’il tenait assez à moi pour ne pas se laisser embarquer dans les plans pièges de Cindy…
« Tu sais, y’a beaucoup de filles qui payeraient cher pour être à ma place… »
Il arrêta la voiture après s’être garé et se tourna vers moi.
« Qu’est-ce que tu as ? Je ne comprends pas pourquoi tu me dis ça. »
« Nick…j’ai peur… »
« Quoi ? Mais de quoi tu as peur ? »
« J’ai peur de te perdre… J’ai peur que tu trouves une fille mieux que moi et que tu aimerais plus… »
« Jamais ! Jen, je t’aime énormément et je ne te laisserai pas pour aucune fille sur cette terre. »
Même si ses propos me rassuraient je restais sceptique quand au déroulement de la petite fête de Cindy… J’adorais Nick et je lui faisais confiance, mais je connaissais les filles-vipères. Elles charmaient les gars et, d’un coup de baguette, les emmenaient dans leur lit, qu’ils soient consentants ou non. Souvent, elles les droguaient et ça, seulement pour le plaisir de les humilier par la suite. Pas question que je laisse mon petit ami se faire prendre dans les filets de ces filles-là.
Le lendemain matin, quand je suis arrivée à l’école, Cindy m’a accostée dans le couloir.
« Salut Jennifer ! »
« Cindy, tu me parles où je rêve là ? »
« Pourquoi je te parlerais pas ? »
« Ben, tu me snob depuis le début de l’année… »
« Mais non… Enfin, je voulais savoir si tu voulais venir au party que j’organise vendredi soir. Bien sûr, tu as le droit d’amener ton petit ami. »
« Okay, c’est chez toi ? »
« Ouais, chez moi à 5 heures de l’après-midi. Alors à vendredi ! »
« Ouais, à vendredi… »
Et voilà, restait plus qu’à mettre un plan en place pour contrer celui de Cindy. Et pour ça, j’allais avoir besoin d’une amie à moi…Gabrielle ! Dès que je l’ai croisée dans le couloir, je lui ai parlé.
« Gab ! »
« Quoi ? »
« Je peux te demander quelque chose ? »
« Ouaip ! »
Je lui ai parlé de mon projet et elle a accepté. Restait plus qu’à nous trouver quelque chose à nous mettre pour le party. Nick nous accompagna, pensant lui aussi qu’il avait besoin de vêtements… Je n’ai passé aucun commentaires sur le fait que sa garde-robe soit déjà pleine à craquer, me contentant de le penser très fort. Nous avons donc fait les boutiques. Gabrielle a trouvé un pantalon de cuir noir et un chandail à manches courtes noir aussi. Nick a acheté un jeans un peu trop grand pour lui et un chandail bleu très beau. Pour ma part, j’ai déniché une petite robe rouge très mignonne que Nick s’est empressé de m’acheter après m’avoir vu dedans. Selon lui, j’étais ‘très sexy et vraiment mignonne’. J’aimais ces compliments venant de lui. Peut-être que j’arriverais à éclipser Cindy avec seulement cette tenue… Mais valait mieux prévoir tout et c’était pour ça que Gabrielle allait nous accompagner.
Le vendredi, j’avais congé. J’ai passé la journée à me préparer avec Gab. Nick est venu nous chercher avec une tulipe pour Gabrielle et une rose bleue pour moi. Il a faillit tomber à la renverse en me voyant. Et je ne blague pas ! Il s’est par contre vite remis et nous sommes tous les trois partis vers la maison de Cindy. Elle habitait une grande maison sur le bord du fleuve. Il y avait une piscine intérieure et un salon plus grand que l’appartement que je partageais avec ma mère. J’étais déjà venue alors j’avais tout vu ça, mais Gabrielle était émerveillée. Je me lentement approchée d’elle.
« Gab, tu te rappelle de ce que tu as à faire ? »
« Ouais… C’est immense ici… »
« Te laisses pas impressionner, elle veut juste se penser supérieure aux autres en nous montrant tout ce qu’elle peut s’acheter. »
Je l’ai laissée dans son admiration et je suis partie rejoindre Nick qui se dirigeait vers le deuxième salon où se déroulait la fête.
« Nick ? »
« Ouais ? »
« Fais attention à ton verre quand tu vas l’avoir. Certaines filles ont la manie de mettre de la drogue dedans. »
« Merci du tuyau, ma belle. »
« De rien, mon amour. »
Il m’a embrassée et nous sommes entrés, bras dessus, bras dessous.
Alianne- Nombre de messages : 106
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Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
À l’intérieur, la fête battait son plein. J’ai aperçu Cindy près du bar. Elle portait une minijupe en jeans très courte qui ne laissait pas beaucoup de place à l’imagination et un top bleu qui semblait un peu trop court pour elle. Elle avait sa gang de moutons qui la suivaient à la trace. Ces filles-là étaient désespérantes. Il fallait tellement rien avoir à faire de sa vie pour suivre une fille comme un chien de poche ! Je suis partie danser avec Nick durant une bonne demi-heure. Quand je me suis rendue à la salle de bain, je savais pertinemment que Cindy allait tenter une approche. Je me suis donc dépêchée et, quand je suis revenue, je l’ai prise en flagrant délit. Elle draguait ouvertement mon petit ami, osant même poser sa main sur son bras. Je suis arrivée derrière elle doucement et j’ai pu voir Nick sembler intéressé par ce que cette ‘bitch’ disait. J’étais plutôt en colère contre lui sur ce point. J’ai fais sentir ma présence alors qu’elle allait l’embrasser !
« Je vous dérange, peut-être ? »
Nick a semblé se reprendre et il s’est reculé pendant que Cindy gardait un air désinvolte.
« On parlait, rien de plus. »
Je lui ai lancé un regard meurtrier et je suis partie retrouver Gab. Je l’ai vue de loin s’amuser comme une folle alors j’ai décidé de sortir. C’est Jessica qui est venue me rejoindre.
« Jennifer ? »
« Tiens, tu ne suis plus Cindy à un centimètre près ? »
« Écoute, je sais que ça peut paraître bizarre, mais je n’aime pas Cindy. La seule raison pour laquelle je suis son amie, c’est parce qu’elle me permet d’être populaire… »
« Tu sais pas ce qu’on dit ? Vaut mieux être seule que mal accompagnée. »
« Ouais, je sais… »
« Pourquoi t’as pas empêché Cindy de faire de l’œil à Nick ? Tu sais qu’elle arrive à tous les avoir. »
« Elle m’aurait traînée dans la boue, humiliée… »
« Mouais… »
« Écoute, j’ai vu ce qui s’est passé. Il a résisté. Je crois qu’elle l’a drogué… »
J’ai couvert mon visage de mes mains. Je détestais cette fille ! Comment pouvait-elle être aussi méchante et sans cœur ? J’essayais de me calmer pour m’empêcher de la tuer. Pas facile… Quelques minutes plus tard, alors que Jessica venait de partir rejoindre Cindy qui la cherchait, Gab est arrivée en courant.
« Jen, c’est ton chum ! »
J’ai relevé la tête, intriguée.
« Quoi, qu’est-ce qu’il a ? »
« Il… il est tombé… il s’est évanoui je crois… je sais pas ce qui est arrivé… »
Je me suis levée et j’ai couru dans la maison. Nick était étendu par-terre et Cindy était dangereusement près de lui. Je l’ai poussée.
« Dégage ! »
Je me suis agenouillée eaux côtés de mon amour et j’ai posé sa tête sur mes genoux.
« Nick ? Nick, réveilles-toi je t’en prie… »
Comme il ne bougeait pas, j’ai pris son pouls. Il battait presque normalement. Mais je préférais ne pas prendre de chance.
« Carl, appelles une ambulance. »
« Tu es sûre ? »
« Appelles une ambulance maintenant ! »
Je n’étais pas prête à argumenter durant une heure avec Carl pour savoir si on devait ou non transporter Nick à l’hôpital. En quelques minutes, l’ambulance arriva. Cindy avait disparu de la circulation. Je suis montée dans l’ambulance pour me rendre avec Nick à l’hôpital. Une fois là-bas, j’ai appelé ma mère. J’essayais de ne pas craquer. Quand elle est arrivée, elle avait l’air inquiète. Dès qu’elle m’a pris dans ses bras, j’ai laissé mes larmes couler. Elle m’a consolée avant de me demander la question qui la tracassait.
« Qu’est-ce qu’il a ? »
« Le docteur a dit qu’il avait dû mélanger des drogues… »
« Il se drogue ? »
« Rectification, quelqu’un l’a drogué… »
« Oh… »
Le médecin est arrivé à ce moment pour me dire que mon chéri était réveillé et me réclamait. Je me suis levée et me suis rendue jusqu’à la chambre où on l’avait transporté. Quand je suis entrée, il était assis dans le lit. Il a tourné la tête vers moi et a eu un faible sourire triste.
« Nick… »
Je me suis précipitée dans ses bras.
« Je vous dérange, peut-être ? »
Nick a semblé se reprendre et il s’est reculé pendant que Cindy gardait un air désinvolte.
« On parlait, rien de plus. »
Je lui ai lancé un regard meurtrier et je suis partie retrouver Gab. Je l’ai vue de loin s’amuser comme une folle alors j’ai décidé de sortir. C’est Jessica qui est venue me rejoindre.
« Jennifer ? »
« Tiens, tu ne suis plus Cindy à un centimètre près ? »
« Écoute, je sais que ça peut paraître bizarre, mais je n’aime pas Cindy. La seule raison pour laquelle je suis son amie, c’est parce qu’elle me permet d’être populaire… »
« Tu sais pas ce qu’on dit ? Vaut mieux être seule que mal accompagnée. »
« Ouais, je sais… »
« Pourquoi t’as pas empêché Cindy de faire de l’œil à Nick ? Tu sais qu’elle arrive à tous les avoir. »
« Elle m’aurait traînée dans la boue, humiliée… »
« Mouais… »
« Écoute, j’ai vu ce qui s’est passé. Il a résisté. Je crois qu’elle l’a drogué… »
J’ai couvert mon visage de mes mains. Je détestais cette fille ! Comment pouvait-elle être aussi méchante et sans cœur ? J’essayais de me calmer pour m’empêcher de la tuer. Pas facile… Quelques minutes plus tard, alors que Jessica venait de partir rejoindre Cindy qui la cherchait, Gab est arrivée en courant.
« Jen, c’est ton chum ! »
J’ai relevé la tête, intriguée.
« Quoi, qu’est-ce qu’il a ? »
« Il… il est tombé… il s’est évanoui je crois… je sais pas ce qui est arrivé… »
Je me suis levée et j’ai couru dans la maison. Nick était étendu par-terre et Cindy était dangereusement près de lui. Je l’ai poussée.
« Dégage ! »
Je me suis agenouillée eaux côtés de mon amour et j’ai posé sa tête sur mes genoux.
« Nick ? Nick, réveilles-toi je t’en prie… »
Comme il ne bougeait pas, j’ai pris son pouls. Il battait presque normalement. Mais je préférais ne pas prendre de chance.
« Carl, appelles une ambulance. »
« Tu es sûre ? »
« Appelles une ambulance maintenant ! »
Je n’étais pas prête à argumenter durant une heure avec Carl pour savoir si on devait ou non transporter Nick à l’hôpital. En quelques minutes, l’ambulance arriva. Cindy avait disparu de la circulation. Je suis montée dans l’ambulance pour me rendre avec Nick à l’hôpital. Une fois là-bas, j’ai appelé ma mère. J’essayais de ne pas craquer. Quand elle est arrivée, elle avait l’air inquiète. Dès qu’elle m’a pris dans ses bras, j’ai laissé mes larmes couler. Elle m’a consolée avant de me demander la question qui la tracassait.
« Qu’est-ce qu’il a ? »
« Le docteur a dit qu’il avait dû mélanger des drogues… »
« Il se drogue ? »
« Rectification, quelqu’un l’a drogué… »
« Oh… »
Le médecin est arrivé à ce moment pour me dire que mon chéri était réveillé et me réclamait. Je me suis levée et me suis rendue jusqu’à la chambre où on l’avait transporté. Quand je suis entrée, il était assis dans le lit. Il a tourné la tête vers moi et a eu un faible sourire triste.
« Nick… »
Je me suis précipitée dans ses bras.
Alianne- Nombre de messages : 106
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Date d'inscription : 05/05/2007
Re: New York New York
« Tu m’as fichu une de ces trouilles… »
« Je suis désolé. »
« C’est pas ta faute… »
« Qu’est-ce qui s’est passé ? Je me souviens que Cindy m’a donné n verre de vin, j’en ai bu un peu et c’est le trou noir… »
« Elle t’a drogué. Il paraît que le mélange drogue/alcool est pas super, tu l’as constaté à tes dépends… »
Je suis restée longtemps collée contre lui. À cause de Cindy, j’avais faillit le perdre. Elle si je la voyais, elle ne s’en sortirait pas vivante ! J’ai passé la nuit avec Nick à l’hôpital. Ma mère est retournée à la maison et elle n’est revenue que le lendemain matin, ayant réussi à dormir quelques heures au moins. Moi j’avais dormi une heure. Le reste du temps, je l’ai passé à regarder Nick dormir et à m’inquiéter tout en sachant pertinemment qu’il était maintenant hors de danger. J’ai beaucoup pleuré cette nuit-là. J’ai probablement perdu quelques litres d’eau dans mon corps ( ). Le lendemain matin, Nick a pu sortir de l’hôpital. Il a appelé les Boys pour leur raconter l’histoire. Ces derniers se sont tous empressés de lui dire qu’ils arrivaient, mais il leur a dit de rester où ils étaient, qu’il allait bien. Il repartait le lendemain et ils le verraient une fois qu’ils seraient tous à Los Angeles. Nous avons profité de notre dernière journée ensemble. Nous nous sommes promenés dans Montréal toute la journée et nous avons fait la course pour échapper aux journalistes. Et vous ne devinerez jamais qui est venu nous interviewer(le seul qu’on a laissé nous approcher d’ailleurs). Herby Moreau ! J’étais super contente de le rencontrer. J’ai fais les présentations vu que Nick ne le connaissait pas vraiment.
« Herby, Nick. Nick, Herby est un des journalistes les plus gentils du Québec. »
« Merci c’est gentil de dire ça. »
« Bah de rien, j’adore Star Système ! »
« Merci. Nick, je peux vous poser quelques questions ? »
« Ouais, mais pas trop on aimerait pouvoir relaxer un peu. »
« D’accord. D’abord, j’aimerais que vous me disiez qui est cette jeune femme qui me connaît. »
« Ma petite amie Jennifer. »
« Enchanté Jennifer. »
« Moi de même ! »
« Nick, vous êtes présentement en tournée avec les Backstreet Boys pour la promotion de votre nouvel album, c’est bien ça ? »
« En effet. »
« Comment ça se passe ? »
« Plutôt bien, je repars demain à L.A. et on va continuer la tournée en Europe et en Asie. »
« Bien, merci d’avoir répondu à mes questions, je vais vous laisser maintenant. Au revoir ! »
« Au revoir. »
Après qu’il soit partit, Nick s’est tournée vers moi.
« Il est gentil. »
« Je te l’ai dis, c’est le plus gentil journaliste québécois que je connais. Il respecte la vie privée des stars et ça, c’est rendu vraiment rare dans ce métier ! »
La journée finit trop vite à mon goût. Nick est venu dormir chez moi et, le lendemain, nous sommes partis à l’aéroport à 8 heures. L’avion de Nick partait à 10 heures alors nous avons attendu durant une bonne heure et demi. Quand nous avons entendu l’appel comme quoi il était temps qu’il monte dans l’avion, nous avons eu la même réaction. Il m’a embrassé et m’a doucement pris dans ses bras.
« On va se revoir bientôt. »
« Tu le promets ? »
« With everything I am… »
J’ai souris à sa petite blague.
« Nick, tu vas continuer à m’écrire ? »
« À tous les jours. »
« Je veux pas que tu partes… »
« J’ai pas le choix ma belle… »
« Je sais… »
Il m’a embrassé une dernière fois et il est partit prendre son avion qui le ramènerait chez lui. Dès qu’il a disparut de mon champ de vision, j’ai sentit un vide dans mon cœur. Je savais qu’il continuerait de m’écrire et de donner de ses nouvelles, mais il allait tellement me manquer…
« Je suis désolé. »
« C’est pas ta faute… »
« Qu’est-ce qui s’est passé ? Je me souviens que Cindy m’a donné n verre de vin, j’en ai bu un peu et c’est le trou noir… »
« Elle t’a drogué. Il paraît que le mélange drogue/alcool est pas super, tu l’as constaté à tes dépends… »
Je suis restée longtemps collée contre lui. À cause de Cindy, j’avais faillit le perdre. Elle si je la voyais, elle ne s’en sortirait pas vivante ! J’ai passé la nuit avec Nick à l’hôpital. Ma mère est retournée à la maison et elle n’est revenue que le lendemain matin, ayant réussi à dormir quelques heures au moins. Moi j’avais dormi une heure. Le reste du temps, je l’ai passé à regarder Nick dormir et à m’inquiéter tout en sachant pertinemment qu’il était maintenant hors de danger. J’ai beaucoup pleuré cette nuit-là. J’ai probablement perdu quelques litres d’eau dans mon corps ( ). Le lendemain matin, Nick a pu sortir de l’hôpital. Il a appelé les Boys pour leur raconter l’histoire. Ces derniers se sont tous empressés de lui dire qu’ils arrivaient, mais il leur a dit de rester où ils étaient, qu’il allait bien. Il repartait le lendemain et ils le verraient une fois qu’ils seraient tous à Los Angeles. Nous avons profité de notre dernière journée ensemble. Nous nous sommes promenés dans Montréal toute la journée et nous avons fait la course pour échapper aux journalistes. Et vous ne devinerez jamais qui est venu nous interviewer(le seul qu’on a laissé nous approcher d’ailleurs). Herby Moreau ! J’étais super contente de le rencontrer. J’ai fais les présentations vu que Nick ne le connaissait pas vraiment.
« Herby, Nick. Nick, Herby est un des journalistes les plus gentils du Québec. »
« Merci c’est gentil de dire ça. »
« Bah de rien, j’adore Star Système ! »
« Merci. Nick, je peux vous poser quelques questions ? »
« Ouais, mais pas trop on aimerait pouvoir relaxer un peu. »
« D’accord. D’abord, j’aimerais que vous me disiez qui est cette jeune femme qui me connaît. »
« Ma petite amie Jennifer. »
« Enchanté Jennifer. »
« Moi de même ! »
« Nick, vous êtes présentement en tournée avec les Backstreet Boys pour la promotion de votre nouvel album, c’est bien ça ? »
« En effet. »
« Comment ça se passe ? »
« Plutôt bien, je repars demain à L.A. et on va continuer la tournée en Europe et en Asie. »
« Bien, merci d’avoir répondu à mes questions, je vais vous laisser maintenant. Au revoir ! »
« Au revoir. »
Après qu’il soit partit, Nick s’est tournée vers moi.
« Il est gentil. »
« Je te l’ai dis, c’est le plus gentil journaliste québécois que je connais. Il respecte la vie privée des stars et ça, c’est rendu vraiment rare dans ce métier ! »
La journée finit trop vite à mon goût. Nick est venu dormir chez moi et, le lendemain, nous sommes partis à l’aéroport à 8 heures. L’avion de Nick partait à 10 heures alors nous avons attendu durant une bonne heure et demi. Quand nous avons entendu l’appel comme quoi il était temps qu’il monte dans l’avion, nous avons eu la même réaction. Il m’a embrassé et m’a doucement pris dans ses bras.
« On va se revoir bientôt. »
« Tu le promets ? »
« With everything I am… »
J’ai souris à sa petite blague.
« Nick, tu vas continuer à m’écrire ? »
« À tous les jours. »
« Je veux pas que tu partes… »
« J’ai pas le choix ma belle… »
« Je sais… »
Il m’a embrassé une dernière fois et il est partit prendre son avion qui le ramènerait chez lui. Dès qu’il a disparut de mon champ de vision, j’ai sentit un vide dans mon cœur. Je savais qu’il continuerait de m’écrire et de donner de ses nouvelles, mais il allait tellement me manquer…
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Re: New York New York
À chaque jour depuis le départ de Nick, je lui écrivais pour lui raconter ce qui se passait à Montréal pendant que lui me disait ce qu’il faisait en tournée. Il m’a même envoyé un message comme quoi il amènerait Aaron et de ses amis la prochaine fois qu’il viendrait. Selon lui, Greg, l’ami d’Aaron, allait plaire à Fanny. Il était son genre, selon les dires de mon petit ami. Je lui faisais confiance.
Une semaine et demi après le départ de Nick, j’étais à l’école en train de travailler sur ma production écrite de français quand on a entendu des coups de feu. Deux ou trois et plus aucun bruit. Ensuite, un immense hurlement. On se regardait tous sans être sûrs d’avoir bien entendu. Après avoir entendu un cri de détresse et avoir vu un élève passer en coup de vent, on savait que quelque chose n’allait pas. On s’est tous levés et on est sortit de la classe pour voir ce qui se passait. Un élève était couché sur le plancher. On a entendu un autre coup de feu. Carl, qui était à côté de moi, est tombé.
« Carl ! Ça va ? »
« Ouais… »
Il avait reçu la balle dans le bras. Il avait voulu pointer la personne couchée par-terre et avait, de ce fait, coupé la trajectoire de la balle qui avait pour destination mon corps. J’ai relevé les yeux. Un policier avait immobilisé le jeune qui avait le fusil. J’ai regardé Carl et je l’ai aidé à se relever. J’étais sur l’adrénaline alors je n’avais pas encore réalisé ce qui venait de se passer. J’ai aidé Carl à se rendre jusqu’à l’infirmerie où l’infirmière lui a fait un pansement temporaire en attendant qu’il soit à l’hôpital. Je l’ai laissé avec ses amis pendant que l’ambulance arrivait. Ma mère est arrivée quelques minutes plus tard.
« Jen ! Ça va ma pitchounette ? »
« Ouais maman…je suis juste un peu sous le choc. »
« Tu n’a rien ? »
« Non, le bras de Carl m’a protégée… »
« Quoi ? »
« Il a levé son bras et il a mangé le coup à ma place. Je crois que je lui en serait éternellement reconnaissante. »
« Où il est maintenant ? »
« À l’hôpital, il est partit il y a deux minutes. »
« Demain on va aller le voir et le remercier. Mais pour l’instant, on rentre. »
« D’accord… »
On est rentré. J’ai relaxé toute la soirée après avoir envoyé un mail à Nick. Quand je suis retournée sur l’ordi vers 23h car je faisais de l’insomnie, Nick m,avait envoyé un message.
« Jen, are you okay ? When I read you message, I just freaked out. Than God you’re not wounded. I take the plane tomorrow at 9 o’clock. I need to see you. Don’t worry about the shows, we’ll take the plane at 2 p.m. to go at London. I say we ‘cause I want you, your mom and Fanny to be safe and out of your city for a week or two. I talked with your mother last week about it and she agreed. See you tomorrow my love.
Kisses.
Your sexy man.»
J’étais touchée par le fait qu’il se déplace jusqu’à Montréal pour voir si j’allais bien. Et deux semaines de congé me ferait le plus grand bien. J’allais dire un gros merci à ma mère le lendemain matin. En attendant, je lui ai laissé une note comme quoi l’avion atterrirait vers 10 heures le lendemain matin. Je suis ensuite allée me coucher avec un gros toutou et mon lecteur cd sur mes oreilles pour ne pas faire trop de cauchemars.
Une semaine et demi après le départ de Nick, j’étais à l’école en train de travailler sur ma production écrite de français quand on a entendu des coups de feu. Deux ou trois et plus aucun bruit. Ensuite, un immense hurlement. On se regardait tous sans être sûrs d’avoir bien entendu. Après avoir entendu un cri de détresse et avoir vu un élève passer en coup de vent, on savait que quelque chose n’allait pas. On s’est tous levés et on est sortit de la classe pour voir ce qui se passait. Un élève était couché sur le plancher. On a entendu un autre coup de feu. Carl, qui était à côté de moi, est tombé.
« Carl ! Ça va ? »
« Ouais… »
Il avait reçu la balle dans le bras. Il avait voulu pointer la personne couchée par-terre et avait, de ce fait, coupé la trajectoire de la balle qui avait pour destination mon corps. J’ai relevé les yeux. Un policier avait immobilisé le jeune qui avait le fusil. J’ai regardé Carl et je l’ai aidé à se relever. J’étais sur l’adrénaline alors je n’avais pas encore réalisé ce qui venait de se passer. J’ai aidé Carl à se rendre jusqu’à l’infirmerie où l’infirmière lui a fait un pansement temporaire en attendant qu’il soit à l’hôpital. Je l’ai laissé avec ses amis pendant que l’ambulance arrivait. Ma mère est arrivée quelques minutes plus tard.
« Jen ! Ça va ma pitchounette ? »
« Ouais maman…je suis juste un peu sous le choc. »
« Tu n’a rien ? »
« Non, le bras de Carl m’a protégée… »
« Quoi ? »
« Il a levé son bras et il a mangé le coup à ma place. Je crois que je lui en serait éternellement reconnaissante. »
« Où il est maintenant ? »
« À l’hôpital, il est partit il y a deux minutes. »
« Demain on va aller le voir et le remercier. Mais pour l’instant, on rentre. »
« D’accord… »
On est rentré. J’ai relaxé toute la soirée après avoir envoyé un mail à Nick. Quand je suis retournée sur l’ordi vers 23h car je faisais de l’insomnie, Nick m,avait envoyé un message.
« Jen, are you okay ? When I read you message, I just freaked out. Than God you’re not wounded. I take the plane tomorrow at 9 o’clock. I need to see you. Don’t worry about the shows, we’ll take the plane at 2 p.m. to go at London. I say we ‘cause I want you, your mom and Fanny to be safe and out of your city for a week or two. I talked with your mother last week about it and she agreed. See you tomorrow my love.
Kisses.
Your sexy man.»
J’étais touchée par le fait qu’il se déplace jusqu’à Montréal pour voir si j’allais bien. Et deux semaines de congé me ferait le plus grand bien. J’allais dire un gros merci à ma mère le lendemain matin. En attendant, je lui ai laissé une note comme quoi l’avion atterrirait vers 10 heures le lendemain matin. Je suis ensuite allée me coucher avec un gros toutou et mon lecteur cd sur mes oreilles pour ne pas faire trop de cauchemars.
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Re: New York New York
Le lendemain matin, je me suis réveillée en sursaut. J’avais fait un cauchemar. J’ai entendu ma porte grincer, comme à chaque fois qu’on l’ouvrait lentement. J’ai tourné la tête et j’ai vu Nick dans l’encadrement. Il a remarqué que j’étais réveillée et est venu me rejoindre. Comme la lumière était fermée et les rideaux aussi, il n’a pas remarqué immédiatement les larmes sur mes joues. C’est quand il m’a embrassé qu’il s’est reculé et a caressé mes joues.
« Hey, tu pleure… »
J’ai acquiescé et il m’a serrée contre lui. C’était tout ce dont j’avais besoin à ce moment précis. J’ai doucement reculé ma tête de son torse après avoir mouillé une partie de son chandail.
« J’ai eu tellement peur hier… »
« Chut, c’est fini maintenant… Tout vas bien aller maintenant et je ne laisserai personne te faire du mal. »
Il m’a longtemps serré dans ses bras et il m’a ensuite aidée à faire mes bagages. Nous sommes allés avertir Fanny et elle a fait ses bagages en vitesse, heureuse de quitter la ville. Avant d’aller prendre l’avion, j’ai tenu à aller rendre visite à Carl. Je me suis renseignée à la réception de l’hôpital Le Gardeur, à Lachenaie. Il était dans la chambre 402. Le chiffre m’a amusé puisque c’était notre groupe repère à l’école. Je suis montée le voir. J’ai vu Jean-Philippe assis à côté de la porte.
« Salut. »
« … »
Je me suis assise à ses côtés et j,ai posé la main sur son épaule.
« Comment sa va ? »
« Il va bien. »
« Non, toi ! »
« Bof. Pourquoi il a fallu qu’il fasse l’idiot aussi ? »
« Hey, J.-P., S’il avait pas fait ça, je serais morte sur le coup. Il pouvait pas savoir que le gars allait tirer. Et de toute façon, c’est bien son genre de faire des conneries… »
J’ai réussit à le faire sourire. Il a relevé la tête et j’ai vu des larmes dans ses yeux. Je ne l’avais jamais vu pleurer et je savais qu’il ne pleurait pas souvent. J.-P. était un gars qui montrait rarement ses émotions. Je l’ai serré dans mes bras et il ne m’a pas repoussé, contrairement à ce que je croyais.
« Je peux aller le voir ? »
« Ouais, il était réveillé tantôt. »
« Okay. »
« Euh, Jen ? »
« Quoi ? »
« Tu veux bien garder ce que tu viens de voir pour toi ? »
J’ai souris avant de lui répondre.
« Promis, je salirai pas ta réputation ! »
Je suis finalement entrée dans la chambre où Carl reposait, un bras dans le plâtre. Il regardait la télé et il a tourné la tête vers moi quand je suis entrée.
« Salut. »
« Alu. »
« Comment sa va ? »
« Moyen, mon bras pique et il fait chaud en dessous du plâtre, mais ça aurait pu être pire… »
« Merci. »
« De ? »
« Pour ce que tu as fait. Je sais que c’était pas intentionnel, mais tu m’as sauvé la vie et je t’en suis extrêmement reconnaissante. »
« Reconnaissante à quel point ? »
« Je sais pas moi, tu penses à quoi, esprit mal tourné ? »
« Hey, j’ai pas l’esprit mal tourné ! Je pensais seulement que tu pourrais faire mes devoirs pendant quelques semaines. Tu sais, le temps que mon bras se remette…. »
« Là, tu rêve ! »
« Zut. Pourquoi pas ? »
« Si tu crois que je vais travailler à ta place, fainéant ! De toute façon, je pars pour 2 semaines. »
« Où ? »
« Avec mon petit copain en tournée. »
« Ah zut alors, je vais devoir trouver quelqu’un d’autre… Tu pars quand ? »
« On doit être à l’aéroport dans 1 heure. »
« On ? »
« Ma mère, Fanny et moi. »
« Okay. Bon ben je vais pas te retenir. »
« Merci encore Carl. »
« Bah de rien, c’est tout naturel. »
« Ouais, c’est ça. Vantard ! »
Je suis sortie en riant. J.-P. m’a dit au revoir et est allé voir Carl après avoir séché ses larmes. Pas question que son ami le voit pleurer. J’ai gardé cette scène pour moi comme je le lui avais promit et je suis allée rejoindre ma mère, Fanny et Nick en bas et nous nous sommes rendus à l’aéroport .
« Hey, tu pleure… »
J’ai acquiescé et il m’a serrée contre lui. C’était tout ce dont j’avais besoin à ce moment précis. J’ai doucement reculé ma tête de son torse après avoir mouillé une partie de son chandail.
« J’ai eu tellement peur hier… »
« Chut, c’est fini maintenant… Tout vas bien aller maintenant et je ne laisserai personne te faire du mal. »
Il m’a longtemps serré dans ses bras et il m’a ensuite aidée à faire mes bagages. Nous sommes allés avertir Fanny et elle a fait ses bagages en vitesse, heureuse de quitter la ville. Avant d’aller prendre l’avion, j’ai tenu à aller rendre visite à Carl. Je me suis renseignée à la réception de l’hôpital Le Gardeur, à Lachenaie. Il était dans la chambre 402. Le chiffre m’a amusé puisque c’était notre groupe repère à l’école. Je suis montée le voir. J’ai vu Jean-Philippe assis à côté de la porte.
« Salut. »
« … »
Je me suis assise à ses côtés et j,ai posé la main sur son épaule.
« Comment sa va ? »
« Il va bien. »
« Non, toi ! »
« Bof. Pourquoi il a fallu qu’il fasse l’idiot aussi ? »
« Hey, J.-P., S’il avait pas fait ça, je serais morte sur le coup. Il pouvait pas savoir que le gars allait tirer. Et de toute façon, c’est bien son genre de faire des conneries… »
J’ai réussit à le faire sourire. Il a relevé la tête et j’ai vu des larmes dans ses yeux. Je ne l’avais jamais vu pleurer et je savais qu’il ne pleurait pas souvent. J.-P. était un gars qui montrait rarement ses émotions. Je l’ai serré dans mes bras et il ne m’a pas repoussé, contrairement à ce que je croyais.
« Je peux aller le voir ? »
« Ouais, il était réveillé tantôt. »
« Okay. »
« Euh, Jen ? »
« Quoi ? »
« Tu veux bien garder ce que tu viens de voir pour toi ? »
J’ai souris avant de lui répondre.
« Promis, je salirai pas ta réputation ! »
Je suis finalement entrée dans la chambre où Carl reposait, un bras dans le plâtre. Il regardait la télé et il a tourné la tête vers moi quand je suis entrée.
« Salut. »
« Alu. »
« Comment sa va ? »
« Moyen, mon bras pique et il fait chaud en dessous du plâtre, mais ça aurait pu être pire… »
« Merci. »
« De ? »
« Pour ce que tu as fait. Je sais que c’était pas intentionnel, mais tu m’as sauvé la vie et je t’en suis extrêmement reconnaissante. »
« Reconnaissante à quel point ? »
« Je sais pas moi, tu penses à quoi, esprit mal tourné ? »
« Hey, j’ai pas l’esprit mal tourné ! Je pensais seulement que tu pourrais faire mes devoirs pendant quelques semaines. Tu sais, le temps que mon bras se remette…. »
« Là, tu rêve ! »
« Zut. Pourquoi pas ? »
« Si tu crois que je vais travailler à ta place, fainéant ! De toute façon, je pars pour 2 semaines. »
« Où ? »
« Avec mon petit copain en tournée. »
« Ah zut alors, je vais devoir trouver quelqu’un d’autre… Tu pars quand ? »
« On doit être à l’aéroport dans 1 heure. »
« On ? »
« Ma mère, Fanny et moi. »
« Okay. Bon ben je vais pas te retenir. »
« Merci encore Carl. »
« Bah de rien, c’est tout naturel. »
« Ouais, c’est ça. Vantard ! »
Je suis sortie en riant. J.-P. m’a dit au revoir et est allé voir Carl après avoir séché ses larmes. Pas question que son ami le voit pleurer. J’ai gardé cette scène pour moi comme je le lui avais promit et je suis allée rejoindre ma mère, Fanny et Nick en bas et nous nous sommes rendus à l’aéroport .
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Re: New York New York
À l’aéroport, nous avons dû attendre une demi-heure avant de prendre l’avion. J’étais dans les bras de Nick et je tenais la main de Fanny. Ma mère nous regardait en souriant légèrement. Je la savais heureuse pour moi. Elle avait appris à connaître et à apprécier Nick. Ma sœur aussi semblait heureuse pour moi. Je savais qu’elle était contente que j’aie trouvé quelqu’un et surtout que ce quelqu’un soit Nick. Elle savait qu’il me protégerait et qu’il me consolerait dans les moments comme celui-là. L’embarquement pour notre avion fut annoncé et nous prîmes nos choses pour nous rendre jusqu’à la porte d’embarquement. J’étais un peu nerveuse puisque la dernière fois que j’avais prit l’avion, c’était lorsque j’avais trois ans. Nous nous assîmes et Nick me prit la main pour me calmer. Fanny et maman étaient assises derrière nous.
« Chut… Ça va aller… Calmes-toi Jen… »
« Je suis stressée… On entend tellement d’histoires de crash d’avion et tout… »
« Chut… »
Il m’a attirée contre lui et a fredonné I Need You Tonight. Ça m’a immédiatement calmé. Je n’ai même pas remarqué que l’avion décollait. Quand Nick a terminé la chanson, je m’étais assoupie dans ses bras. Le voyage me permis de dormir durant 6 heures. Nous atterrîmes à l’aéroport d’Heathrow à 7 heures. Heureusement, le show était à 9 heures et Nick avait le temps de se rendre à la salle de spectacle. Après être sortis de l’avion les premiers, car nous allions être en retard sinon, nous nous rendîmes dans la pièce VIP où les autres Boys nous attendaient. Ma mère semblait un peu gênée et se débrouillait du mieux qu’elle pouvait. Je la présentai au groupe.
« Bone, Bee, Dee, voici ma mère. Maman, je te présente Alex, Brian et Howie ! Et Nick bah tu le connais déjà ! »
Nous sommes ensuite tous partis vers la salle de spectacle. Nous irions ensuite à l’hôtel pour dormir un peu avant de nous rendre à Paris pour le spectacle du lendemain.
Devant la salle où se déroulerait le spectacle, des milliers de fans étaient présentes. Nous sommes passés par une porte derrière. Pratique l’entrée des artistes ! Fanny, maman et moi sommes restées dans le petit salon avec Leighann et Baylee. Nous avons fait connaissance. J’ai tout de suite adoré Baylee. Il est tellement mignon ! Fanny s’est même proposée pour le garder si jamais Leighann voulait un peu de temps seule avec Brian. Quant à elle, elle est tellement gentille. Les gars sont venus nous voir juste avant le spectacle. Leigh et moi avons embrassé nos hommes et j’ai souhaité bonne chance à Nick. Il m’a sourit et est partit faire la prière avec les autres. Je dois dire qu’ils ont été vraiment super, comme d’habitude ! À un moment, Nick s’est avancé et s’est adressé au public.
« La plupart d’entre vous savent probablement que j’ai une copine. Je sais que je n’ai jamais fait ça auparavant, mais cette fille-là est vraiment spéciale. Elle a quelque chose que je n’avais jamais trouvé chez une fille avant. Vous savez quand vous aimez quelqu’un et que cette personne a quelque chose d’indéfinissable en elle et que c’est ce qui la rend si magnifique et unique à vos yeux ? C’est exactement ce que je ressens pour ma petite amie. Donc, comme je disais, je n’ai jamais fait ça avant. Je vais donc vous présenter ma belle. Je reviens ! »
Il est venu me chercher dans le salon VIP en courant et nous sommes montés sur scène ensemble.
« Je vous présente Jennifer, ma petite amie ! »
Lentement, mes yeux s’habituèrent aux spotlights et je pu distinguer les milliers de personnes. Inutile de vous dire que j’étais un peu rouge. Nick m’a souris avant de continuer à parler.
« Maintenant, cette chanson je la dédie à mes amis Brian et Kevin, à leurs femmes, à toutes les personnes amoureuses qui sont ici et, surtout, à ma chérie. Je t’aime Jen. »
Il m’a embrassé et m’a fait asseoir sur un banc. Il a ensuite commencé à chanter I Need You Tonight en me souriant et en regardant quelques fois le public. À la fin de la chanson, j’étais très émue. Quelques larmes coulaient sur mes joues. Il m’a embrassée une dernière fois et le show à continué après que je sois retournée dans le salon où se trouvaient Fanny, ma mère, Baylee et Leigh. Fanny sourit en me voyant.
« Wow ! C’était super ! »
« Ouais, j’en reviens toujours pas… »
« Je suis jalouse, je vais me plaindre à Brian ! » dis Leighann en riant. « Sérieusement, c’était magnifique et ça se voit qu’il est vraiment amoureux. Je ne l’ai jamais vu comme ça… »
Ma mère s’est contentée de sourire. Moi, j’étais encore au septième ciel et je dois avouer que je n,en redescendrais pas de sitôt !
« Chut… Ça va aller… Calmes-toi Jen… »
« Je suis stressée… On entend tellement d’histoires de crash d’avion et tout… »
« Chut… »
Il m’a attirée contre lui et a fredonné I Need You Tonight. Ça m’a immédiatement calmé. Je n’ai même pas remarqué que l’avion décollait. Quand Nick a terminé la chanson, je m’étais assoupie dans ses bras. Le voyage me permis de dormir durant 6 heures. Nous atterrîmes à l’aéroport d’Heathrow à 7 heures. Heureusement, le show était à 9 heures et Nick avait le temps de se rendre à la salle de spectacle. Après être sortis de l’avion les premiers, car nous allions être en retard sinon, nous nous rendîmes dans la pièce VIP où les autres Boys nous attendaient. Ma mère semblait un peu gênée et se débrouillait du mieux qu’elle pouvait. Je la présentai au groupe.
« Bone, Bee, Dee, voici ma mère. Maman, je te présente Alex, Brian et Howie ! Et Nick bah tu le connais déjà ! »
Nous sommes ensuite tous partis vers la salle de spectacle. Nous irions ensuite à l’hôtel pour dormir un peu avant de nous rendre à Paris pour le spectacle du lendemain.
Devant la salle où se déroulerait le spectacle, des milliers de fans étaient présentes. Nous sommes passés par une porte derrière. Pratique l’entrée des artistes ! Fanny, maman et moi sommes restées dans le petit salon avec Leighann et Baylee. Nous avons fait connaissance. J’ai tout de suite adoré Baylee. Il est tellement mignon ! Fanny s’est même proposée pour le garder si jamais Leighann voulait un peu de temps seule avec Brian. Quant à elle, elle est tellement gentille. Les gars sont venus nous voir juste avant le spectacle. Leigh et moi avons embrassé nos hommes et j’ai souhaité bonne chance à Nick. Il m’a sourit et est partit faire la prière avec les autres. Je dois dire qu’ils ont été vraiment super, comme d’habitude ! À un moment, Nick s’est avancé et s’est adressé au public.
« La plupart d’entre vous savent probablement que j’ai une copine. Je sais que je n’ai jamais fait ça auparavant, mais cette fille-là est vraiment spéciale. Elle a quelque chose que je n’avais jamais trouvé chez une fille avant. Vous savez quand vous aimez quelqu’un et que cette personne a quelque chose d’indéfinissable en elle et que c’est ce qui la rend si magnifique et unique à vos yeux ? C’est exactement ce que je ressens pour ma petite amie. Donc, comme je disais, je n’ai jamais fait ça avant. Je vais donc vous présenter ma belle. Je reviens ! »
Il est venu me chercher dans le salon VIP en courant et nous sommes montés sur scène ensemble.
« Je vous présente Jennifer, ma petite amie ! »
Lentement, mes yeux s’habituèrent aux spotlights et je pu distinguer les milliers de personnes. Inutile de vous dire que j’étais un peu rouge. Nick m’a souris avant de continuer à parler.
« Maintenant, cette chanson je la dédie à mes amis Brian et Kevin, à leurs femmes, à toutes les personnes amoureuses qui sont ici et, surtout, à ma chérie. Je t’aime Jen. »
Il m’a embrassé et m’a fait asseoir sur un banc. Il a ensuite commencé à chanter I Need You Tonight en me souriant et en regardant quelques fois le public. À la fin de la chanson, j’étais très émue. Quelques larmes coulaient sur mes joues. Il m’a embrassée une dernière fois et le show à continué après que je sois retournée dans le salon où se trouvaient Fanny, ma mère, Baylee et Leigh. Fanny sourit en me voyant.
« Wow ! C’était super ! »
« Ouais, j’en reviens toujours pas… »
« Je suis jalouse, je vais me plaindre à Brian ! » dis Leighann en riant. « Sérieusement, c’était magnifique et ça se voit qu’il est vraiment amoureux. Je ne l’ai jamais vu comme ça… »
Ma mère s’est contentée de sourire. Moi, j’étais encore au septième ciel et je dois avouer que je n,en redescendrais pas de sitôt !
Alianne- Nombre de messages : 106
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